Le pouvoir des pierres
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 LES 24 GURUS DE DATTATREYA...

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MessageSujet: LES 24 GURUS DE DATTATREYA... LES 24 GURUS DE DATTATREYA... Icon_minitimeSam 1 Mai 2010 - 7:59

Une fois le roi Yadu vit Lord Dattatreya (Avadhoot) dans une forêt et s’adressa à Lui : Monsieur, vous êtes en effet tout à fait capable, dynamique et sage. Tel que vous êtes, pourquoi vivez vous dans la forêt, libre de tous désirs ? Bien que vous n’ayez ni parents proches ni même une famille, comment pouvez-vous être si heureux et auto satisfait ?

Le Avadhoot répond, « Mon bonheur et contentement sont les fruits de la réalisation du soi, j’ai gagné la sagesse nécessaire de toute la création, à travers 24 gurus. J’élaborerai cela pour vous.

Sri Dattatreya a eu 24 professeurs dans la nature « nombreux sont mes précepteurs, » Il dit au roi Yadu,’ sélectionné par mes sens incisifs, de qui j’ai acquis librement la sagesse, J’erre dans le monde…

La terre, l’air, le vent, le ciel, le feu, le soleil, le pigeon, le python, la mer, le papillon de nuit, l’éléphant, la fourmi, le poisson, Pingala le courtisan, le fabricant de flèches, le poupon (jouet) le jeu des garçons, la lune, l’abeille, le cerf, l’oiseau de proie, la demoiselle, du serpent, de l’araignée, la chenille et l’eau sont mes 24 précepteurs.

TERRE : toutes les créatures en conformité avec leur karma (leurs actions) assument différentes formes physiques et vivent sur la terre. Les gens labourent, creusent et foulent la terre. Ils allument des feux sur elle. Immobile, la terre ne dévie pas de sa course même pas d’un cheveu. D’un autre côté, elle nourrit et abrite toutes les créatures. Voyant cela, j’ai appris que le sage ne devrait jamais dévier de son vœu de patience, d’amour et de justice dans n’importe quelles circonstances et il devrait consacrer sa vie pour le bien-être des Êtres vivants. La terre avec ses montagnes et ses rivières est mon premier Guru.

AIR : j’ai observé que l’air est pur et inodore en soi. Et il passe à la fois sur les odeurs douces et nauséabondes des choses sans aucune discrimination ou préférence. Bien qu’il semble prendre l’odeur des environs, tout à l’heure il révèle ses qualités vierges, intactes. De cela j’ai appris qu’un aspirant spirituel devrait vivre dans le monde, inaffecté par les dualités de la vie comme la joie et la tristesse à cause des objets des sens. Il devrait garder les sentiments de son cœur et sa parole non pollués par des objets inutiles. Comme j’ai appris tout cela en l’observant, l’air est mon second guru.

LE CIEL : L’âme aussi est comme le ciel, qui est omniprésent. J’ai remarqué que quelques fois, le ciel (ou l’espace) devient très nuageux, ou rempli de poussières ou de fumée. Au lever du soleil et durant la nuit, il semble prendre différentes couleurs. Mais en réalité, il conserve toujours sa propre couleur, et il n’est jamais touché ou coloré par quoi que ce soit. De cela J’ai appris qu’un vrai sage devrait toujours rester pur comme le ciel ou l’espace, intouché ou inaffecté par quel que soit l’univers phénoménal dans le temps, y compris son propre processus physique. Son être intérieur est totalement libre de la réaction émotionnelle aux choses et aux événements de même que l’espace. Ainsi j’ai accepté le ciel et l’espace comme mon troisième guru.

