" Cent fois par jour, je me redis que ma vie intérieure et extérieure dépend du labeur d'autres hommes, vivants et morts, et que je dois m'efforcer de donner dans la mesure où j'ai reçu et où je reçois encore. "
Albert Einstein (1879-1955)
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
" La souffrance est-elle nécessaire ? Oui et non. Si vous n’aviez pas souffert comme vous l’avez fait, vous n’auriez ni profondeur humaine, ni humilité, ni compassion. Vous ne seriez pas en train de lire ceci, maintenant. La souffrance casse la coquille de l’ego, et vient un moment où celui-ci a rempli son but. La souffrance est nécessaire jusqu'à ce que vous preniez conscience de son inutilité. "
"Lorsque vous souffrez, quand vous êtes malheureux, restez complètement avec ce qui est, au Présent. Le malheur ou les problèmes ne peuvent survivre dans le Présent. "
Eckhart Tolle
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Lorsque la nuit tombe, que le silence s’installe, et que le brouhaha des villes se lasse et disparait dans les profondeurs du sommeil, il y a une vie de silence et d’étoiles qui reprend ses droits et nous invite à regarder en nous-mêmes.
Sur notre terre, la vie humaine est régie sous le signe de l’impermanence. Instable et fragile, l’équilibre que l’homme a mis si longtemps à bâtir semble souvent se rompre à la moindre brise. L’homme tente alors de s’extraire de cette impermanence en se construisant des châteaux de sable que l’océan des choses passées et futures effacent, laissant un présent vide de sens. C’est parfois le corps qui s’exprime au travers d’un mal-être afin d’esquisser une promesse d’amour non-tenue, ou une rancœur qui nous retient le cœur… Au travers de toutes ces expériences, nous constatons que vivre est souvent synonyme de souffrance. Pour répondre à cette souffrance, nous tentons de construire notre bonheur et de peindre sur la voute céleste des étoiles filantes de joie pour éclairer l’impermanence de nos vies. Mais nous constatons que malgré la présence de ces étoiles un peu trop filantes, le ciel continue de s’obscurcir de nuages et l’orage n’est pas loin… Est-ce que tout cela à un sens ?
Nous sommes dans un corps mais ne sommes pas qu’un corps. Nous faisons l’expérience du monde dans ce corps mais ne sommes ni cette expérience, ni ce corps. Nous ne sommes pas qu’un corps de matière perdu dans l’immensité de la vie, naissant et mourant par hasard. Nous sommes pétris d’éternité, nous sommes une parcelle de conscience divine en voyage sur des mondes. Et si nous pouvons nous considérer comme une parcelle de conscience divine, c’est parce que dans la notion de divin se dessine les concepts de pouvoir et de lumière. Il y a en chacun de nous une parcelle de ce pouvoir et de cette lumière qui a justement le pouvoir d’éclairer. Ce n’est d’ailleurs pas à proprement parler un pouvoir mais plutôt un principe qui sommeille en chacun de nous.
Le corps physique par exemple est un véhicule qui va permettre à une partie de cette parcelle de conscience divine de s’incarner dans un corps afin de s’aligner sur la fréquence vibratoire du monde et de pouvoir agir sur ce monde.
(…) Le voyageur de lumière a pris corps. Il a revêtu habit de chair. Dans cette lumière si dense, Il entame sa danse (…)
Ainsi, faire l’expérience de l’incarnation terrestre, habiter un corps, c’est accepter de s’immerger dans une densité qui peut être considérée comme un arrachement ou une chute. Cela est dû au niveau vibratoire du monde visité. Dans un monde de matière, la fréquence vibratoire est extrêmement basse, d’où cette sensation parfois douloureuse d’être coupé de tout.
Nous pouvons alors essayer de nous barricader, de fuir cette douleur qui peut nous poursuivre toute notre vie. Mais nos barricades s’useront face à l’impermanence des choses. Nous ne pourrons nous cacher qu’un court instant à grand renfort de réussite sociale, de conquêtes, de richesse, de privilèges ou d’excitant de toutes sortes. Mais vient le temps où tout ceci se transforme en non-sens, ou nous prenons conscience que tout ceci ne mène nulle part et ressemble à une ritournelle vidée de sens qui se répète à l’infini. Derrière ces barricades, nous prenons conscience que nous ne pouvons pas fuir éternellement nos propres responsabilités qui est d’incarner ou de manifester ce principe « divin » et il devient alors grand temps de passer tout simplement à autre chose…
Il y a quelque part en nous une voix, un appel (voir ‘Source de vie’). Au plus profond de notre cœur, nous ressentons le besoin de remplir nos vies de choses qui nous grandissent et nous rendent meilleur, de choses qui répondent à l’impermanence du temps qui passe, qui correspondent à ce que nous sommes réellement, qui répondent à nos aspirations profondes (voir ‘Nouveau monde’)… Et c’est ainsi que, lorsque plus rien d’autre ne semble pouvoir assouvir notre soif de devenir, débute une histoire qui nous élèvera vers nous-mêmes en nous faisant plonger en nous-mêmes…
Fraternellement,
Alain
Source originale
Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source).
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Une fois en dix ans, ou même au cours d'une génération, s'offre à vous un ouvrage comme Le pouvoir du moment présent. En fait, c'est bien plus qu'un livre, car une énergie vit en lui, que vous pouvez probablement ressentir alors que vous le tenez entre vos mains. Ce volume a le pouvoir de faire vivre à ses lecteurs une expérience qui changera leur vie.
Le pouvoir du moment présent a d'abord été publié au Canada et l'éditrice canadienne, Connie Kellough, m'a rapporté avoir entendu à de multiples reprises des histoires de belles transformations et même de miracles survenus chez les gens qui en avaient entrepris la lecture. « Les lecteurs me téléphonent », m'a-t-elle raconté, « et un grand nombre d'entre eux me dépeignent les merveilleuses guérisons et la grande joie qu'ils connaissent dans leur vie depuis qu'ils se sont plongés dans ce bouquin. » Ce livre m'amène à prendre conscience du fait que chaque instant de ma vie est un miracle. Et ceci est tout à fait vrai, que je le réalise ou non. Et il me montre, page après page, comment je peux y arriver.
Dès les premières pages de cet ouvrage, il est clair que son auteur, Eckhart Tolle, est un maître contemporain. Cet homme n'a pas d'affinités avec une religion particulière, un maître ou un gourou quelconque et ne défend aucune doctrine. Ses enseignements englobent le coeur et l'essence de toutes les traditions. Ils ne contredisent ni le christianisme, ni le bouddhisme, ni l'islam, ni les traditions aborigènes ou autres. Comme tous les grands maîtres, il sait nous dévoiler en termes simples et clairs que le chemin, la vérité et la lumière sont en nous.
