Pendant des années, j'ai entendu dire ou "senti" (je capte les pensées) que je "m''écoutais trop", que tout ça c'était dans ma tête, que j'étais douillette, paresseuse, et j'en passe. Ca ne me faisais pas de peine mais ca me mettait en colère et j'avoue que j'étais contente quand une personne qui m'avait sorti ce genre de bêtises, quelques mois plus tard, avait mal au dos ou ailleurs et me disait alors qu'elle comprenait. En fait ses douleurs n'avaient rien à voir avec la fibro mais au moins, elle pouvait imaginer ce que ça pouvait être de soufffrir en permanence.

Où j'ai été soulagée, c'est le jour où on a pu mettre un nom sur ce dont je souffrais. Mon mari a compris que ce n'était pas de la comédie et a commencé à m'aider dans les activités quotidiennes. C'est à partir de là aussi que j'ai commencé à faire de la programmation mentale comme je le faisais déjà depuis longtemps pour neutraliser d'autres sortes de douleurs. Par exemple, en me concentrant fortement, j'avais réussi à programmer mon cerveau afin que si je me brûlais, me cognais, me blessais, il fallait que la douleur soit court-circuitée. Et ça a marché. Tellement bien qu'un jour en décapant un portail au chalumeau, distraite par quelqu'un qui me parlait, j'ai passé la flamme sur mon bras (le droit bien évidemment). Ca a senti le cramé, tout le monde autour de moi a cru que j'étais gravement brûlée. Et bien, "même pas mal" comme on dirait de nos jours. Mon bras, pendant un moment a été légèrement rose et c'est tout.
Plusieurs fois, il m'est arrivé de faire couler de la bougie chaude sur ma main ou de toucher un plat chaud. Même chose : douleur bloquée, pas de trace de brûlure.

Côté fibro, les douleurs, c'est réglé. Juste, en cas de stress, des crispations qui tentent de démarrer au niveau des clavicules. Où je n'ai pas pu "jouer" c'est sur la fatigabilité. Je peux me programmer pour quelques heures mais ensuite, je flanche brusquement, sans avertissement. Je peux entreprendre une balade en forêt (ce que j'adore) mais au bout d'un moment, je ne peux plus avancer, la fatigue m'étant tombé brusquement dessus. Il faut alors que je m'asseois au moins 10 minutes avant de prendre le chemin du retour. Pour les trajets en voiture, c'est pareil. Je vais être bien pendant 200 kilomètres après quoi, je m'effondre. Enfin, j'ai appris à vivre avec tout ça et je trouve que par rapport à d'autres qui sont obligés de se bourrer de médicaments qui ne font pas grand'chose mais qui ont des effets secondaires désastreux, je ne suis pas à plaindre.

Je ne dis qu'une chose : chapeau bas Madame

Je t'admire pour ton courage. Je ne sais pas faire de la programmation mentale, auto suggestion, je doit être trop douillette ou ne pas bien m'y prendre. Je débute dans tout ça.

Je lis énormément de livres concernant le bouddhisme et je dois bien avouer que cela m'a souvent aidé à voir les choses plus simplement, à relativiser et accepter pour pouvoir me battre, sans me laisser envahir par des sentiments négatifs.

J'ai mis beaucoup d'espoir dans la lithothérapie et la méditation mais j'avoue mon ignorance en pierres et mes difficultés à me concentrer. Je pratique tout les jours et je note un léger mieux.

Je ne désespère pas, je continue.

Courage, tu n'es pas seule

Ambre,

je pourrais faire un copier coller de ton message tellement c'est moi................

C'est peut être "idiot" mais ça rassure de savoir que d'autres personnes connaissent ce que l'on vit. Ça peut, aussi, paraître égoïste mais, au moins, on sait qu'on est pas seul et pas fou.

Bon courage à toi et n'hésite pas, si tu veux parler, écris moi en mp, je te donnerais mon téléphone.