LE FEU : Mon quatrième professeur est l’élément feu. Quelques fois, il se manifeste lui-même comme des flammes : quelques fois comme des braises, couvert par les cendres. Mais il est toujours présent dans tous les objets sous forme de chaleur latente. Le Dieu du feu accepte les offrandes de tout le monde, sans égard à sa valeur morale et brûle ses péchés ; et il demeure encore la pure divinité comme le Dieu du feu ; il demeure intouché par les péchés de quelques dévots. Ainsi un sage de réalisation parfaite acceptera la nourriture de n’importe qui, le feu brûle ses péchés et bénit le donateur. Bien que le feu n’ait pas de forme spécifique, quand il est associé au fuel qui brûle, il assume quelques formes apparentes. De même le vrai Soi, bien que sans forme lui-même, apparaît sous la forme des divinités, des êtres humains, des animaux et des arbres quand il est associé aux structures physiques respectives. La source de toutes les formes dans l’univers, de même que leur fin, demeure toujours mystérieuse. Toutes les choses sont manifestées seulement entre leur origine et leur fin. Leur source et la fin est le vrai Soi, qui est éternel, inchangé, in manifesté et omniprésent. Telle est la nature de l’élément feu. Le feu transforme le manifesté de diverses choses qu’il consume dans la même cendre. De même, la sagesse de la réalisation du soi rejette les formes manifestées et les propriétés des choses comme une illusion et réalise leur essence originelle comme lui-même. Ainsi l’élément feu est mon quatrième guru.

LE SOLEIL : Mon cinquième guru est le soleil. Bien que le soleil que nous voyons quotidiennement dans la vie est un, il apparaît comme plusieurs quand il est reflété par l’eau dans différents « récipients ». De même le soi réel se manifeste lui-même dans de nombreuses créatures vivantes quand il est réfléchi par leurs structures physiques. Comme le soleil illumine les nombreuses formes dans la nature que nous voyons, le sage aussi illumine la vraie nature des choses à ses dévots.

LE PIGEON : J’ai aussi acquis la sagesse du pigeon. Une fois un couple de pigeons vivait ensemble sur un arbre. Ils élevaient leurs jeunes et leur apportaient (la nourriture) avec une profonde affection et amour. Un jour, un chasseur a attrapé un oisillon dans un piège. La maman pigeon qui revenait de la forêt avec de la nourriture pour ses jeunes vit leur mauvaise situation et, incapable de vivre sans eux, elle a sauté dans le piège pour partager leur sort. Peu de temps après, le pigeon mâle arriva et incapable de supporter la séparation d’avec sa femme, il sauta aussi dans le piège et tomba mort. Réfléchissant à cela, j’ai compris combien, même après être né comme un être humain intelligent, l’homme est pris dans le repli de la possessivité et cause sa destruction spirituelle. Le Soi, qui est libre originellement, quand il est associé aux sens s’identifie avec lui, et ainsi est pris dans le cycle sans fin de la naissance la mort et la misère. Ainsi le pigeon était mon sixième guru.

LE PYTHON : Le python est un fainéant, est prêt à partir vivement pour sa proie. Il se faufile et dévore n’importe quoi qu’il rencontre, que ce soit suffisant pour apaiser sa faim. De cela j’ai appris que l’homme qui cherche la sagesse doit se retenir de courir après les plaisirs, et accepter n’importe quoi qu’il obtient spontanément avec contentement. Comme le python, il devrait se secouer du sommeil et être vigilant et vivre dans un état de méditation incessant sur le Soi. Ainsi le python était mon septième professeur de sagesse.

LA MER : Contemplant la merveilleuse nature de l’océan, j’ai acquis beaucoup de sagesse. Il y a de nombreuses rivières qui la rejoignent, cependant la mer maintient son niveau. Son niveau ne baisse même pas d’un cheveu quand les rivières sont asséchées. De même les joies de la vie ne transportent pas le Sage or de la Sagesse, ni ses chagrins ne le dépriment. De même que le niveau de la mer ne franchit jamais ses limites sur la plage, le sage ne transgresse jamais les plus hauts standard de la moralité sous l’effet des passions. Comme la mer, il est invincible et ne peut être troublé par quoique ce soit. Comme l’océan insondable, sa vraie nature et la profondeur de sa sagesse ne peuvent êtres facilement compris par le monde. Ainsi donc, l’Océan qui m’a appris ceci est mon huitième guru.