Eckhart Tolle commence son livre en nous racontant brièvement son histoire : une histoire de dépression et de désespoir qui, une nuit, a abouti à une formidable expérience d'éveil spirituel, peu après son vingt-neuvième anniversaire. Depuis vingt ans, il réfléchit, médite et tente d'approfondir son discernement et sa compréhension par rapport à cette expérience.
Au cours des dix dernières années, il est devenu un enseignant de classe mondiale, une grande âme qui apporte un message extraordinaire, tout comme Jésus et Bouddha l'ont fait avant lui, à savoir que l'éveil spirituel est accessible ici et maintenant. Qu'il est possible de vivre sans souffrance, sans anxiété et sans névrose. Mais pour atteindre cet état d'éveil nous devons arriver à comprendre que nous sommes nous-mêmes les créateurs de notre propre souffrance. Que notre mental – et non pas les autres et notre monde environnant – est à l'origine de nos problèmes. C'est notre propre mental, avec son flot presque continu de pensées, qui se soucie du passé et s'inquiète de l'avenir. Nous faisons la grave erreur de nous identifier à lui en pensant que c'est ce que nous sommes, alors que nous sommes en fait des êtres bien plus grandioses.
À maintes reprises, l'auteur nous montre comment établir le lien avec ce qu'il appelle l'Être :
L'Être est la vie éternelle et omniprésente qui existe au-delà de toutes les formes de vie assujetties au cycle de la vie et de la mort. L'Être n'existe cependant pas seulement au-delà mais aussi au cœur de toute forme ; il constitue l'essence invisible et indestructible la plus profonde. En d'autres termes, l'Être vous est accessible immédiatement et représente votre moi le plus profond, votre véritable nature. Mais ne cherchez pas à le saisir avec votre « mental » ni à le comprendre. Vous pouvez l'appréhender seulement lorsque votre « mental » s'est tu. Quand vous êtes présent, lorsque votre attention est totalement et intensément dans le présent, vous pouvez le sentir. Mais vous ne pouvez jamais le comprendre mentalement. Retrouver cette présence à l'Être et se maintenir dans cet état de « sensation de réalisation », c'est cela l'illumination.
Il est presque impossible de lire cet ouvrage d'un seul trait. Il vous faut le parcourir à petites doses, puis le déposer pour réfléchir aux paroles que vous venez de lire et les intégrer ensuite à votre expérience de vie. Il s'agit d'un guide exhaustif et d'un cours intégral sur la méditation et la réalisation de soi. C'est là un livre à lire encore et encore. Et chaque fois que vous le reprendrez, vous y trouverez une nouvelle profondeur et une autre signification. Et sans aucun doute, plusieurs d'entre nous voudront se pencher sur son contenu toute leur vie. Le pouvoir du moment présent voit le nombre de ses ardents lecteurs augmenter. On l'a déjà qualifié de chef-d'œuvre. Peu importe comment on le décrit, il a le pouvoir de changer nos vies, de nous amener à réaliser totalement ce que nous sommes.
Novato (Californie) Août 1999
Livre audio Le Pouvoir du Moment Présent
1ère partie
2ème partie
3ème partie
Dernière édition par Esprit le Dim 21 Oct 2012 - 19:03, édité 7 fois
Justine34
Nombre de messages : 1608 Age : 90 Localisation : au soleil du Sud Est Date d'inscription : 08/07/2011
je possède ce livre ainsi que "nouvelle Terre" et je les apprécie beaucoup. Ils sont écrits en langage clair et apportent beaucoup quand on prend le temps de les étudier. Il y a aussi sur le Net pas mal de vidéos de conférences d'E. Tolle
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
A tous ceux qui se lèvent angoissés, sans grande envie d'affronter cette journée, qui se sentent seuls, déprimés et qui ne voient pas le "bout du tunnel" je dis : "je vous comprends et je comprends votre difficulté à aborder ce Monde qui s'écroule peu à peu mais: Vous êtes ICI ! Vous êtes vivants ! Capables de sentir la pluie et le vent fouetter votre visage ! C'est une grâce! Regarder autour de vous et plus loin encore ! Combien sont ceux qui n'ont plus cette opportunité? Alors! Mettez-vous en marche , oui, VOUS qui êtes en réserve, à l'intérieur de vous-mêmes! Vous qui ne connaissez ni la fatigue, ni le désespoir, même si vous l'ignorez encore! Vous qui êtes cette Energie immortelle , éternelle et inépuisable ! C'est le moment de montrer au Monde que vous existez! De montrer ce que vous savez faire avec ou sans moyens! Car vous êtes cet Espoir! Vous existerez encore quand le Monde ne sera plus! Dépêchez-vous de sécher vos larmes, de sortir de vos propres lamentations qui finissent par vous exaspérez et regardez-vous! Si vous êtes la, il y a une raison , mettez-vous en quête! Tout autour de vous, le visible et l'invisible ne demandent qu'à vous répondre... Ouvrez vos yeux, vos oreilles, changez votre vision en regardant plus loin, autrement! Profitez de chaque seconde...Ne les gâchez pas, ca elles sont uniques et ne reviendront pas... Le Monde ne changera pas tant que nous ne changerons pas! Vous n'êtes pas seuls! Et vous êtes aimés! ICI et MAINTENANT!
Patricia Darré
quartz-rose
Nombre de messages : 1803 Localisation : Au calme Date d'inscription : 19/04/2011
"Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : L'ESTIME DE SOI.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n'étaient rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes propres convictions. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : L'AUTHENTICITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : LA MATURITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à voir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : LE RESPECT.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire. Personnes, situations, ou tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : L'AMOUR DE SOI.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les méga-projets du futur. Maintenant, je fais ce que j'aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : LA SIMPLICITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j'ai découvert : L'HUMILITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Maintenant, je vis au Présent, là où Toute la Vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois et ça s'appelle : LA PLÉNITUDE.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Et si je la mets au service de mon Cœur, elle devient une alliée très précieuse.
Tout ceci s’appelle. "SAVOIR ÊTRE - SAVOIR VIVRE - SAVOIR AIMER."
Je n'ai pas le nom de l'auteur (je sais juste que c'est attribué par erreur à C Chaplin), je tenais à mettre ce texte que, pour ma part, je trouve splendide...
Bonne soirée!
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Je n'ai pas le nom de l'auteur (je sais juste que c'est attribué par erreur à C Chaplin), je tenais à mettre ce texte que, pour ma part, je trouve splendide...
Bonne soirée!
Merci Quartz-Rose, c'est beau et vrai à la fois...
