c'est clair qu'il y a tellement de lobbies que personne ne croit que le lait (de vache principalement) sous quasiement toutes ses formes est un poison
voici ce que l'on trouve entre autre sur le net à propos du lait :
Désordres causés par la consommation de lait et dérivés
Problèmes digestifs, gastriques et intestinaux :
digestion lente, lourdeur digestive, indigestion, bouche pâteuse ou excès de salive, hoquets, régurgitations nausées, vomissements, hémorroïdes, ralentissement du transit, constipation ou diarrhée avec putréfaction ou fermentation, maux de ventre, tensions, spasmes, coliques, ballonnements, flatulences, selles sanguinolentes et/ou glaireuses, congestion hépatique, insuffisance biliaire, inappétence, anorexie, gastrite, entérite, gastro-entérite, colite, recto-colite hémorragique ou non, hyposthénie, hypotonie, et/ou atonie digestive et métabolique, plaies de l'ulcère rongeur, crampes d'estomac, distension abdominal, obstruction intestinale, mauvaise absorption, perte d'appétit, retard de croissance, défécation douloureuse, irritation de langue, lèvres, et bouche…
Problèmes ORL, bronchiques et respiratoires :
congestions, mucosités, glaires, catarrhes, écoulements du nez (rhinite ou coryza), des sinus (sinusite), des végétations (végétations adénoïdes), du pharynx (pharyngite, rhinopharyngite), du larynx (laryngite), des amygdales (angine, amygdalite), de la trachée (trachéite), des bronches (bronchite, bronchiolite), des oreilles (otite), des mastoïdes (mastoïdite), des yeux = conjonctivite, blépharite, orgelet aigus ou chroniques, persistantes ou à répétition, avec possibilités de réactions fébriles et/ou spasmodiques allergiques ou non (éternuements, tensions, spasmes, douleurs, spasmes, asthme, oppression respiratoire), et avec possibilités d’invasion microbienne (bactéries, virus), manque d'air nasal, otidis media (problème de l'oreille intérieur), asthme pulmonaire
Problèmes cutanés ou dermatologiques :
- croûtes de lait, rougeurs, eczéma, urticaire, abcès, furoncles, acné, séborrhée, kystes avec ou sans démangeaisons (prurit) avec ou sans invasions microbiennes, éruptions, atopique dermite, urticaires, et beaucoup d'autres affections dermatologiques
Problèmes rhumatologiques, rhumatismaux, osseux et/ou articulaires :
- rhumatismes avec inflammation (œdème, arthrite, polyarthrite, arthritisme, neuro-arthritisme) et/ou avec dégénérescence (ostéoporose, décalcification, arthrose, épanchement), avec ou sans réactions spasmodiques (tensions, raideurs, douleurs, spasmes, contractures), et souvent sensibles et aggravés à l’humidité et/ou au froid
Problèmes génitaux et urinaires :
- pertes blanches (leucorrhées), congestion mammaire avec ou sans tension, souvent aggravée avant les règles (syndrome prémenstruel), stérilité, kystes, fibromes, tumeurs ou chez l’homme congestion prostatique
- néphrite ou néphrose, avec ou sans dépôts calciques, calculs ou lithiases, cystite, cystalgie, énurésie, . . .
Problèmes circulatoires, artériels, veineux, et lymphatiques :
- hypertension ou hypotension, anémie, ralentissement circulatoire, congestion veineuse, stase lymphatique, hypertrophie des ganglions, adénite, scrofulose, imprégnation hydrique, rétention d’eau, œdème, dépôt calcique, artériosclérose, angor, artérite, coagulation anormale du sang, anémie par manque de fer (les produits laitiers sont la cause d'au moins 50% d'anémie par manque de fer chez les enfants et un pourcentage inconnu d'anémie chez les adultes; cette condition résulte du saignement de l'intestin grêle causé par les protéines des produits laitiers et n'est pas sensible à une thérapie en fer tant que le lait et autres produits laitiers ne sont pas éliminés), low-serum proteins, thrombocytopénie (plaquettes basses), et éosinophilie (cellules du sang allergique-apparentées).