LE PAPILLON DE NUIT : j’ai souvent observé que le papillon de nuit (ou, plus précisément, une sauterelle) est tenté de sauter dans le feu et il se brûle. De Même l’homme irréfléchi est séduit par les plaisirs illusoires des sens et donc il est pris dans les cycles continus de la naissance et de la mort. D’un autre côté, le sage, quand il attrape même un aperçu du feu de la sagesse, laisse tout de côté, bondit dans cela et brûle l’illusion d’un être limité. Ainsi le papillon de nuit était mon neuvième guru.

L’ELEPHANT : L’éléphant était mon dixième guru. Les êtres humains élève l’éléphant comme une vache en peluche dans la forêt. L’erreur de l’éléphant sauvage mâle s’il a un compagnon, elle s’approche de lui puis adroitement bondit dans les entraves par les ruses de l’être humain. De même, l’homme dégénéré est tenté par le sexe opposé et est liés par les entraves de l’engouement. Le chercheur après la libération apprendra à être libre de la luxure. L’éléphant était l’un de mes professeurs.

LA FOURMI : La fourmi emmagasine beaucoup de nourriture qu’elle ne mange ni ne donne par charité à d’autres créatures. Par conséquent, d’autres créatures plus puissantes sont tentées de piller les fourmis. De même l’homme qui place ses trésors dans les biens matériels devient une victime des hold-up et du meurtre. Mais la fourmi a aussi quelque chose de positif à nous apprendre. C’est une travailleuse infatigable et jamais découragée par les nombreux obstacles et difficultés dans ses efforts pour amasser son trésor. De même le chercheur avec sagesse devrait être infatigables dans ses efforts pour la réalisation du Soi. Cette noble vérité que la petite fourmi m’a enseigné et elle est devenue mon onzième guru.

LE POISSON : le poisson avale avidement l’appât et il est alors surpris par l’hameçon. De cela, j’ai réalisé que l’homme créé sa destruction par son besoin de nourriture délicieuse. Quand le palais est conquis, tout le reste est conquis. En outre, il y a une qualité positive dans le poisson. Il ne quitte jamais sa maison, c’est-à-dire l’eau. Ainsi l’homme ne devrait jamais perdre de vue son véritable moi, mais ne jamais avoir son être dans cela. Ainsi le poisson est devenu mon douzième guru.

PINGALA : le treizième guru qui a éveillé mon esprit est une prostituée nommée Pingala. Un jour, elle a attendu avec impatiente un client particulier dans l’espoir qu’il la paierait amplement. Elle a attendu et attendu jusque tard dans la nuit. Quand elle a vu qu’il ne venait pas, à la fin, elle était désabusée et réfléchie ainsi :’ Hélas ! Comme je suis stupide ! négligeant l’esprit divin à l’intérieur, qui est de la nature de la béatitude éternelle, j’ai bêtement attendu un débauché (un être sensuel) qui m’inspire la luxure et la cupidité. Dorénavant, je me consacrerai au Soi, m’unirai avec Lui et obtiendrai la joie éternelle. Grâce à cette repentance, elle a atteint la béatitude. En outre, réfléchissant sur ces propos évidents, j’ai aussi réalisé qu’un aspirant spirituel devrait de même rejeter la tentation des pouvoirs spirituels, qui sont seulement produits par la sadhana (pratiques spirituelles). J’ai appris que la tentation d’obtenir des choses des mains des autres sont les graines de la misère ; que renoncer à cela est le seul moyen de réaliser la joie infinie.

LE FABRICANT DE FLECHES : une fois, j’ai observé un fabricant de flèches qui était totalement absorbé par le moulage du tranchant de la flèche. Il devint si oublieux de tout qu’il ne vit même pas un spectacle royal qui passait. Cette vision me réveilla à la vérité qu’une telle obstination, en s’absorbant dans la contemplation du Soi élimine spontanément toutes les tentations pour les curiosités triviales du monde. C’est le seul secret du succès dans la discipline spirituelle. Aussi le fabricant de flèches est mon quatorzième guru.