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
« Nous déplorons un amalgame complètement erroné de ce qu’est réellement la quatrième dimension, de ce qu’est et sera la cinquième dimension. Il règne dans ce domaine une énorme confusion ! Cependant nous ne pouvons qu’effleurer le sujet car vous n’avez pas encore en vous les ouvertures ou les outils qui vous permettent de comprendre et d’assimiler ce que sera votre devenir dans ces dimensions différentes. Il se dit tellement de sottises ! (Excusez-nous ce mot!)
Ce que nous pouvons vous dire avec certitude, c’est que malheureusement toute l’humanité ne pourra pas transiter. Malheureusement et heureusement ! Les êtres qui ont une profonde aspiration pour un monde de paix, de joie, de sérénité, de fraternité, un monde de création dans la beauté auront beaucoup plus de possibilités de transiter. Une grande majorité d’êtres vivant sur ce monde qui sont à des niveaux de conscience bien ancrés dans la troisième dimension, qui sont encore complètement soumis aux plaisirs, que ce soit au plaisir de sens, au plaisir du pouvoir, etc…, seraient excessivement malheureux dans une dimension où il n’y a absolument pas de compétition!
Avant de transiter en quatrième dimension, et soyez certains de cela, il y aura un grand « nettoyage » (mot que nous n’aimerions pas employer), il y aura un très grand nombre de départs. Ceux qui partiront iront dans un monde qui leur conviendra totalement. Donc tout est bien par rapport au Plan !
Il ne faut absolument pas avoir de tristesse, parce que même ceux qui partiront (parce que c’est leur choix) avant la grande transition, et s’ils sont prêts à la vivre d’une autre façon, vous retrouveront en cinquième dimension. Ils quitteront simplement leur corps physique et auront la possibilité de se créer un corps pour revenir dans la cinquième dimension.
La troisième dimension est une dimension de matière, une dimension où tout est tangible pour les cinq sens. La troisième dimension est par excellence la dimension de l’illusion, mais il doit en être ainsi car ce n’est pas la dimension de l’esprit. Les êtres ont beaucoup de mal à créer par l’esprit, ils créent donc avec les possibilités que leur offrent la matière, la conscience humaine et aussi leur imagination. C’est pour cette raison qu’en troisième dimension les hommes créent beaucoup de machines, beaucoup d’outils, beaucoup de choses qui seraient totalement inutiles. Lorsque votre conscience se sera hissée à niveau plus élevé, tout deviendra différent pour vous.
Le passage en quatrième dimension sera bref. Nous ne pouvons pas vous dire exactement sa durée, mais il ne durera que peu de temps par rapport à ce que vous avez vécu en troisième dimension. C’est une dimension de transit, d’apprentissage pour la cinquième dimension.
Quand vous aurez la possibilité de percevoir la quatrième dimension (nous le décrivons d’une certaine manière) vous aurez l’impression que tout est mouvant autour de vous et même en vous, que votre matière n’a plus de consistance. Cela sera déséquilibrant si vous n’êtes pas prêts. Vous n’aurez plus rien à quoi vous raccrocher puisque avant que cela se stabilise, avant que votre matière et votre conscience soient stabilisées dans une dimension supérieure, tout sera fluctuant. Vous n’aurez plus aucun repère puisque vous aurez complètement abandonné ce que vous étiez en troisième dimension et qui ne vous servira absolument pas. Vous serez comme des nouveau-nés qui apprendront une nouvelle vie.
Rassurez-vous, vous ne serez pas seuls, pas plus que vous avez été seuls lorsque vous avez décidé d’expérimenter la troisième dimension. Lorsque vous transiterez, que ce soit au niveau de la transition, de l’ascension ou de l’évacuation, peu importe les noms dont vous l’appelez, nous serons encore beaucoup plus nombreux à vous aider, car vous serez réellement comme des nouveau-nés. Vous allez aborder des façons d’être, de penser, de ressentir et d’aimer qui vous sont totalement étrangères dans l’état actuel de ce que vous êtes.
Dans l’état actuel de ce que vous êtes, vous ne fonctionnez qu’avec ce que vos yeux perçoivent, ce que vos mains touchent, ce que vos oreilles entendent, ce que vous êtes en totalité dans la réceptivité de ce que contient la troisième dimension. Vous vivez avec les outils qui vous ont été donnés pour explorer et pour expérimenter ce monde.
Il est bien évident que lorsque vous ne serez plus dans la troisième dimension, d’autres « outils » vous seront donnés, c’est à dire qu’ils se développeront EN VOUS d’une façon considérable.
Pour pouvoir réellement les acquérir et les comprendre, il faudra vous y être préparé en troisième dimension. Ce qui sera peut-être le plus difficile, se sera le passage qui durera très peu de temps, celui où vous serez obligés de basculer lorsque vous arriverez au « point zéro » de votre conscience et aussi des énergies de la planète Terre et de ce fait de vos propres énergies. Ce basculement pourra être déstabilisant car, comme nous vous l’avons dit, plus rien ne sera comme avant.
Les trois jours d’obscurité seront trois jours nécessaires en vue de votre renaissance.
La cinquième dimension , lorsque vous vous serez complètement stabilisés, sera une dimension de création essentiellement par l’esprit. Dans cette dimension, les machines ne vous seront pas réellement utiles. Certes vous pourrez créer des vaisseaux, mais ils seront faits avec votre énergie, l’énergie de ce que vous êtes.
Cette cinquième dimension sur ce monde durera très longtemps, mais vous aurez accès à des dimensions supérieures pour ceux qui le voudront et qui feront un travail en conséquences.
Dans votre troisième dimension, vous avez déjà accès à la quatrième dimension, et pour certains à la cinquième par instants, nous disons bien PAR INSTANTS .
Lorsque vous serez en cinquième dimension, vous aurez accès à la sixième, voire septième dimension par instants, pas en permanence. Ce sont des préparations à des élévations de conscience et à des vibrations beaucoup plus importantes.
Nous savons qu’à l’époque actuelle, beaucoup d’êtres disent qu’ils sont en quatrième dimension. Certains conférenciers le disent également. Nous laissons dire ! Nous disons simplement que peut-être, lorsque vous êtes dans un état privilégié, lorsque vous êtes en harmonie, en alignement parfait, vous êtes hors de la troisième dimension.
Nous ne pouvons pas vous donner une explication concrète de ce que seront pour vous la quatrième et la cinquième dimension, si ce n’est ce que nous vous avons dit, parce que vos possibilités de ressenti, de compréhension ne sont pas complètement développées. Sachez simplement, et nous continuons à le dire, que si vous n’avez pas accès à cette transition avec votre corps, vous aurez très, très rapidement la possibilité de venir rejoindre ceux que vous avez aimés et qui auront transité en cinquième dimension.
