extrait de "pratiques de santé de mars 2010"

je cite :

"le martyr du docteur Wakefield"

Douze ans après avoir publié un article sur les risques d'autisme liés au vaccin contre la rougeole, le dr Wakefield vient d'etre radié. Voici comment on discrédite un médecin qui dérange.

le point de départ de cette histoire remonte à la publication en 1998, dans la revue médicale The Lancet, d'un article qui fit l'effet d'une bombe.

En collaboration avec plusieurs de ses collègues du Royal Free Hospital de Londres, le dr Andrew Wakfield, gastro entérologue britannique réputé, émet l'hypothèse d'un lien entre le vaccin ROR et l'autisme régressif observé chez des enfants souffrant de problèmes intestinaux.

L'étude fait immédiatement l'objet de tirs de barrage de la communauté scientifique et tout est mis en oeuvre pour que le Docteur ne puisse pas poursuivre ses recherches. Les scientifiques, prisonniers de leurs conflits d'intérêt avec l'industrie, s'empressent de publier des articles pour démentir tout lien de causalité entre le vaccin ROR et l'autisme.

Mais l'information a étalement un impact très important sur un grand nombre de parents. Ayant des doutes sur le vaccin ROR ces derniers préfèrent ne pas vacciner leurs enfants et les ventes de ce vaccin diminuent drastiquement. Une perte sèche pour les fabricants.

La chasse aux sorcières :
Mais qui se permet de mettre en accusation un vaccin fait preuve d'un crime de lèse-orthodoxie. Le dr wakefield se retrouve donc pris dans une véritable chasse aux sorcières . A tel point que, se sentant menacé physiquement, Andy, comme l'appellent ses amis, doit s'exiler aux Etats Unis où il dirige actuellement un centre de soins pour enfants atteints de troubles du développement ,, à Austin.

Mais cela ne suffit pas au General Medical Council. Le conseil de l'Ordre des médecins britanniques le convoque en juin 2006 pour faute professionnelle. Le docteur est accusé de n'avoir pas respecté la déontologie médicale vis à vis de jeunes patients, d'avoir mené des travaux manquant de pertinence scientifique, d'honnêteté et de transparence.

En somme, on lui reproche sa "mauvaise conduite" car c'est avant tout le procès d'un homme à abattre. En revanche, à aucun moment n'est abordé le fond du problème qui est la sécurité du vaccin ROR mise sur la sellette par ses découvertes.

Réduit au silence :
FIn janvier, après trois années de procédure, la sentence du Conseil de l'Ordre tombe : Andrew Wakefield est reconnu coupable de tous les chefs d'accusation et il est radié par l'Ordre des médecins , il ne peut donc plus exercer. De plus, The Lancet décide purement et simplement de retirer de ses archives l'article de 1998.Voilà comment un scientifique est réduit au silence. Tandis que les tenants de la médecine officielle se félicitent qu'un point final ait enfin été mis à ce qu'ils présentent comme une polémique. Pourtant , de vraies questions continuent de se poser sur le rôle déclencheur du ROR dans "l'entérocolite autistique", comme l'a définie le Dr Wakefield. Pourquoi, chez certains enfants qui ont reçu le vaccin ROR, observe ton un phénomène de régression des acquis ainsi qu'un repli sur soi et des difficultés d'apprentissage, le tout accompagné de souffrances intestinales ?
Heureusement, grâce au soutien de parents d'enfants autistes, les recherches sur cette maladie continuent d'avancer, notamment aux Etats Unis.


une nouvelle étude étouffée dans l'oeuf :
Le discrédit sur le Dr Wakefield est jeté au moment où celui ci est en train de mettre la touche finale à une nouvelle étude d'importance sur les conséquences neurologiques des vaccins. Réalisée avec d'autres scientifiques issus de pretigieuses institutions américaines, cette étude vise à comparer deux groupes de singes, l'un vacciné, l'autre pars.
La première phase portant sur les deux premières semaines de vie après l'injection du vaccin contre l'hépatite B et publiée dans le magazine Neurotoxicology a conclu à la perte de nombreux réflexes essentiels à leur survie. Aujourd'hui il n'est pas sûr que l'étude complète puisse être publiée.