Bisous

L'exercice mental ça s'apprend et ça se cultive comme l'entraînement physique. Au bout d'un temps plus ou moins long - cela dépend de la personne - ça devient automatique comme faire du vélo. Je suis arrivée au stade où je peux me concentrer instantanément où que je sois, chez moi, dans la rue, même entourée de gens. C'est peut-être pour ça que toute mon énergie se trouve stockée en haut du corps au détriment du bas, d'où un déséquilibre Enfin, tant que je tient debout, tout va bien.

C'est vrai que, dans un sens, c'est rassurant de savoir que d'autres personnes ont les mêmes problèmes que vous. Ca confère une authenticité à ce que l'on vit. Depuis ma naissance, j'ai dû me battre pour survivre car j'attrapais au vol tous les microbes, les maladies qui passaient. Les médecins avaient pronostiqué que je n'atteindrais certainement pas l'âge d'un an. Eux sont morts, moi je suis toujours là. La la lère ! Je suis une combattante mais j'aime bien savoir contre qui ou quoi je combats. Lorsque je ne connaissais pas le nom de ma maladie, c'était très dur, d'autant plus que rien n'apparaissait dans les analyses.

Donc, tenez bon, entraînez-vous à la concentration mentale, visualisez-vous en meilleure forme, utilisez aussi ces pierres qui soignent ainsi que d'autres méthodes si vous sentez qu'elles vous font du bien. La médecine peut aider mais c'est notre corps qui, si on est à son écoute, nous conseille le mieux et sait ce qu'il nous faut.

Laurelyne a écrit:

Par exemple, en me concentrant fortement, j'avais réussi à programmer mon cerveau afin que si je me brûlais, me cognais, me blessais, il fallait que la douleur soit court-circuitée.

Mais alors ce que tu entends par "programmation mentale", c'est de la visualisation?? Comment t'y prends-tu pour "court-circuiter" la douleur?? Je ne vois pas bien là...

Je suis en train de travailler sur la réponse que je vais t'apporter. En fait, cette façon de procéder m'est venue instinctivement. Comme ça marchait, je ne me suis pas tellement posé de questions. C'est toi qui m'en pose une

En fait, je pense que j'utilise mon subconscient. Il faudra que je te donne des exemples ; ce sera plus "parlant".

ton témoignage est trés parlant laurelyne !

une trés bonne amie a été diagnostiquée il y a quelques année mais elle n'a pas de traitement a proprement parlé hors mis les anti douleurs d'ailleurs elle a consulté en centre anti douleur,j'aimerais trouver de quoi la soulager

moi meme ayant une maladie handicapante non visible je sais qu'il est parfois dur de faire face aux regards de personnes qui vous prennent pour des douillettes ou autres

ta methode peut en aider d'autres

merci de ton témoignage et de ton expérience

Bonjour,

La fibromyalgie un regroupement de symptôme et coté pierre, il faut chaque fois changer et essayer autre chose.
La programmation mentale, c'est pas mal, mais quand en plus de la fibromyalgie, il y a beaucoup d'arthrose, ca devient autre chose.
Des études ont démontrées, qu'il y avait un problème au niveau du sommeil à la base de la fibromyalgie en plus de chocs que ce soit émotionnel ou physique et dernièrement il semblerait qu'il y ai aussi un problème circulatoire au niveau du cerveau facteur de la fibromyalgie.

Le fait que la maladie ne se voit pas, c'est un facteur plus parfois, mais dans d'autre cas c'est un facteur moins.