La cinquième dimension vous donnera aussi accès à la substance de l’incréé . Cette substance peut être représentée comme un immense fleuve de matière dorée. Elle est immatérielle, mais c’est une énergie colossale dans laquelle vous pourrez puiser pour manifester tout ce que vous désirez. Bien évidemment, pour pouvoir accéder à cette « matière » de l’incréé, il faudra que vous soyez totalement purs, car sans cela votre propre création pourra vous détruire. Comprenez bien ce que nous voulons vous dire !
Dans la cinquième dimension vous aurez la possibilité de créer tout ce qui vous est nécessaire pour vous vêtir si vous en avez besoin, et pour vous nourrir. Rien ne sera plus comme actuellement !
Certains d’entre vous diront : tout çà n’est qu’illusion et ne peut exister ! Une matière universelle qui peut créer tout ce que nous désirons tout simplement en projetant notre esprit en elle n’est qu’illusion. Nous vous dirons : non ! Tous les grands Maîtres ascensionnés, tous les grands Maîtres qui parcourent encore le monde n’ont jamais eu besoin de travailler pour se nourrir !
Qu’a fait notre très, très cher frère de Lumière Jésus ? Il a créé à partir de la substance universelle ! Il était cependant un homme ! Il a par exemple donné à manger à tous ceux qui avaient faim ; lorsqu’il créait à partir de la substance universelle, il ne créait pas en troisième dimension. Il élevait considérablement ses vibrations ! Il éprouvait une grande souffrance car il devait s’accorder à la fréquence vibratoire de ses disciples pour pouvoir les élever à un niveau qui leur permette de le comprendre, afin qu’ils puissent se préparer, eux aussi, à faire ce que vous pourriez considérer comme des miracles. Voilà un petit peu ce qui vous attend dans une dimension supérieure. Pour y accéder, vous avez encore un chemin parfois difficile à parcourir. »
Je peux vous assurer que ce qu’ils disent est vrai ! Je vois cette magnifique énergie, elle est devant moi, elle est autour de moi, elle est partout ! C’est absolument merveilleux ! La pensée est simplement projetée sur cette substance ! J’aimerais pouvoir le faire, j’aimerais pouvoir créer, je perçois leur sourire. Ils me disent :
« Tu es encore une enfant ! Tu n’es encore pas prête ! »
Question : Que se passera-t-il avec nos multidimensionnalités ? Y aura-t-il des retrouvailles ou une fusion avec nos multidimensionnalités ?
« Effectivement ! Lorsque vous serez dans cette dimension très supérieure, vous aurez accès à votre Soi Supérieur. Mais sachez que dans cette future dimension et au-delà de votre Soi Supérieur il y aura encore une multidimensionnalité qui ne vous sera pas forcément accessible.
Chaque fois que vous vous élevez vibratoirement et que vous allez dans une dimension supérieure, il y a toujours au-dessus de vous une autre multidimensionnalité jusqu’à ce que vous atteigniez la Source, qu’il y ait fusion.
Les informels ont réussi à faire la fusion avec toutes leurs multidimensionnalités, se sont élevés de conscience supérieure en conscience supérieure jusqu’au Soi Divin pour fusionner avec la Source. C’est une montée permanente, une ascension permanente de soi-même ! C’est peut-être un peu difficile à exprimer, mais notre canal le ressent.
Nous associons troisième et quatrième dimension, et aussi cinquième et sixième dimension. Nous aimons parler ainsi parce que c’est plus correct ! Lorsque vous serez dans la cinquième dimension et comme nous vous l’avons dit, vous aurez déjà toutes les capacités de l’esprit à votre disposition, vous aurez accès à une de vos multidimensionnalités importante, donc au Soi Supérieur de ce que vous êtes en cinquième dimension.
Pour vous donner une comparaison et cela peut vous paraître absolument extraordinaire, c’est que dans cette fusion c’est comme si en troisième dimension vous fusionniez avec le Divin.
Il n’est pas possible de fusionner réellement avec le Divin. Vous fusionnez partiellement, vous fusionnez avec l’énergie émanant du Divin qui correspond à votre niveau de conscience, qui correspond à votre état vibratoire. Si vous fusionniez en totalité avec le Divin qui est en vous avec la vibration qui est actuellement la vôtre, vous seriez consumés ! Comprenez-vous cela ?
Il est important que cela soit dit pour faciliter votre compréhension, car vous dîtes toujours «fusionner avec le Divin. » Vous parlez beaucoup du Divin et c’est très bien ainsi. Nous vous dirons : bien sûr il faut continuer d’en parler, mais vous ne fusionnez que partiellement avec l’Etre Divin qui est en vous !
C’est facile à comprendre ! Si le Divin en vous représente une particule de Dieu, imaginez à quel point vous devriez élever vos vibrations pour pouvoir fusionner avec Lui en totalité ! Ce serait considérable ! Alors même si vous arrivez à fusionner avec une parcelle de votre Soi Divin, c’est déjà extraordinaire.
Nous pensons que ces explications étaient importantes pour votre devenir. »
_________________________
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : • qu'il ne soit pas coupé • qu'il n'y ait aucune modification de contenu • que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Après HOME et la série Vu du Ciel, le film documentaire de 90 minutes LA SOIF DU MONDE de Yann Arthus-Bertrand, réalisé par Thierry Piantanida et Baptiste Rouget-Luchaire propose un nouveau voyage autour de la terre. Cette fois-ci le célèbre photographe s’intéresse à l’un des enjeux majeurs pour la survie des populations : l’EAU. Aujourd’hui, dans un contexte de forte croissance de la demande, d’augmentation de la population mondiale et d’aggravation des effets des dérèglements climatiques, l’eau est devenue l’une des plus précieuses richesses naturelles de notre planète. Fidèle à la réputation de Yann Arthus-Bertrand, LA SOIF DU MONDE, tourné dans une vingtaine de pays, révèle le monde mystérieux et fascinant de l’eau douce grâce à de spectaculaires images aériennes tournées dans des régions difficiles d’accès et rarement filmées, tel que le Soudan du Sud ou le nord du Congo ; découvertes aussi des plus beaux paysages de notre planète, lacs, fleuves, marais, dessinés par l’eau. LA SOIF DU MONDE fait donc le pari de confronter la fameuse vision aérienne du monde de Yann Arthus-Bertrand avec la dure réalité quotidienne de tous ceux qui sont privés d’eau, en meurent parfois et se battent sur le terrain pour se procurer l’eau, l’épurer ou l’apporter à ceux qui en manquent. Le film est tissé de rencontres. Un berger du nord Kenya nous dit dans les yeux qu’il a tué pour de l’eau et qu’il le fera encore. Des femmes dansent lorsque l’eau arrive enfin dans leur village. Une ambassadrice des Nations Unies atypique explique son combat pour que les gouvernements s’engagent eux aussi pour permettre l’accès à l’eau et aux techniques les plus modernes d’épuration, garantes de la survie et de la santé des populations les plus pauvres. Des reportages réalisés en Europe, en Afrique, en Asie, en Amérique, donnent la parole à ceux qui s’engagent et innovent, afin d’apporter l’eau où elle manque, l’utiliser plus intelligemment, l’épurer ou mieux encore cesser de la polluer. Des personnalités attachantes, reconnues internationalement ou simples acteurs de terrain, illuminent le film de leur énergie, de leur imagination et de leur enthousiasme… Car l’accès à l’eau potable est plus que jamais le grand enjeu de demain.
