Voici ma modeste contribution poetique...
Act:1 "Le papillon de l'un"
Chuuuute..! Chuuuute...!
Écoute...Écoute...Le "papillon voie".
Recens sa lois, recens sa voix.
Odeur à foison, des moissons
de ta vie.
Laisse entrer, l'azuré de L'Un,
butine l'élixir du présent.
Enivrente plénitude venant,
qui se tapie, en ton ajnana.
Ilarité du tout regardant,
du tout venant, vibrante,
telle la sève de ton équité.
Tu demeura ce que tu es,
tu n'abandonne rien,
il n'y avait rien.
Tes matins du rien,
sont maintenant pleins
du vin des tiens.
Écoute..! Écoute..!
La chanson, la chanson
de l'Azuré de l'Un,
qui, jamais ne feins.
Qui jamais, pour rien
ne t'étreins, qui jamais
avec de vinaigre ne coupera
ton vin. Mais toujours
te donnera le pain du sourire.
Touche le papillon de La "Voie",
touche le papillon sois qui est
toi!
L'éveil
<< J'avais t'en attendu, t'en respiré au souffle trop court , qui me fit transpirer par de la les neiges eternels. Je regarde le ciel ou passe les cormorans qui comptent , par leur claquement de bec les heures qui sont contés. Je realise les sens qui bouillonnent en moi dans mon soi, comme une vague qui claque. Les cachalots blancs de mon esprit, attendri par les senteurs déferlantes des limons de l'azure étéré. Symbiotisme frénétique, irrégularaité magesteuse, endormisement du soleil rayonnant, faisant place à la vertu des érudis de l'accomplisemment >>
Illusion
Banquise, oh banquise,
terre neigeuse des concients blanc,
rugissement nerveux sexe et esprit gelés.
Exploration des crevasses,
a la cherche du temp apocalyptique.
Plus d'oiseaux noir, ils ne sont plus en retards,
plus d'oiseaux de proie, ils ne viendront pas.
Oh pays de gelée perpétuelle
aux diamants blanc, tranchant les joues si tristement.
Temp de peine, tant de haine,
tant de chiens, pourtant temp de bien.
Il y'a des ombres et des peurs
qui explorent ma raison,
altercation soudaine avec les oiseaux noirs
des rivages blanc de mon concient.
Maïna