Le lait empêche l'assimilation du zinc et augmente nos besoins en vitamines A et B12.
Troubles du comportement :
irritabilité, agitation, hyperactivité, mal de tête, léthargie, fatigue, syndrome de la fatigue de tension allergique, douleur musculaire, dépression mentale, énurésie (incontinence d'urine, le plus souvent nocturne).
Problèmes généraux :
- prédominance de l’Élément Eau Humidité (kapha selon l’ayurveda ou yin selon médecine taoiste), sensibilité à l’humidité et/ou au froid, diminution et déficit de l’attention, de l’éveil, somnolence, lenteur mentale, léthargie, autisme, fatigabilité, fatigue, hyposthénie, hypotonie,asthénie,anergie, musculaire, nerveuse,et générale, donc déficience de la vie animique excès de la vie végétative, prise de poids, surcharge pondérale, obésité, hypercholestérolémie, hyperlipémie, et déséquilibre, ou aggravation, des constitution carbonique (kapha selon ayurveda ou yin selon le tao), tempérament lymphatique (kapha ou yin), terrain ou diathèse sycotique (sycose selon homéopathie), pré-cancérose ou terrain diathèse pré-cancéreuse (cancérinisme selon homéopathie) qui favorise des cancers, terrain diathèse arthritique ou neuro-arthritique,terrain allergique, diathèse hyposthénique, diathèse anergique, terrain diabétique, ralentissement du métabolisme de base, frilosité ou refroidissement, intoxication, céphalées, maux de tête, migraines, nervosisme, spasmophilie, tétanie, maladies auto-immunes, collagénoses, scléroses, dégénérescences, déficience immunitaire, amaigrissement et dénutrition lors de troubles digestifs chroniques de malabsorption digestive
La consommation des produits laitiers à haut pourcentage de gras contribue au développement de maladies coronariennes, de certains cancers et d'attaques d'apoplexie, les trois maladies qui tuent le plus de personnes au Canada.
LAIT ET CANCERS
Le lait c’est fait pour le veau, pas pour les être humains adultes. D’ailleurs il provoque le cancer. Quel est véritablement le danger ?
Aujourd’hui il semble le lait et les produits laitiers sont sur la sellette.
Cela fait quelque temps que nous sommes préoccupés par les dangers pour la santé que présente la consommation de lait et de produits laitiers. Dans 'Nouvelles du monde' du dernier numéro [en anglais], nous avons publié un article sur les risques de cancer dû à la consommation de lait traité à la STB (somatotrophine bovine). Nous avions également présenté le livre de Robert Cohen : Le Lait : poison mortel. Pour l'article qui suit, nous avons sélectionné des questions et commentaires tirés du site internet questions- réponses de Robert Cohen 'l'homme anti-lait'. Mais faites attention : après avoir lu ceci il se peut fort bien que vous ne buviez plus jamais de lait ! – l'éditeur. Article extrait de la revue Nexus
˜ Le professeur Jane Plant est convaincue que les produits laitiers peuvent provoquer des cancers à cause de la composition chimique complexe du lait.
Tous les laits, humains ou d’autres mammifères, transportent des centaines de composants chimiques.
Le lait est une solution biochimique puissante spécifiquement conçue pour convenir aux besoins des jeunes de la même espèce. Pr. Plant : ' Il ne faut pas croire que le lait de vache n’est pas bon. C’est un aliment merveilleux - pour les bébés vaches. Il est très différent du lait humain d’un point de vue nutritionnel. Il contient trois fois plus de protéines et beaucoup plus de calcium.
Le lait du sein, comme le lait de vache, contient des éléments chimiques conçus pour jouer un rôle important dans le développement des petits. C’est le cas du facteur de croissance insuline, ou IGF-1, qui provoque la division et la reproduction des cellules. IGF-1 est biologiquement actif chez les humains, surtout pendant la puberté en période de croissance rapide. Il stimule la croissance des seins chez les jeunes filles. Pendant la grossesse, il est à nouveau à un haut niveau, accompagné par l’action des hormones prolactine et œstrogène, favorisant l’élasticité des tissus des seins et stimulant la production de cellules lactifères pour préparer l’allaitement.