Pour mon cas personnel, un cardiologue a fait des recherches sur d'éventuelles chorelation entre la fibromyalgie et une hypokinesie apicale (partie du coeur ne fonctionne plus) mais n'en a pas trouvé.
Le coeur etant un muscle, je lui ai posé la question. Il a donc entrepris les recherches, mais pas plus de réponse.
Les "médecines parallèles" sont des aides à la fibromyalgie, mais il faudrait recevoir des soins régulièrement, ce que les fibromyalgiques ne peuvent pas forcement. Ayant toujours mal, elles (les personnes, car il y a aussi des hommes) peuvent moins bosser, meme quand la volonté de s'en sortir est presente.
Pour mon cas 2h de menage, c'est l'equivalent du lendemain toute courbaturée et le surlendemain migraine declanchee par une névralgie d'arnold. Et une semaine de recupération.. et aucune aide de qui que ce soit (niveau social)

diagnostiquée depuis environ 5 ans, je ne prends que peu de médicaments en traitement de fonds car je fais tous les effets indésirables.
Maintenant, j'ai pu faire la différence en me soignant au cas par cas et en travaillant en reiki sur les boites ou bouteilles de médicaments. Je les mets aussi parfois avec des cristaux ou une de mes lampes, sel ou sélénite.

Aujourd'hui, je rencontre un kiné spécialisé pour les fibromyalgiques. Ce kiné fait énormément de formation sur le sujet.

J'ai découvert récemment que j'étais HSEM (hypersensible à l'électro-magnétisme) et que les symptômes de l'HSEM étaient les mêmes que ceux de la fibromyalgie. Il faudrait peut-être vérifier XUPA si ton amie n'a pas le même problème.

De toute façon, il y a de plus en plus de gens qui sont touchés par ce nouveau fléau du modernisme. Pas étonnant que les gens soient mal dans leur peau, toujours fatigués, etc...

bonjour Laurelyne

quels sont tes symtomes au niveau de l'HSEM si cela n'est pas indiscret?

es-tu parfois hyper electrique? comme chargée?

Milange a écrit:

bonjour Laurelyne

quels sont tes symtomes au niveau de l'HSEM si cela n'est pas indiscret?

es-tu parfois hyper electrique? comme chargée?

Je suis pratiquement tout le temps hyperélectrique. Je ne peux pas porter de vêtements synthétiques. Le matin, je suis parfois obligée d'essayer plusieurs pulls avant d'en supporter un sur la peau. Il y a quelques temps, j'ai voulu essayer un bonnet dans un magasin. Quand je l'ai enlevé, mes cheveux l'ont suivi, et comme ils sont longs, on ne pouvait pas ne pas le remarquer
Parfois, je sens un courant électrique me traverser le corps de haut en bas. Je prends du "jus" en touchant les portières de voiture, les robinets, certaines personnes ; ça fait un claquement sec et même une fois il y a eu un arc électrique). Il faut voir la tête des gens.

Les symptômes de l'HSEM : en plus des symptômes de la fibro que tu pourras trouver sur le net (et il y en a pas mal ; personnellement j'en avais 80, moins maintenant), quand tu es sous influence électromagnétique, tu as la sensation douloureuse d'avoir la tête prise dans un étau, des nausées, des contractures musculaires (chez moi, ça commence au niveau du cou, puis ça descend), bref un malaise général. Il y a deux ans, sur la route qui descendant du Mont Ventoux où il y a des antennes puissanters, j'ai pris un malaise (heureusement, ce n'était pas moi qui conduisais). J'en ai eu un second dans un village au pied du Mont où nous nous étions arrêtés ; brusquement, j'ai cru que mon coeur allait flancher. C'était assez impressionnant.

Merci, c'est bien ce qu'il me semblait et c'est ma periode en revanche je detraque mes appareils electriques!

nous avons deux voitures et les batteries nous ont laché à deux jours d'intervalle, la seconde a juste un an et je devais aller faire un scanner..
lorsque je m'approche de mon pc mes cheveux et poils s'irrissent parfois.
tu es la seconde à me parler de L'HSEM en 8 jours.

J'ai eu declanché des appareils de securité dans les magasins, en entrant!!!

