Bienvenue à toi ChaM c'est un plaisir de rencontrer une autre personne ayant une formation scientifique et surtout bravo pour cette remarquable ouverture d'esprit !
Je reviendrai juste sur un point qui me semble important, tu as parlé de cette notion de mélange du sacré et du soin. C'est très important de ne pas oublier que les médecines parallèles sont hollistiques, elles participent donc nécessairement au bien être du Corps et de l'Âme. Ces thérapies ne se contentent pas "bêtement" de régler des dysharmonies physiques ou énergétiques, elles agissent sur la totalité de ce qu'est l'Homme. Partant de là il n'y a pas vraiment de mélange entre le soin et le sacré, ils sont incluent naturellement dans la dynamique du soin.
Autre point qui me semble fondamental, c'est l'hygiène du thérapeute. On ne peut pas se contenter de poser des cailloux sur un individu sur le principe que ces pierres aient des vertues curatives. Le thérapeute est investit ... il est une des composantes de la fonction curative. Cet investissement normalement doit se traduire par une connaissance des traditions ayant donné naissance aux soins pratiques et c'est là que le sacré fait à nouveau son entré.
Le sacré est une notion très vaste, presque caricaturale, moi quand j'entends ça, je ne peux m'empêcher de penser au sacré des eglises, de la foi chrétienne etc. mais se sont des petits aspect sd'un Sacré bien plus général. Ce Sacré à mon sens c'est une conscience de l'Homme profondément uni à la Nature, partant de là, dans la mesure ou les médecines douces ne sont que des solutions pour rapprocher l'Homme du milieu qui l'a engendré, soit un retour vers l'équilibre, pourquoi ne pas unir les deux ? Le fait, le factuel, le raisonement scientifique sont rigoureux, mais si froid, le sacré remet les choses dans leur monde avec la chaleur qui leur ait dû. Ca n'engage que moi, mais l'entré du Sacré dans ma vie de chimiste m'a donné une compréhension du Réel bien différente de celle que m'offre la curiosité.
Mais chacun son chemin c'est ce qui compte.