Bien que la concentration et les sécrétions de ces hormones dans le sang soient faibles, elles exercent une influence très puissante sur le corps. Toutes ces hormones sont présentes dans le lait de vache. IGF-1 est identique dans le lait humain et dans le lait de vache, mais à des concentrations beaucoup plus importantes dans le lait de vache. On le trouve aussi dans la viande de vaches laitières (d’où provient la majeure partie du ' bœuf ' vendu aux consommateurs - n.d.t.).
On pense maintenant que cette forte concentration de IGF-1 chez les humains constitue un facteur de risque de cancer du sein et de la prostate. En 1998 une étude chez des femmes en pré-ménopause a révélé que celles qui avaient un haut niveau de IGF-1 dans le sang couraient 3 fois plus de risque de contracter un cancer du sein que celles qui avaient un niveau bas. Æ Chez les femmes de moins de 50 ans, le risque était multiplié par sept !
Les chercheurs de la Nurses Health Study ont identifié un lien entre lactose (sucre très présent dans le lait et le yogourt mais moins dans le fromage) et un type de cancer des ovaires. Le lactose se transforme en galactose qui entraîne lui la mort des ovocytes, cellules reproductrices des ovaires. C'est cette diminution en ovocytes qui induit le développement du cancer ovarien.
D’autres études ont montré que de hauts niveaux de IGF-1 dans le sang chez un homme est un indicateur fiable d’un cancer de la prostate. Il est intéressant de remarquer que les récents efforts pour augmenter la production de lait, augmente en même temps le niveau de IGF-1 chez la vache. Est-ce que l’IGF-1 du lait et de la viande de vache peut s’accumuler chez les humains pendant des années et provoquer la division aberrante des cellules ?
Bien que nous produisions notre propre IGF-1, les surplus que nous ingérons avec les produits laitiers pourraient-ils provoquer des cancers ?
Jane Plant savait déjà que le médicament Tamoxifen, utilisé dans le traitement des cancers du sein doit son efficacité au fait qu’il abaisse le niveau d’IGF-1 dans le sang.
IGF-1 n’est pas détruit par la pasteurisation, mais les critiques prétendent qu’il est détruit par la digestion et désactivé. Jane croit que la protéine principale du lait, la caséine, empêche cette désactivation, et que l’homogénéisation, qui empêche le lait de se séparer de la crème, pourrait accroître le risque de niveaux élevé dans le sang d’hormones et autres éléments chimiques qui favorisent le développement de cancers. Elle pense aussi qu’il existe d’autres éléments dans le lait de vache responsables d’envoyer des messages confus aux cellules humaines adultes. La prolactine, qui stimule la production de lait chez la vache, pourrait avoir un effet similaire sur les cellules du sein, et déclencherait le même type de mécanisme chez la femme :
Æ les cellules seraient alors embrouillées et stressées, et feraient des erreurs en dupliquant leur propre ADN. De fait, plusieurs études ont confirmé que la prolactine favorise la croissance in vitro de cellules prostatiques cancéreuses.
Une autre hormone, l’œstrogène, considérée comme un des principaux facteurs de risque du cancer du sein, est présent dans le lait en petites quantités. Mais même de très petites quantités d’hormones sont capables de provoquer de sévères dégâts biologiques. Æ Des quantités microscopiques d’œstrogène dans nos rivières sont suffisamment puissantes pour que les poissons mâles changent de sexe. Même si l’œstrogène dans le lait ne constituait pas une menace directe aux cellules, il peut tout à fait stimuler l’expression de l’IGF-1 qui, à la longue, provoquera l’apparition d’une tumeur.
Jane Plant a rencontré de plus en plus de soutien pour ses théories parmi les cancérologues. Elle souligne qu’elle ne s’attaque pas aux approches plus traditionnelles. Elle souhaite que son programme diététique complémente, et non remplace, les meilleures thérapeutiques de la médecine conventionnelle.