JOUEUR OU JOUEUSE : Les petits garçons et petites filles ne connaissent jamais l’honneur ou le déshonneur. Ils ne nourrissent pas une rancune ou un préjudice contre personne. Ils ne savent pas ce qui leur est propre ou ce qui appartient aux autres. Leur bonheur jaillit de l’intérieur d’eux-mêmes, leur créativité innée et ils n’ont pas besoin d’objets ou de conditions extérieures pour être heureux. J’ai réalisé que le sage de parfaite illumination est aussi comme ça. Un garçon joueur ainsi il devint mon quinzième guru.

LA LUNE : de toutes les choses dans la nature, la lune est unique. Elle paraît croître et décroître pendant les quinzaines brillantes et sombres. En réalité, le globe lunaire demeure toujours le même. En cela, c’est comme le Soi de l’homme. Alors qu’un homme semble passer à travers les étapes de la petite enfance, de l’enfance, la jeunesse, la maturité et la vieillesse, son vrai Soi reste inchangé. Tous les changements concernent seulement le corps et non le Soi. À nouveau la lune reflète seulement la lumière du soleil, mais ne change pas. Ainsi, l’âme ou l’esprit de l’homme est seulement une réflexion de la lumière de la Conscience du Soi réel. Après m’avoir enseigné cette vérité, la lune est devenue mon seizième guru.

L’ABEILLE A MIEL: L’abeille erre de fleur en fleur, et sans les endommager, tire le miel. De même un chercheur spirituel devrait étudier toutes les écritures saintes mais garder dans son cœur, seulement ce qui est essentiel pour sa pratique spirituelle. Tel est l’enseignement que j’ai absorbé de mon dix-septième guru, l’abeille qui ait le miel.

LE CERF : on dit que les cerfs sont très friands de musique et que les braconniers l’utilisent pour l’appâter avant de les chasser. De cela j’ai appris que les passions et désirs sexuels alourdiront un aspirant spirituel qui a une faiblesse pour la musique uniquement profane, jusqu’à ce qu’il perde tout progrès spirituel qu’il a atteint antérieurement. Le cerf m’a enseigné cette vérité, c’est mon dix-huitième guru.

L’OISEAU DE PROIE : Un oiseau de proie est mon dix-neuvième guru. Un jour, j’en ai vu un emportant un rat mort. Beaucoup d’autres oiseaux comme les corbeaux et les aigles l’ont attaqué, en lui donnant un coup de patte sur sa tête et en picotant ses côtés essayant de faire tomber sa proie.Le pauvre oiseau était vraiment très embêté. À la fin, il laisse sagement tomber sa proie et tous les autres oiseaux se précipitent dessus. Ainsi en se libérant d’une telle difficulté, il poussa un soupir de soulagement. De cela j’ai appris qu’un homme qui court après les plaisirs du monde serait vite en conflit avec ses semblables qui courent pour la même chose, et doit faire face à beaucoup de conflits et d’antagonisme. S’il apprend à vaincre sa soif des choses du monde, il peut s’épargner lui-même beaucoup de malheur. J’ai réalisé que c’était la seule voie pour la paix dans le monde.