Je crois qu'il va me falloir me pencher sur le sujet!

bonne journee

Moi ça fait des années que je provoque les choses dont tu parles : le déclenchement des alarmes dans les grands magasins, dans les aéroports (ça c'est plus ennuyeux car tu as droit à la fouille, mais malheureusement pas par un beau vigile mais par une femme ), les stations radio qui sautent de l'une à l'autre, les ordinateurs qui se détraquent, surtout quand je suis énervée ou fatiguée (on dirait qu'ils le perçoivent c'est plus sensibles qu'on ne le pense ces petites choses ! ). La semainer dernière une de nos voiture a refusé de démarrer... immédiatement, mon mari m'a dit : "c'est encore de ta faute, tu as dû décharger la batterie".
Je me dis qu'un jour, je vais faire tomber en panne un avion. Là, ce sera plus embêtant.

Oui la ce serait hard!

cette semaine on a passer les deux batteries des deux voitures, les deux portables sont morts, j'ai pris l'appareil photo pour une rencontre sportive de mon fils au moment de prendre les photos, alors que chargees le matin meme, plus de pile...... et les arcs electriques avec tout le monde.
vite la nature lol

aller je me sauve, j'ai rdv avec ma nouvelle kiné!

laurelyne : est ce que tu as noté des périodes où ça arrive d'une manière plus flagrante ?
Moi ce que j'ai noté, c'est que la combinaison de certains évènements varie suivant notre état d'esprit. Et l'alimentation et la manière dont on l'assimile peut aussi favoriser certaines réactions. Et c'est vrai que plus on observe, plus on risque de renforcer un phénomène qui pourrait n'être que passager ou ponctuel. En même temps, il y a aussi l'environnement extérieur. Le fait de vivre dans des maisons en béton, des sols en revêtements plastiques et des appareils électriques partout avec des molécules contenant des métaux (..) peuvent accentuer aussi ?
Pour revenir à ma première question : est ce que par exemple en vacances ou ailleurs sur une période de plusieurs jours ou semaines ça le fait aussi ?

Je ne peux pas te répondre immédiatement mais je ne manquerai pas de le faire. Ta question est intéressante.

11:11 kelk1 ton message, tu nous ouvres une porte!

A mon niveau, c'est lorsqu'il y a une accumulation d'évènements remuant au point de vue émotionnel. Juste avant ou juste après.
Genre un divorce, un décès ou trop de chose à penser en même temps!
Il y a des périodes plus ou moins prononcées.

Est-ce que pour toi c'est permanent Laurelyne?

Moi je viens aussi de traverser une période de troubles importants. Mais cette fois j'ai vécu les choses un peu différemment.

Tu es hyper sensible kelk1?

Kelk1 a écrit:

laurelyne : est ce que tu as noté des périodes où ça arrive d'une manière plus flagrante ?
Moi ce que j'ai noté, c'est que la combinaison de certains évènements varie suivant notre état d'esprit. Et l'alimentation et la manière dont on l'assimile peut aussi favoriser certaines réactions. Et c'est vrai que plus on observe, plus on risque de renforcer un phénomène qui pourrait n'être que passager ou ponctuel. En même temps, il y a aussi l'environnement extérieur. Le fait de vivre dans des maisons en béton, des sols en revêtements plastiques et des appareils électriques partout avec des molécules contenant des métaux (..) peuvent accentuer aussi ?
Pour revenir à ma première question : est ce que par exemple en vacances ou ailleurs sur une période de plusieurs jours ou semaines ça le fait aussi ?

Oui, pour la fibromyalgie. Enfin, nettement moins maintenant, mais avant et pendant des années, j'ai été, comme je disais, "une douleur ambulante". J'avais mal partout, sans répit, avec augmentation des douleurs au le moindre stress, au moindre changement de temps, au fait qu'il y ait plus ou moins de monde autour de moi. Par contre, je n'ai jamais remarqué que la nourriture avait un effet. Il faut dire que depuis des années, par choix et non à cause de ma maladie, je cuisine pratiquement tout à la vapeur, ne mange pas de sucreries (je n'en ai pas envie) ni de matière grasse à part un peu d'huile d'olive quand c'est nécessdaire.