Les commentaires de L'HOMME ANTI-LAIT :
Pour votre intérêt, j'ai eu une conversation avec une nutritionniste française hier. Elle prétendait que les Français, qui mangent beaucoup de fromage et boivent beaucoup de lait, sont encore le peuple qui jouit de la meilleure santé sur la planète. Eh bien, je lui ai répondu qu'en 1994, 16,49 femmes américaines sur 100 000 étaient mortes d'un cancer du sein. La même année, le chiffre était plus élevé pour la France. Les Français mangent plus de fromage et boivent plus de lait que les Américains, et 17,79 femmes sur 100 000 sont mortes d'un cancer du sein.
Maintenant, les très mauvaises nouvelles : le peuple de Norvège boit encore plus de lait que les Français. Prêt pour le taux de cancer du sein ? Il est de 17,98 femmes pour 100 000 ! Cela pourrait être pire : les Pays-Bas ont un taux de 22,13 morts par le cancer du sein sur 100 000. Souvenons-nous de la Laitière hollandaise (qu'elle repose en paix) lorsque nous apprenons la vérité sur les hormones du lait. Article extrait de la revue Nexus
Parmi les professionnels de santé à l’origine de cette mise en cause du lait, on trouve au premier rang le Dr Jean Seignalet, l’auteur de 'l’Alimentation ou la troisième médecine'. Dans son livre, il suggère de 'Supprimez tous les laits animaux (vache, chèvre, brebis) et leurs dérivés : beurre, fromage, crème, yaourt, glace'. Selon lui, le lait serait en effet responsable de maladies auto-immunes (problèmes articulaires, sclérose en plaques), de cancers et de problèmes d’asthme ou d’allergies. Une thèse défendue également par Henri Joyeux, professeur de cancérologie et de chirurgie digestive à la Faculté de Médecine de Montpellier, qui a préfacé l’ouvrage du Dr Seignalet et qui a lui-même édité 'Changez d’alimentation'.
Le risque a été montré à très forte dose : le cancer de la prostate. Dans ce cas, une étude de 86 000 personnes a indiqué que les apports extrêmement élevés en calcium (plus de 2 g par jour, soit au delà des apports nutritionnels conseillés) peuvent induire une augmentation des cas de cancer. Les différentes études et les affirmations qui en découlent ont conduit les autorités sanitaires à faire une mise au point sur les risques réels entre lait et cancer.
Quelques études suggèrent que le lait soit lié au risque sensiblement élevé du cancer de la prostate.
Le lien entre l'asthme et le lait des vaches est bien connu à beaucoup de jeunes victimes d'asthme et à leurs parents. La consommation du lait de vache pour les asthmatiques peut même entraîner des attaques graves d'asthme et une hospitalisation pour la pneumonie asthme-connexe. Les études suggèrent que, avec ou au lieu de créer le mucus excessif, le lait puisse empirer l'asthme dû à l'allergie non-diagnostiquée du lait. La consommation du lait de vache et de fromage peut aggraver et obstruer les poumons et devrait être évitée, écrit le professeur Gary dans son encyclopédie complète de guérison normale. Puisque quand plus de mucus s'accumule dans les poumons et ne peut être expulsé, les attaques d'asthme se développent.
Comme Dr. Robert M. Giller écrit dans des prescriptions normales, en éliminant les produits laitiers des régimes cela aide d'asthmatiques adulte et enfant ' pas seulement parce que les produits laitiers stimulent la production de mucus mais parce qu'ils sont des causes très communes d'allergies supérieures respiratoires et d'asthme (qui peuvent être une allergie en soi)'. Le lait est l'un des 2 ou 3 allergènes alimentaires les plus communs dans le régime américain, indique le Dr. James Braly, spécialiste en allergie. Quand la plupart des personnes pensent à des allergies de lait, elles pensent au choc anaphylactique : une réaction allergique grave et représentant un danger pour la vie qui peut seulement être soulagée avec un projectile d'epinephrine.
Un enfant qui a souffert d'asthme dû au lait, peut souffrir d'acné grave durant son adolescence. Æ L'allergie au lait est toujours présente, mais ses symptômes se sont déplacés à un système d'organe différent, souvent trompant le patient et le médecin.
