Une rapide recherche m'a donné ceci :
Alors, pour parfaire leurs chefs d'oeuvre, les orfèvres les incrustaient délicatement de pierres précieuses, de fleurs de lotus émaillées, ou plus simplement de pâtes de verre colorées, de céramique ou de coquillages. Ainsi à l'éclat de l'or se mêlait une riche et somptueuse palette de couleurs, rayonnant de reflets éblouissants sous le soleil de l'Egypte.
Avec des perles de porcelaine, bleues ou ocres, ils réalisaient de fragiles et gracieux colliers.
Ils avaient à disposition une grande variété de pierres précieuses aux teintes diverses.
Certaines provenaient du désert Egyptien : cornaline orange, felsdpath vert, améthiste mauve.
D'autres devaient être importées, par voie maritime ou par les routes caravanières, comme la turquoise du Sinaï et le lapis-lazuli de l'Afghanistan.
La fée