Francoise Joët (www.alis-france.com)

Merci Babette pour ce récit.

Cela prouve bien que les industries pharmaceutiques n'en ont rien à faire de la santé des gens...

Merci, Babette, c'est très intéressant et en même temps effrayant!

Fouip a écrit:

Cela prouve bien que les industries pharmaceutiques n'en ont rien à faire de la santé des gens...

C'est sûr que leur principal objectif n'est pas notre santé mais celle de leur "porte-monnaie"...!

merci babette , article très interressant
triste et révoltant !
ce meme vaccin a fait beaucoup d'autres dégats
notamment une forte hausse de la maladie de crohn , chez les jeunes nés dans les années 80

cela se passe de commentaire ...

comment le prouver mon fils est atteint d'autisme, il a des troubles intestinaux, et ça "regression" c'est faite juste après son ROR!!!!! à l'époque je n'ai pas eu peur, car j'avais refusé le vaccin contre l'hépatite B
a cause de mon père qui avait une sclérose en plaque, maintenant je ne sais plus quoi penser, et je ne suis pas seule dans ce cas, qui attaquer? l'Etat? comment prouver que ce soit a cause du vaccin??? , aurons nous un jour la vérité

en attendant, ma vie est détruite, je ne serais jamais grand-mère, je vois mon fils grandir, et s'enfermer jour aprés jour dans sa maladie .........

tant que le pognon mènera la danse,ça donnera ça...quand je pense que j'ai fait vacciner ma fille comme une bonne mère bien disciplinée.Je ne connaissais pas les dangers potentiels de certains vaccins.Wolgran,que te dire?c'est tellement dur ce que tu vis

oh wolgran , je suis vraiment vraiment désolée
je sais ce que tu ressent !

wolgran a écrit:

comment le prouver mon fils est atteint d'autisme, il a des troubles intestinaux, et ça "regression" c'est faite juste après son ROR!!!!! à l'époque je n'ai pas eu peur, car j'avais refusé le vaccin contre l'hépatite B
a cause de mon père qui avait une sclérose en plaque, maintenant je ne sais plus quoi penser, et je ne suis pas seule dans ce cas, qui attaquer? l'Etat? comment prouver que ce soit a cause du vaccin??? , aurons nous un jour la vérité

en attendant, ma vie est détruite, je ne serais jamais grand-mère, je vois mon fils grandir, et s'enfermer jour aprés jour dans sa maladie .........

c'est justement en pensant principalement à toi Wolly,qui est concernée, que je l'ai mis

et si tu trouvais un énergéticien qui puisse anéantir les effets secondaires du vaccin ?? j'avais fait cela pour les miens, dont celui de l'hépatite.

du courage, je sais que tu en as, continue, cherche...

bisous

[quote="andrée"]tant que le pognon mènera la danse,ça donnera ça...quand je pense que j'ai fait vacciner ma fille comme une bonne mère bien disciplinée.Je ne connaissais pas les dangers potentiels de certains vaccins.

et moi aussi, on faisait confiance voilà tout ...

en même temps Damien vient d'avoir 9 ans...............n'est ce pas trop tard?
j'ai une énergéticienne à coté de chez moi, mais elle travaille sur la mémoire cellulaire, j'en avais déjà parlé sur le forum, et je n'ai pas eu le temps d'approfondir .......

wolgran a écrit:

en même temps Damien vient d'avoir 9 ans...............n'est ce pas trop tard?
j'ai une énergéticienne à coté de chez moi, mais elle travaille sur la mémoire cellulaire, j'en avais déjà parlé sur le forum, et je n'ai pas eu le temps d'approfondir .......

ben non, j'ai fait cela j'en avais bien plus il n'y a rien qui ne serve à rien .. surtout en énergétique, ce n'est que du gain au final...vois avec elle ce qu'elle peut faire.. j'avais pris des granules aussi mais je ne sais plus quoi.

j'en connais qui vont bondir !!