En conséquence, les symptômes d'une allergie fondamentale au lait peuvent commencer dès l'enfance, seulement manifestés par l'eczéma, un symptôme qui peut demeurer plus tard durant l'enfance et l'âge adulte. En outre, en plus de l'asthme et l'eczéma, une allergie fondamentale au lait peut se manifester par des : bronchite, sinusite, désordres auto-immuns, grippe et infections fréquentes de l'oreille et même problèmes comportementaux.
Cependant, selon le Dr. Oski, quelques enfants et adultes peuvent ne pas être allergiques au lait lui-même, mais plutôt à des antibiotiques passés dans le lait des vaches laitières. Le Dr. Oski explique ce phénomène : 'Des antibiotiques, le plus généralement la pénicilline, sont donnés aux vaches pour le traitement de la mastite, une inflammation des mamelles. Les vaches ne sont pas censées être traites pendant 48 heures après réception de la pénicilline. Souvent cette précaution n'est pas suivie et alors la pénicilline apparaît dans le lait en petite quantité.
Les traitements antibiotiques aggravent les problèmes digestifs des asthmatiques en changeant l'équilibre sensible des bactéries dans leur intestin. Et pendant qu'ils continuent à consommer les produits laitiers, leurs symptômes s'aggravent et l'asthme réapparaît. L'asthmatique a l'impression que le traitement standard contre l'asthme semble aider, mais en fait, il cause la perte osseuse mesurable.
La consommation du lait durant l'enfance peut provoquer à l'âge adulte bronchospasme* (contracture spasmodique des bronches, gênant la respiration, caractéristique de l'asthme) 2 ou 3 fois par semaine ; chaque attaque a une durée d'1 ou 2 heures. Les symptômes, une toux sèche et une dyspnée* après le déjeuner. (* trouble la respiration accompagnant les affections respiratoires, et certains accidents neurologiques). L'asthme peut devenir si grave qu'elle peut conduire à une hospitalisation après seulement l'absorption d'un verre de lait.
Le marché de l'asthme
Voici un extrait du texte pris sur le site du Ministère de la Santé :
La gravité de l’asthme s’accroît : le nombre de décès dû à l’asthme a augmenté de 36% entre 1980 et 1995 ; depuis 1990 il se stabilise autour de 2 000 décès par an, soit un taux de décès de 3,5 pour 100 000.
En cinq ans l’incidence de l’asthme, reconnu en tant qu’affection de longue durée, a augmenté de 4,4% en moyenne (en 1995 plus de 9 400 asthmes ont été admis en affections longue durée). Quatre personnes sur 100 000 sont présentes en hospitalisation pour asthme un jour moyen, soit sur l’année entière 840 000 journées d’hospitalisation dues à l’asthme en tant que maladie principale (enquête nationale sur les hospitalisés réalisés en 19911992 par le CREDES auprès d’un échantillon représentatif).
Un quart des séjours concernent les enfants de moins de cinq ans. L’asthme ne coûte pas, il rapporte ! En 1994, le coût de l’asthme a été évalué à 7 milliards de Francs, dont 63% en coûts médicaux ; ce qui fait plus de 44 milliards qui sont en fait rentrés dans les escarcelles de ceux qui vivent sur cette maladie ! Quand on dit que ça coûte, moi je dis que de l’autre côté ça rapporte. Equation simple. Ces chiffres sont à revoir à la hausse, ils peuvent être multipliés par trois ou quatre aujourd’hui. A titre indicatif, aux US l’asthme coûte/rapporte 7 billions de $. Essayez d’imaginer (car les chiffres sont impossibles à trouver) ce que ce marché rapporte sur le monde entier ???? S’occuper de l’asthme aujourd’hui est la voie royale de la médecine et des laboratoires ! Tout leurs efforts tournent autour d’un seul but : trouver un produit consommable qui soit le meilleur pour cacher les symptômes. Mais la cause n’intéresse personne !
Le CREDES évalue la dépense annuelle liée aux hospitalisations pour asthme en court séjour entre 1, 2 milliard et 1,4 milliard. Une autre étude parue en 1994 estime à 7 milliards de francs le coût total de l’asthme, dont 63 % de coûts médicaux et 37 % de coûts indirects tels que l’absentéisme et l’invalidité.