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable.
Wikipédia
L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle de langue française écrite en 1953 par l'écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. Il s'agit de l'histoire, présentée comme authentique, du berger Elzéard Bouffier, personnage pourtant de fiction, qui fait revivre sa région, localisée en Haute Provence, entre 1913 et 1947, en plantant des arbres.
Dernière édition par Esprit le Sam 29 Sep 2012 - 22:40, édité 2 fois
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Plantes et chamanisme vidéo-conférence de Jeremy Narby, Sep. 2008
VIDEO
Docteur en anthropologie de l’université de Stanford (Etats-Unis), Jeremy Narby est, depuis 1989, directeur de projets amazoniens pour l’ONG suisse Nouvelle Planète qui œuvre afin de soutenir les initiatives des peuples indigènes de l’Amazonie. Il s’agit de les aider à défendre leurs territoires et leurs connaissances. Par ailleurs, il cherche à agir comme diplomate entre les systèmes de savoir, avec une approche bi-cognitive et autocritique, convaincu que multiplier les angles d'approche permet de mieux cerner la nature complexe de la réalité. Cette voie, de son propre aveux, est longue à maîtriser, mais peut enrichir la réflexion sur des questions de base telle que qu'est-ce qu'une plante?
Découverte de l’Amazonie. Jeremy Narby nous parle de la situation actuelle en Amazonie où les peuples indigènes sont contanimés par l’industrie pétrolière et le monde industriel.
Le secret des plantes. Comment les chamanes savent-ils ce qu’ils savent à propos de plantes ? Pour une véritable exploration scientifique de ce savoir.
Jeremy Narby raconte son expérience chamanique. Après plusieurs semaines au coeur de la forêt amazonienne, Jeremy Narby décide de goûter à l’ayahuasca afin de « voir ».
Le savoir des peuples indigènes. Selon les Ashaninkas, « la pratique est la forme la plus avancée de la théorie ». Jeremy Narby évoque ses rencontres avec cette communauté.
Qu’est-ce qu’un chamane ? Jeremy Narby revient sur l’histoire du mot « chamanisme », inventé il y a quelques siècles par les occidentaux.
Une autre perception des espèces vivantes. Notre regard sur la réalité est différent selon les cultures. Quelle est la vision des peuples indigènes sur ces expériences chamaniques ?
Retour sur l’ayahuasca. Qu’est-ce que l’ayahuasca ? Qui sont les ayahuasqueros ? Jeremy Narby détaille les différentes pratiques existantes aujourd’hui.
Les recherches scientifiques. Jeremy Narby revient notamment sur le rapport qu’il développe dans le Serpent Cosmique entre « chamanisme amazonien » et « biologie moléculaire ».
Dernière édition par Esprit le Ven 19 Oct 2012 - 21:16, édité 1 fois
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
"Une nouvelle espèce d’homme est en train de naître. Elle détruit les structures périmées et prépare ainsi le terrain de la transmutation. La Science s’est fourvoyée dans l’approche du vivant, car elle ne prend en compte que le corps physique. Nous sommes plus que cela.
L’auteur nous informe de l’existence de champs invisibles qui créent la matière et la modèlent en l’informant. La maîtrise de ces champs qui survivent à la désagréga-tion du corps physique laisse entrevoir au biologiste d’innombrables possibilités qu’une science rationaliste, et donc réductrice, ne peut concevoir (réincarna-tion, karma qui implique une responsabilité de nos pensées, paroles et actes, etc.).
Tout est conscience-énergie, et l’homme prisonnier de ses sens et de son mental n’en est pas encore conscient.
Jacqueline Bousquet réconcilie la Science et la Tradi-tion, le savoir des initiés et les dernières découvertes scientifiques, afin que s’incarne un nouvel art de vivre sans conditionnement d’aucune sorte et dans le respect de l’environnement pris comme un Tout. La liberté est à ce prix, ainsi que notre survie. Dans un court délai, ce qu’elle dit aura un impact incalculable sur le monde. Ce livre interpelle autant l’esprit scientifique que l’es-prit de celui qui cherche un sens à sa vie. Il peut être la base de profondes réflexions, voire de méditations. "
VIDEO : Conférence Jacqueline Bousquet Juin 2011
"La science rejoint enfin la Tradition. Le monde d'espace-temps dans lequel nous vivons au quotidien n'a aucune réalité. Il est une construction mentale que certaines propriétés de notre cerveau rendent réelle tant que nous y croyons, une sorte de rêve-cauchemar dont nous sommes prisonniers et dans lequel nous souffrons. La Physique Quantique nous apporte les éléments de réflexion qui nous permettent de sortir de nos illusions".
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Quel étrange décalage nous vivons entre un monde où le temps paraît figé dans un vague sentiment d’imminence et où tout en nous semble toujours s’accélérer sans que nous maîtrisions quoi que ce soit de la succession des paliers franchis. Nous ne voyons plus passer les jours, les semaines, les mois, nous ne comprenons plus où est passé le temps, nos mémoires se défont, nos savoirs les plus élémentaires nous échappent. Si tout paraît vain et peut nous démobiliser, quelque chose pourtant nous pousse à entreprendre dans une inhabituelle indécision, à créer une dynamique, un mouvement.
Être à l’écoute sans demeurer dans l’attente, faire sans s’éloigner de l’essentiel, où se trouve le juste chemin ? A quelle juste distance placer notre chaise à la table du monde ? Telle est la question qui taraude plus d’un artisan du nouvel Âge d’Or en ce monde pourtant encore si terne, si éteint, en apparence.
Dans l’arrière plan du visible, tout se met en place, mais rien ne demeurera à terme invisible aux yeux de tous, et ce terme semble à présent très proche. Peut-être est-ce là que trouve sa source le sentiment imprécis d’imminence que nombre d’entre vous ressentent. C’est ce qui explique peut-être aussi cette démobilisation, ce désir de retrait du monde connu, cette envie d’en finir avec tout ça, de rentrer à la maison.