Il y a de quoi, cela m'indigne voilà ce que je reçois , en mail


Déclaration du Dr Wakefield le 5 avril 2010 :


« Le mercredi 7 avril, les avocats du General Medical Council (GMC) demanderont que je sois rayé de l’Ordre des médecins du Royaume-Uni, ainsi que deux autres médecins impliqués dans l’affaire du ROR-autisme, et que nous n’ayons plus le droit d’exercer la médecine.
« Les instances médicales ont estimé que trois d’entre nous, le Pr John Walker-Smith, le Pr Simon Murch et moi-même, sommes coupables d’avoir entrepris des recherches sur des enfants autistes sans l’approbation d’un comité d’éthique. Nous pouvons prouver, avec de nombreux documents, que cette affirmation est fausse.
« Permettez-moi d’affirmer clairement que le procès du GMC n’avait d’autre objectif que la protection de la politique vaccinale concernant le ROR. Cette action a été menée pour écraser la dissidence, selon un plan organisé qui, à mon avis, sert le gouvernement et l’industrie pharmaceutique et non la santé des enfants. Il est important de noter qu’il n’y a jamais eu, contre les médecins, une seule plainte de parents impliqués dans cette affaire.
« Mes collègues, les Professeurs Walker-Smith et Murch, sont des pédiatres de grand renom. Depuis des dizaines d’années, ils sont des leaders en gastroentérologie pédiatrique, consacrant leurs vies à soigner des enfants malades. Notre seul « crime » dans cette matière fut d’écouter les inquiétudes des parents, d’agir selon notre conscience professionnelle, et de donner des soins appropriés à cette population enfantine délaissée. Il est impensable qu’à la fin d’une carrière remarquable, on puisse considérer les soins du Pr Walker-Smith sur des enfants comme contraires à l’éthique.
« Au cours de notre travail, nous avons découvert et traité un nouveau syndrome de maladie intestinale chez les enfants autistes, soulageant ainsi leur souffrance. Cela devrait être fêté, alors que nous avons été vilipendés par la presse et diabolisés par une vaste campagne du ministère de la Santé. Le but de cette publicité négative était de discréditer mes critiques sur la sécurité du vaccin.
« Tristement, mes collègues ont souffert de dommages collatéraux dans cette lutte pour éviter une véritable enquête scientifique. Ils devraient être épargnés et garder leur réputation intacte, car ils n’ont rien fait qui n’était juste.
« La perte de ma propre licence médicale va, malheureusement, me priver du bénéfice de mon travail. Bien que je ne prenne pas cette perte à la légère, la souffrance — dont la plus grande partie n’est pas justifiée — que j’ai constatée chez ceux qui sont victimes de cette maladie fait que, par comparaison, mes tracas professionnels semblent un petit prix à payer.
« Aussi longtemps que se posera la question de la sécurité du vaccin ; aussi longtemps que cette sécurité dans la politique vaccinale sera subordonnée au profit et à des intérêts particuliers ; aussi longtemps que les avantages des vaccins seront menacés par ceux qui ont trahi la confiance du public en niant leurs effets secondaires et aussi longtemps que ces enfants auront besoin d’aide, je continuerai mon travail. »

Le Dr Andrew Wakefield est un gastroentérologue reconnu, engagé dans l’étude de l’inflammation intestinale et son rôle dans les désordres du développement des enfants. Il s’est à présent investi dans une initiative nouvelle, spécifiquement centrée sur les causes de l’autisme. Son livre Callous Disregard (qu’on pourrait traduire par « Une indifférence glaciale ») va sortir en mai 2010. Il est probable que nous ne le trouverons pas en France avant longtemps.

Sylvie Simon