Cette situation est d’autant plus préoccupante que l’évolution est comparable dans les autres pays européens : en effet, les dernières décennies ont vu une augmentation considérable de la prévalence de l’asthme dans la communauté européenne.
(Recherche de l'école de Harvard de la santé publique)
˜ Le lait écrémé et autres produits laitiers à faible teneur en matière grasse augmentent le risque de stérilité chez la femme. L'étude a montrée qu'une femme qui consomme des produits laitiers à faible teneur en matière grasse 2 fois par jour ou plus, augmente son risque d'infertilité de 85%. Ce type d'infertilité est dû à un manque d'ovulation, appelé l'infertilité anovulatoire. L'étude qui a nécessité 8 ans de recherches a vu la participation de 18.555 femmes entre 24 et 42 ans sans aucun problème d'infertilité. Vers la fin de l'étude, 438 étaient devenus stériles.
- Une étude a montré que les femmes intolérantes au lactose et qui buvaient du lait présentaient un risque bien élevé de cancer des ovaires et de stérilité. Magazine, Nexus, No 2, 05-06/1999, Les dangers des produits laitiers pour la santé
Les substances oestrogéniques contenues dans le lait de vache, on sait qu'elles favorisent la baisse de la fertilité masculine et les cancers des organes génitaux; mais il est vrai que le lait n'est pas le seul aliment à en contenir des taux excessifs.
Unes conséquences de la consommation de lait chez la femme, la rétention d'eau, les seins douloureux, les syndromes prémenstruels, le gain de poids, les maux de tête, la fatigue, la perte de libido, mais le plus grand risque reste le cancer du sein et l'attaque d'apoplexie qui ne sont que quelques effets secondaires de ce que la dominance d'oestrogène peut faire dans le corps d'une femme. Avoir trop d'oestrogène dans le corps peut également causer l'infertilité !
Le lait et les produits laitiers causent le syndrome de la maladie de Crohn, syndrome de l'intestin irritable.
Robert Cohen : Vous avez dit 3 litres ? Combien de mucus avez-vous dit là ?
Il est éventuellement dispersé dans tous vos organes internes ainsi que vos reins sont une éponge pour le mucus. J'ai une autopsie d'une athlète Américaine très célèbre. Elle a gagné sa médaille d'or aux Jeux Olympiques de Floride, et elle est morte après qu'elle ait fait une campagne publicitaire (moustache de lait), et qu'elle ait mangé une pizza. Quinze heures après qu'elle prit son dernier repas, elle est morte et dans son estomac était 250 centimètres cubiques de fromage de la mozzarella non digérée, 15 heures après qu'elle l'ait mangée, et le corps était en souffrance telle qu'il n'en pourrait pas s'en débarrasser et il produit donc un taux élevé d'histamines qui a provoqué un niveau élevé de mucus. Elle a prit un médicament, le Benadryl qui est un antihistaminique puisqu'elle s'est sentie encombrée.
Résultats : flegme épais et visqueux qui est sorti du rein, les poumons entiers... L'athlète est morte à 6 heures du matin le jour suivant et 15 heures plus tard, cette mozzarella n'avait toujours pas été digérée, et s'en suit la congestion… c'est pourquoi je dis sept jours sans aucun produit laitier, pizza pour le dîner, crème glacée pour le dessert, le matin suivant, vous allez vous réveiller ainsi encombré.
Vous diminuez votre capacité pulmonaire, vos pulsions sexuelles par la consommation de produits laitiers.
Le calcium de synthèse
Diverses études ont montré par ailleurs que les carbonates de calcium qui sont souvent encore administrés pour la croissance ou pour prévenir l'ostéoporose ne sont pas correctement assimilables. Il est même fréquent d'observer des overdoses de tels calciums de synthèse avec les intenses fatigues qui les accompagnent chez les sujets qui paradoxalement ne parviennent pas à fixer ces formes de calcium. La structure de ce calcium de synthèse ne lui permet pas d'être correctement assimilé au niveau des récepteurs cellulaires. Ne se fixant pas là où le corps en a besoin, il peut encrasser l'organisme en se déposant à la surface des tissus, contribuant parfois même à la calcification et donc au durcissement des artères ! Phénomène qui ne se produit pas avec le calcium d'origine végétale, sous forme ionique, dont la dimension correspond davantage à la taille des récepteurs cellulaires.