Il n’est pas dans nos plans d’âmes de se laisser démobiliser, ni d’attendre tourné vers l’extérieur ce qui ne peut naître que si nous regardons à l’intérieur. Ne vous laissez pas aller à ce goût d’accoster sans plus attendre sous prétexte que les premières senteurs de la terre promise vous parviennent enfin et que les premiers oiseaux se posent sur le pont après une si longue traversée des eaux. Vous y êtes encore sur le pont, il y a une barre à diriger, un cap à tenir et un gréement à manœuvrer, l’accostage réclamant toujours la plus grande attention. Faites ce que bon vous semble pour vous maintenir à flot durant les derniers bords à tirer, faites ce que vous sentez juste pour vous et pour l’ensemble de l’équipage, ne vous occupez pas des sirènes qui vous appellent vers les fonds, comme Ulysse attachez-vous au mât si vous le désirez ou, simplement, ne prêtez plus l’oreille aux chants de malheur.
Que dire d’autre que cela : soyez présent à vous-même. Sans concession à l’à-peu-près, sans faiblesse en ces moments bénis après tant d’efforts à pagayer contre les courants d’un monde aveugle. Vous surfez à présent, dans le sens des grandes marées. Soyez conscients de votre propension innée à garder l’équilibre, vous l’avez toujours fait, c’est inscrit dans votre mémoire.
Ceux qui s’agitent à contre-courant sont ceux-là même qui croient encore définir le sens des marées, ils détiennent encore quelques leviers pour entraîner les ignorants dans le courant de la peur. Si certains de ceux-là essaient encore de déclencher leurs guerres insensées, ils ne sont en rien le reflet de l’état du monde. Les intérêts du microcosme de ces faiseurs de souffrance ne sont en rien les vôtres. Oubliez-les, n’accordez plus de crédit à leurs gesticulations, sortez du regard imposé par ceux-là et soyez enfin pleinement présent au vôtre. Là est la mesure de la distance à conserver entre eux et vous. Ils existent au sein de leur illusion, sur les planches vermoulues de leur théâtre obscur, ils sont vous comme tout un chacun, mais vous n’êtes plus en phase avec cette part désormais en retrait de votre expérience de vie. Vous-même avez grandi, votre regard porte plus loin, vos visées sont à présent ailleurs, loin du contrôle illusoire de ceux qui ont forgé les chaînes en lesquelles vous avez cru si longtemps.
Si vous vous sentez encore vulnérable à la morsure des incendies qu’ils allument, alors demeurez hors de leur vue, hors de leurs pensées, hors de leurs propagandes, ne soyez rien qu’ils ne puissent voir comme une proie à leur portée et attisez peu à peu les braises de votre amour et de votre sagesse jusqu’à ce qu’ils vous aient empli de la force qui est légitimement vôtre. Si vous vous sentez assez fort pour être ce que vous êtes aux yeux de tous, alors ne vous cachez pas, portez haut votre lumière, elle les éloignera comme le flambeau chasse le prédateur dans la nuit car ils n’ont de courage que dans l’obscurité qui les masque, ils ne sont dans la lumière plus rien que leur propre misère. Votre clarté attirera à vous ceux qui ont besoin de reprendre des forces pour découvrir qu’eux-mêmes sont forts, que leur faiblesse n’était que croyance et que toute croyance qui rapetisse peut être laissée là à jamais, et se noyer avec les traces de vos pas dans la boue du passé.
L’horloge cosmique vous appelle une ultime fois à ne plus accepter dans votre vie que ce qui vous hisse vers ce que vous reconnaissez comme votre Être suprême, votre essence divine. Laissez de côté ce qui ne nourrit finalement que l’égo, prenez soin de votre corps et de ce que vous lui donnez, séparez-vous enfin des addictions, abandonnez le superflu, tout ce qui vous distrait de votre aspiration profonde et toute chose autour de vous qui vous ramène aux vieilles énergies, vous savez désormais faire intuitivement et instantanément la différence. Si vous êtes présent à vous même, sincère et sans compromission, si vous suivez votre voie royale de l’impeccabilité, vous êtes alors à l’écoute de votre canal intérieur, vous savez entendre la voix de votre âme, vous percevez la hauteur de vue de l’Esprit qui préside à votre chemin de vie et vous êtes alors là où vous l’aviez choisi en ces temps d’exception. Quel que soit son visage – et il vous appartient d’en scruter les facettes – seule la peur vous maintient dans le moule qu’ils ont façonné pour étouffer en vous votre pouvoir, pour vous asservir toujours plus.
Une vie simple où chaque jour qui se lève vous emplit de gratitude est le signe infaillible de votre équilibre sur la vague. L’accueil, l’acceptation de tout ce qui vient sans tenter de contrôler le flux est la juste attitude. Vouloir contrôler, c’est s’opposer à ce qui vient à vous et qui est toujours juste, c’est rompre l’harmonie des courants qui vous portent à votre couronnement. Pour autant, la vigilance demeure une nécessité parce que votre perception s’ouvre et va s’ouvrir de plus en plus, que ses effets pourront être déstabilisants si vous n’êtes pas dans la sérénité de l’accueil. A rappeler à vous sous forme de rêves et de visions dans un premier temps vos autres dimensions, à ne plus rien comprendre au temps qui s’écoule, à voir la mémoire d’une vie s’effacer et celles d’autres émerger, à ne plus comprendre ce que votre corps peut exprimer dans ses réactions inexpliquées, parfois douloureuses, à se sentir ailleurs jusqu’à voir parfois l’ailleurs, vous risquez de perdre le centre, la présence nécessaire à vous-même ici et maintenant. C’est une expérience qui peut être déstabilisante jusqu’à être chaotique, même pour ceux qui en ont déjà fait l’expérience, j’en ai déjà parlé dans La voix au-delà du chaos, Le Passage du Chas et Les Nouvelles saisons, l’humanité et Gaïa.
Pour autant, tout ce que vous avez vécu sur votre parcours d’éveil vous a préparé à cela. Dans cette situation nouvelle, vous n’êtes démuni que de l’encombrant, pas de l’essentiel. Accueillir ce qui vient, c’est donner la main à son enfant intérieur sous le regard éclairé de l’Esprit qui vous guide, c’est faire preuve d’innocence et d’humilité. De l’innocence du juste qui n’a rien à craindre par ce qu’il n’a pas de peur, de l’humilité de l’humble qui s’est donné en confiance à la vie, ne cherchant pas le contrôle, ne cédant pas tout ce qui fut jusque-là de l’ordre de la guérison en soi des vieilles souffrances, du dépôt des armes et de l’armure. Tout ce qui vous a dénudé des oripeaux de l’égo douloureux vous a oint de cette bénédiction de l’innocent. C’est votre plus grande force, elle n’éloigne pas de vous le prédateur, elle éloigne du prédateur sa propre volonté de pouvoir qui n’est autre que sa propre peur, elle le guérit, elle le ramène à votre niveau parce qu’il est ce que vous étiez et qu’enfin il se souvient de qui il est lorsqu’il n’a plus peur. De votre force de guérison naît un sillage où d’autres s’inviteront. Là se place votre chaise à la table du monde.