UNE JEUNE FILLE : Une fois, j’ai observé une famille qui visitait la maison d’une jeune fille, pour demander la main de la fille en mariage pour leur fils. À ce moment, sa mère était loin de la maison. Aussi la jeune fille elle-même a occupé les invités avec des rafraîchissements. Elle a commencé à écraser les grains avec un pilon pour faire un pouding. Les bracelets de sa main commençaient à se cogner les uns contre les autres. Elle avait peur que les invités puissent entendre les bruit et être malheureux pour lui avoir causé tant de peine. Comme une jeune fille Indu, elle ne pouvait pas enlever ses bracelets à tout moment. Aussi elle en garda deux sur chaque main et enleva les autres. Même alors, ils se cognaient l’un contre l’autre et cela faisait du bruit. Alors, cette fois elle ne garda qu’un bracelet à chaque main et elle pu finir sa tache tranquillement.Réfléchissant à cela, j’ai réalisé que quand un nombre de chercheurs spirituels vivent ensemble, un tas de bavardage s’ensuit et aucune pratique spirituelle ne peut être poursuivie avec une pensée unique sur l’effort. Ce n’est que dans la solitude, qu’un aspirant spirituel peut mener à bien sa tache. Connaissant cette vérité, j’ai désormais eu recours à la solitude. Ainsi une jeune fille est devenue mon vingtième guru.

SERPENT : : j’ai observé que le serpent ne construit jamais une maison pour lui-même. Quand les fourmis blanches ont élevé une fourmilière pour elles-mêmes, le serpent, éventuellement vient et l’habite. De la même façon, les gens ont à souffrir de beaucoup de difficultés pour se construire une maison, alors qu’un moine ermite ne fait rien de tel. Les gens du monde élèvent des monastères et les moines vivent entre eux, ou ils vivent dans de vieux temples délabrés ou à l’ombre des arbres. Le serpent mue et laisse sa vieille peau. De même à la fin à la fin de sa vie, le Yogi quitte son corps délibérément et en pleine conscience de sa véritable identité et n’est pas effrayé par le phénomène de la mort. D’un autre côté, il se débarrasse de son vieux corps et quitte ses vêtements usés et en prend un nouveau. C’est ce que m’a appris mon vingt et unième gourou.

L’ARAIGNEE : l’araignée est vingt deuxième gourou. Elle tisse sa toile à partir d’un fluide sous la forme d’un fil. Après quelque temps, elle ramène la toile en elle-même. Le projet suprême de la création tout entière hors de soi et en soi après quelques tems se retire en elle-même au moment de la dissolution. L’âme individuelle aussi, porte les sens et l’esprit en elle-même et à sa naissance comme un être humain ou quelque autre créature vivante, elles projettent hors d’elles comme les organes des sens, les organes de l’action et le corps tout entier. En accord avec les tendances latentes, la créature qui est né, « ramasse » tous les objets et tout ce dont elle a besoin pour vivre. À la fin de sa vie, l’âme se retire de tous les sens, l’esprit et les tendances acquises à l’heure de la mort. Ainsi ai-je appris de l’araignée.

LA CHENILLE : la chenille est aussi un de mes maîtres de sagesse. La guêpe porte sa chenille dans un coin sur et l’enferme dans son nid et va bourdonner autour d’elle. La jeune chenille est tellement effrayée par le bourdonnement incessant, qu’elle ne pense plus à autre chose que le bourdonnement de la guêpe. À travers une telle contemplation fiévreuse de sa mère, la chenille grandit très vite et devient une guêpe ! de façon similaire, un vrai disciple est tellement charmé et impressionné par l’éminence spirituelle de son gourou qu’il ne peut penser à autre chose qu’à Lui. Grâce à une telle contemplation, il fleurit rapidement et devient un grand Maître spirituel lui-même. La chenille est alors mon 23e gourou.

L’EAU : l’eau est mon 24e gourou. Elle apaise la soif de toute créature, soutient d’innombrables arbres et toutes les créatures. Pendant qu’elle sert tous les êtres vivants, i elle n’est jamais fière d’elle-même. D’autre part, elle cherche humblement des endroits modestes. Le sage aussi devrait donner une meilleure santé, la paix et la joie à chaque créature qui dépend à lui. Cependant il devrait toujours vivre comme la plus humble des créations de Dieu.

Avec humilité et dévotion, j’ai observé la Création de dieu entièrement comme mon guru, et cueillant la sagesse et grâce à un effort patient j’ai réalisé mon but de l’illumination spirituelle.
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