Le calcium réellement assimilable
Pour convenablement assimiler le calcium, il convient de plus d'apporter des acides gras polyinsaturés oméga 3, 6, 9 associés à des enzymes de plantes ou algues qui participent comme précurseur à la fabrication naturelle de progestérone, déterminante dans la fixation du calcium alimentaire. C'est sans doute un de raisons pour lesquelles les populations des pays qui consomment beaucoup de poissons crus riches ent els acides gras ainsi que des algues et autres végétaux mais beaucoup moins de laitages que les Français présentent moins de cas d'ostéoporose.
Le lait de vaches clonées ne diffère quasiment pas du lait ''normal''
Agence pour la Diffusion de l´Information Technologique (ADIT, http://www.adit.fr), le 08/10/2002 à 15h00
Lors d'une conférence organisée par la Food and Drug Administration (FDA) et par Pew Initiative on Food and Biotechnology, un ' think tank ' de Washington, des chercheurs des Universités du Wisconsin et de l'Utah ont présenté des résultats obtenus lors d'une étude du lait produit par des vaches clonées.
Il semble que ce lait contienne des taux de protéines, de matières solides, de matières grasses et de minéraux quasiment identiques à ceux d'un lait produit par des vaches ' normales '.
Seule une petite quantité d'éléments nutritifs semble varier, ce résultat étant peut être dû au fait que le régime alimentaire du grand nombre de vaches suivies n'était pas standard.
Cette étude a été financée par Infigen de DeForest (Wisconsin), une entreprise spécialisée dans le clonage d'animaux d'exception, essentiellement à des fins de reproduction.
Les clones sont en effet si chers qu'il n'est pas question de les utiliser directement comme source de viande, mais plutôt pour la reproduction.
Aujourd'hui, aucune loi n'interdit la commercialisation du lait de ces animaux et de la viande de leur progéniture.
Cependant, les éleveurs ont attendu le lancement sur le marché de ces produits conformément à un accord informel passé avec la FDA, celui-ci prévoyant la réalisation d'études complémentaires à propos de la sécurité.
Quasiment tous les scientifiques s'accordent à penser que le lait ou la viande d'animaux clonés ne représente aucun danger pour la consommation humaine.
La suppression du lait et dérivés
La suppression du lait et de ses dérivés permet une décongestion des sinus, une meilleure et plus facile digestion, plus d'énergie, moins de fatigue. Pendant les 7 premiers jours, plus de mucus, ni flegme. Vous allez perdre 3 à 4 litres de mucus qui obstruent votre rein, rate et pancréas.
On dort beaucoup mieux, on a plus d'énergie, moins l'humeur changeante, plus d'énergie sexuelle.
Où trouver le calcium nécessaire à notre organisme ?
D'où les vaches tirent-elles le calcium qu'elles concentrent dans leur lait si ce n'est de l'herbe qu'elles broutent?
Les végétariens et leurs enfants obtiennent tout le calcium dont ils ont besoin dans les légumes feuillus, le brocoli, le tahini et le tofu faits avec du sulfate de calcium...
Si vous craignez de manquer de calcium, sachez que la plupart des légumes verts, céréales complètes et même l'eau minérale en contiennent en grande quantité.
Contrairement aux idées reçues, le lait de vache ne contient qu'environ 120 mg de calcium pour 100 g. En comparaison, le persil, le cresson, le soja, le sésame, l'orge, les pois chiches, les noisettes, les amandes, les pistaches, les figues sèches, les crevettes, les sardines fraîches, les algues, … en contiennent souvent plus. Mais il y a aussi : les épinards, le brocolis, les choux-fleurs, le céleri en branche, les navets et certains légumes verts feuillus, haricots secs, haricots blancs, le germe de blé, la semoule.