Le chaos vient pour chacun, porteur de ce qu’il y a de meilleur en lui. Du point de vue de la chenille au sol, la peur l’emportera probablement, du point de vue élevé du papillon dans l’envol, l’amour portera ses ailes. J’ai vu ce matin disparaître soudainement sous mes yeux un vol d’hirondelles virevoltantes dont j’observais l’étrange comportement. Sans réfléchir, un mot m’est venu en l’instant : ascension. De quoi donc était fait l’air qui portait leurs ailes et qu’elles ont alors reconnu…
Cela répond presque exactement au message que ma fille vient de m'adresser, et aussi à son cheminement. Coïncidence pour me faire comprendre quelque chose ??
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Nous allons méditer ensemble… comme lorsqu’on laisse la fenêtre ouverte et que l’air entre à sa guise. La méditation c’est tout ce que l’air apporte, c’est tout ce qu’est le vent… Il faut qu’elle soit ouverte par amour, par affection, en toute liberté, et pas dans l’attente de quelque chose. Voilà ce qu’est cet état de beauté, cet état de l’esprit qui voit mais ne demande rien.
Avoir pleinement conscience des choses est un état d’esprit extraordinaire – avoir conscience de son environnement, des arbres, de l’oiseau qui chante, du soleil levant, là derrière vous; être attentif aux visages, aux sourires, à la boue qui couvre la route; percevoir la beauté de ce pays, d’un arbre se détachant sur la rougeur du ciel, du friselis de l’eau -, avoir de toute chose une conscience sans choix. C’est ce que je vous invite à faire en chemin. Écoutez ces oiseaux, ne cherchez pas à les nommer, à en identifier l’espèce, écoutez simplement leurs bruits.
Écoutez le mouvement de vos pensées; ne les contrôlez pas, ne les façonnez pas, ne dites pas : « Celle-ci est bonne, celle-là est mauvaise. » Mais accompagnez-en le mouvement.
C’est cela, la conscience dénuée de tout choix, de toute condamnation, comparaison ou interprétation, et qui n’est qu’observation. Voilà qui rend l’esprit hautement sensitif. Dans cet état de vigilance, il y a attention – mais point de contrôle ni de concentration. Rien que l’attention. Autrement dit, vous êtes dans un même temps en train d’écouter les oiseaux, de voir le soleil se lever, d’entendre passer les voitures, d’être attentifs à vos pensées et à vos sentiments, et au mouvement dont est animée cette attention. Votre attention est globale, sans limites, et couvre non seulement le conscient, mais aussi l’inconscient.
Lorsque l’esprit est ainsi attentif, le processus d’association de la pensée prend fin naturellement et l’esprit devient tranquille. Alors de cette tranquillité surgit un tout autre mouvement… Cette méditation-là part de l’éternel et rejoint l’éternel, car le fondement sur lequel on s’appuie n’est plus le temps, mais la réalité.
Par Jiddu Krishnamurti
Publié le 29 septembre 2012 par Le Passeur. Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source).
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Eckhart Tolle (né Ulrich Leonard Tolle, Lünen, Allemagne en 1948) est un écrivain et conférencier, résident canadien, connu comme étant l’auteur des ouvrages best seller Pouvoir du moment présent et Nouvelle Terre.
Tolle raconte qu’il s'est senti déprimé la plus grande partie de sa vie jusqu’à ce qu’il connaisse, à l’âge de 29 ans, une « transformation intérieure » à la suite de laquelle il passa plusieurs années sans-emploi à vagabonder « dans un état de félicité profonde » avant de devenir enseignant spirituel. Plus tard, il déménagea en Amérique du Nord où il commenca à écrire son premier livre, Le pouvoir du moment présent, qui fut publié en 1997 aux USA et est devenu un best-seller international traduit en 33 langues1. Tolle s’installa ensuite à Vancouver au Canada où il vit depuis. (source)
Eckhart Tolle
Dernière édition par Esprit le Lun 1 Oct 2012 - 18:56, édité 2 fois
Maule03
Nombre de messages : 230 Age : 70 Date d'inscription : 25/11/2008
C'est drôle, je viens d'acheter le pouvoir du moment présent et l'art du calme intérieur d'Eckhart Tolle et quelques autres!
Je les ai lu tous les deux, ils sont Super ! En ce moment je passe en revue Eckhart Tolle, vu qu'en ce moment je suis occupé pour le relire, je l'écoute. Ca nourrit l'esprit A consommer sans modération
quartz-rose
Nombre de messages : 1803 Localisation : Au calme Date d'inscription : 19/04/2011
Khalil Gibran est un poète libanais né le 06 Janvier 1883 à Bécharré au Liban alors province ottomane de la Grande Syrie dans une famille Maronite dimanche 30 novembre 2003. En 1895, C’est l’exil et le départ de la famille de Khalil Gibran pour Boston, pour un raison inexpliqée le père n’est pas du voyage.
En 1898, c’est le retour de Gibran à Beyrouth, où il s’inscrit au collège de la Sagesse. Il y passe 4 ans
En 1902,il retourne à Boston et il peint et il écrit son talent artistique s’affirmant
En 1903, sa mère décède ainsi que son demi-frère
En 1904 Gibran rencontre une directrice d’école Marie Haskel qui le protége. Elle le soutient dans ses travaux d’écriture en langue Anglaise. Il engage avec elle une correspondance que seule la mort interrompra
En 1905. Parution de La musique Le premier livre de Gibran suivi des Nymphes Des Vallées(1907)
En 1908 Publication des Esprits Rebelles. l’église maronite juge l’ouvrage hérétique et le pouvoir Ottoman décide de le bruler en place publique. Gibran part pour Paris où il étudiera les Beaux Arts.
En 1910, il s’installe définitivement à New-York où il se consacre à la peinture et à la poésie.
En 1912 , Début de la correspondance avec May ziyada qui vit en Egypte
En 1916 Gibran mène une campagne en faveur des victimes au Liban de la famine provoqués par la Guerre
En 1918 Publication du Fou
En 1919 Publication de Processions en Arabe
En 1920 Publication de Forerunner et de Tempêtes
En 1923 Parution du Prophète
En 1926 Parution du Sable et de l’écume
En 1928 Parution de Jésus, Fils de l’Homme suivi des Dieux de la Terre, de l’Errant et du Jardin des Prophètes
En 1931 Il Meurt à New-york Son corps est ramené au Liban, où il repose désormais dans la crypte du monastère de Mar Sarkis, à Bécharré.