Pendant des années, j'ai porté nuit et jour une rhodocrosite. Puis un jour, je l'ai ôtée. Peut-être parce que je n'en avais plus besoin. La seule chose qui m'handicape encore à présent, c'est que je me fatigue vite. Le matin, ça va bien et j'en profite pour faire tout ce qui est indispensable. Mais je ne peux pas utiliser l'aspirateur sinon les douleurs dans le bas du dos réapparaissent.
L'après-midi, ça dépend des jours. Il y en a où je n'éprouve pas le besoin d'aller me reposer, d'autres où, par contre, je dois aller me coucher vers 16h. J'ai remarqué que ce sont les jours où mon rythme de vie est perturbé parce qu'il y a querlqu'un d'inhabituel à la maison, même si c'est quelqu'un que j'aime bien.

En voyage, si ça ne dure pas plus de cinq jours, je tiens le coup car je me programme mentalement pour ça. Mais au retour, je le paye souvent par une baisse notoire de forme.

Avec la progression de l'électromagnétisme, je pense que ça va être de plus en plus dur pour moi de voyager ou tout au moins de retenir des hôtels à l'avance parce qu'à présent, ils sont pratiquement tous équipés de la clim, de la wifi et du cable et ça, je ne supporte absolument pas. Dans les bâtiments en béton, je me sens très mal. Par exemple, je ne peux pas aller à l'auditorium de Lyon qui est une sorte' de coque en béton enfermée dans une autre enveloppe en béton. Au bout de quelques minutes, je me sens en état de faiblesse, le souffle me manque, j'ai des sueurs froides. J'arrive ou plutôt j'arrivais (je n'essaie même plus) à tenir le temps d'un concert mais ce n'est pas un plaisir et je n'ai qu'une envie, c'est m'échapper.

J'ai la chance d'avoir une maison ancienne avec des planchers en chêne, des boiseries, pas de moquette synthétique. Par contre, je ne peux pas dormir dans un immeuble bourré d'appareils électriques et électroniques, d'antennes, etc... Le fait aussi qu'il y ait des gens au-dessus, en dessous, de chaque côté de l'appartement me perturbe fortement.

Voilà. D'autres questions ?

Laurelyne a écrit:

[Quand je l'ai enlevé, mes cheveux l'ont suivi, et comme ils sont longs, on ne pouvait pas ne pas le remarquer
Parfois, je sens un courant électrique me traverser le corps de haut en bas.

ne vas pas te promener un soir d'orage! plus sérieusement, avec une petite orgonite de poche ça pourrait peut-être te protéger suffisamment lors de tes déplacements...(?)

machiko a écrit:

Laurelyne a écrit:

[Quand je l'ai enlevé, mes cheveux l'ont suivi, et comme ils sont longs, on ne pouvait pas ne pas le remarquer
Parfois, je sens un courant électrique me traverser le corps de haut en bas.

ne vas pas te promener un soir d'orage! plus sérieusement, avec une petite orgonite de poche ça pourrait peut-être te protéger suffisamment lors de tes déplacements...(?)

J'en ai déjà trois chez moi dont deux dans ma chambre. J'envisage même d'en emmener au moins deux en voyage quand je dois aller à l'hôtel afin de neutraliser l'électromagnétisme. En avion, je n'ose pas vu toute la ferraille qu'il y a à l'intérieur. D'ici qu'on me prenne pour une terroriste !

Une organite de poche ou un médaillon, je l'envisage. Il faudra seulement que je vérifie si elle "s'entendra" avec mon oeil céleste.

milange : par moments, pas toujours. C'est variable, un peu comme le temps !
Laurelyne : non, je n'ai plus de questions. Merci d'avoir pris le temps de répondre. Je me retrouve aussi dans certaines de tes aventures et déconvenues.
J'apprends à vivre avec. J'ai réussi à calmé des choses en élimant des choses qui provoquent trop d'acidité. L'acidité, je me dis que ça doit jouer sur les échanges, les influx nerveux, entre autre... et les paroles qu'on peut dire aux autres aussi.. et du coup ça peut conditionner leurs réactions vis à vis de nous.