Par quoi remplacer le Lait de vache ?
Le lait de soja, les crèmes de dessert au soja, le tofu (obtenu en caillant le lait de soja), les yaourts au lait de soja, le lait d’amandes (obtenue en mixant des amandes avec de l’eau), le lait de céréales, le lait de riz, lait de sésame, lait d’orge...
CONCLUSION
'Les être humains préfèrent souvent aller à leur perte plutôt que de changer leurs habitudes' Léon Tolstoï
Une remarque finale concernant la translation des faits énoncés dans l’alimentation quotidienne: Prendre conscience de cette réalité est le premier pas (et le plus facile) vers une alimentation responsable et éthique. L’être humain est un animal qui s’accroche à ses habitudes. Un changement dans sa routine nécessite une grande force de volonté. Mais cela ne devrait pas constituer un obstacle dès lors que cela contribue à améliorer le style de vie et la santé! On ne doit pas considérer trop sévèrement les rechutes, elles deviendront automatiquement de plus en plus rares! Certains parviennent mieux à arrêter leur consommation de lait en y allant progressivement, alors que d’autres y arrivent du jour au lendemain.
i En info !
Le Canada est le pays qui détient le plus haut taux de consommation de lait dans le monde.
Le lait provient d'un élevage industriel où les vaches reçoivent une alimentation riche en produits chimiques :
- antibiotiques : flavophospholipol (F712) ou monensin-sodium (F714)
- antioxydants : ascorbate de sodium (F301), alphatocophérol de synthèse (F307), buthyl-hydrox-toluène (F321) ou éthoxyquine (E324),
- émulsifiants : alginate de propylène-glycol (F405) ou polyéthylène glycol (F496),
- conservateurs : acide acétique, acide tartrique (E334), acide propionique (F280) et ses dérivés (F281 à E284),
- composés azotés chimiques : urée (F801) ou diurédo-isobutane (F803),
- agents liants : stéarate de sodium,
- colorants : F131 ou F142
- et enfin des appétants pour que les vaches puissent manger tout ça, comme le glutamate de sodium.
Elevage et couche d'ozone
L'élevage serait-il un facteur aggravant de la destruction de la couche d'ozone?
Si les pets de vaches contribuent à faire de l'agriculture l'une des sources de gaz à effet de serre, ce que démontre, chiffres à l'appui, une étude du très sérieux organisme Eurostat (10% des émissions de gaz à gaz à effet de serre, loin toutefois derrière la production d'énergie (81%), d'après ces statistiques). Il faut savoir que l'enrichissement de la couche de terre arable en humus, en particulier de l'apport de fumier bovin décomposé, grâce à son pouvoir fixateur d'azote, permet de diminuer les dégagements d'azote ammoniacal liés aux déjections animales et qui joue un rôle dans la formation des pluies acides. Il y a donc bien un type d'élevage respectueux de l'environnement et un autre facteur de pollutions multiples.
Les aspects écologiques et économiques de l’industrie du lait
Pour 'produire' 1 litre de lait, 840 litres d’eau sont nécessaires, alors que pour 1 kilo de pommes nécessite seulement 40-60 litres d’eau, pour le froment: 106 litres, pour les tomates: 138 litres. De plus, les vaches ne sont pas des machines à lait, mais des êtres vivants qui ont besoin d’énergie absorbée sous forme de nourriture. Cette nourriture n’est pas directement transformée en lait ou en viande comme la publicité le laisse entendre, mais également en déchets polluants (excréments, urine...) et en chaleur. Le problème avec le lait est le même que pour la viande en matière de gaspillage d’énergie et d’aliments: il faut d’abord nourrir la vache avant qu’elle puisse produire du lait. Il y a ainsi une grande déperdition de nourriture qui renchérit grandement les coûts de production des aliments d’origine animale.
Pour finir, comme le disait Maïna, il faut également éradiquer les 2 autres blancs de notre alimentation, à savoir :
Le sucre blanc
La farine blanche
qui sont également hyper nocif du fait des procédés de raffinage.
bonne journée