Le Prophète
AUDIO - 1
AUDIO - 2
quartz-rose
Nombre de messages : 1803 Localisation : Au calme Date d'inscription : 19/04/2011
Je vois devant moi deux magnifiques dauphins ; ils sont plus grands que ceux qui vivent dans nos mers. Ils ont de grands yeux très intelligents. Ils me disent :
« Peuples de la Terre, nous aimerions vous dire à quel point vous êtes inconscient. Nous vous avons déjà dit que petit à petit vous videz les océans de toute vie. De plus, vous détruisez notre milieu, nos « maisons » en quelque sorte. Il devient de plus en plus difficile pour nous d’exister dans notre propre milieu.
Nous aussi avons la conscience de l’existence de la Source. Nous lui avons donc demandé de nous enlever de ce monde. Ce monde n’est plus le nôtre, les océans ne nous abritent plus, nous ne pouvons plus nous nourrir.
Vous verrez de plus en plus nos frères les grands cétacés ou même ceux que vous appelez les poissons mourir en énormes quantités, et au lieu de vous poser des questions, vous trouverez cela normal. Vous trouverez toujours des mauvaises excuses au lieu d’aller réellement au centre du problème ! C’est vous qui êtes le centre du problème !
Pauvres humains ! Vous imaginez que vous êtes des petits dieux parce que vous avez tous pouvoirs ! Vous avez détruit notre milieu de vie et vous détruisez en même temps votre propre milieu de vie !
Vous n’avez pas compris que l’océan est une source considérable de nourriture pour vous et que nous vous offrions cette nourriture avec Amour. Il n’y avait pas que nous, grands mammifères marins, ainsi que les poissons, qui pouvaient vous servir de nourriture ! Il y avait des algues extrêmement bonnes pour nourrir les humains, ainsi que des algues qui pouvaient les soigner de toutes leurs carences.
Nous qui avons la conscience, qui pouvons communiquer par télépathie avec certains humains, nous aurions pu vous donner des indications pour soigner une maladie désastreuse dont ne précisons pas le nom car vous le connaissez aussi bien que nous.
Vous n’avez pas pris conscience de tous les dégâts que vous commettez ! Pourquoi cela ? Pour un profit illusoire ! Lorsqu’il ne restera plus rien sur votre monde, vous nourrirez-vous avec votre argent ? Nous sommes malheureux, mais pas pour nous ! Nous sommes malheureux pour vous !
Pour l’instant, les humains, les habitants de la terre ferme, n’ont pas été réellement touchés, ils n’ont pas encore eu le retour de leurs erreurs. Lorsque notre milieu sera encore plus abîmé, ils comprendront !
Il y a longtemps, le grand Dauphin Blanc vous avait dit que les océans ont besoin de nous, ont besoin de la vie de toute la faune marine pour rester en équilibre. L’océan a besoin de l’énergie de vie de ce que nous sommes. Lorsqu’il n’y aura plus cette énergie de vie, les océans, les lacs et les rivières se mettront en colère, ils se révolteront. Vous ne pouvez même pas imaginer ce que l’eau peut faire ! Vous êtes tellement ignorants !
Nous, mammifères marins qui vous parlons, sommes des dauphins, mais les baleines et beaucoup d’autres grands mammifères marins ont aussi une conscience et peuvent communiquer avec vous. Ils ressentent autant de souffrance que celle que nous exprimons.
Si nous sommes venus vous parler, c’est pour vous mettre une dernière fois en garde ! Vous ne comprenez pas vos erreurs, donc vous les comprendrez dans la souffrance !
Nous ne sommes pas là pour créer des peurs en vous, car vous êtes suffisamment grands pour vous en créer tous seuls ! Ouvrez les yeux ! Regardez les millions de poissons qui meurent tous les jours ! Regardez l’état de l’eau qui est si sacrée et si utile à la vie ! Vos fleuves et vos lacs deviennent impropres à la vie de nos frères les poissons, et eux-mêmes deviennent impropres à la consommation des humains.
Cela ne vous inquiète-t-il pas ? Cela ne vous cause-t-il aucun chagrin, aucun remord ? Pauvres humains ! Lorsque vous vous réveillerez, il sera trop tard ! Nous, les dauphins, dirons que d’une certaine manière cela fait aussi partie du Plan, mais le Plan aurait pu être différent, il aurait pu générer beaucoup moins de souffrance dans ce que nous sommes en tant qu’habitants des océans, des lacs et des rivières.
Nous quittons cette magnifique petite planète sans regrets, et nous dirons même avec une immense joie. La seule tristesse qui demeure en nous est de voir à quel point vous êtes encore dans l’ignorance, dans l’obscurantisme, dans la suffisance et dans l’égoïsme. Nous ne pouvons rien faire pour vous ! Plusieurs fois, nous avons essayé de vous mettre en garde, mais cela n’a servi strictement à rien !
Maintenant, nous vous disons simplement adieu !
On vous cache de plus en plus la réalité des départs considérables de poissons, d’habitants des mers, des lacs et des rivières vers leur nouvelle demeure. Ce n’est pas dit dans vos médias !
Nous vous demandons simplement de penser au peuple de la mer dans vos prières. Une grande partie de ce peuple va partir, mais une partie restera jusqu’au bout dans de grandes souffrances. Il n’y aura plus à manger, les océans deviendront de plus en plus stériles en raison de tout ce que vous y déversez.
Nous vous disons simplement adieu, mais quel dommage ! Nous vous aimons malgré ce que vous êtes, nous vous aimons parce que vous avez un côté tellement ignorant ! Vous êtes des enfants turbulents qui n’ont pas conscience des dégâts qu’ils font !
Nous ajoutons ceci : nous retrouverons beaucoup de cœurs purs, donc beaucoup d’entre vous lorsque vous serez dans le nouveau monde, ce monde totalement différent, régénéré, ce monde où l’Amour, la Lumière, la Paix et la Fraternité deviendront les maîtres.
Nous, les deux dauphins, nous vous saluons et vous disons que nous aimons toujours les hommes. Notre seul regret est de ne pas avoir pu communiquer avec eux, de ne pas avoir pu les aider. Ils nous ont utilisés, ils nous ont mangés, ils nous ont détruits gratuitement ! Nous ne leur en voulons absolument pas, car nous savons réellement ce qu’est l’Amour !
Vous direz : « comment un mammifère marin ou un poisson peuvent-ils connaître l’Amour ? » N’oubliez pas que, comme vous, nous sommes Enfants de la Source, et que nous venons d’un monde où la communication entre les êtres était totale ».
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : qu'il ne soit pas coupé qu'il n'y ait aucune modification de contenu que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu