je possède ce livre ainsi que "nouvelle Terre" et je les apprécie beaucoup. Ils sont écrits en langage clair et apportent beaucoup quand on prend le temps de les étudier. Il y a aussi sur le Net pas mal de vidéos de conférences d'E. Tolle
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
A tous ceux qui se lèvent angoissés, sans grande envie d'affronter cette journée, qui se sentent seuls, déprimés et qui ne voient pas le "bout du tunnel" je dis : "je vous comprends et je comprends votre difficulté à aborder ce Monde qui s'écroule peu à peu mais: Vous êtes ICI ! Vous êtes vivants ! Capables de sentir la pluie et le vent fouetter votre visage ! C'est une grâce! Regarder autour de vous et plus loin encore ! Combien sont ceux qui n'ont plus cette opportunité? Alors! Mettez-vous en marche , oui, VOUS qui êtes en réserve, à l'intérieur de vous-mêmes! Vous qui ne connaissez ni la fatigue, ni le désespoir, même si vous l'ignorez encore! Vous qui êtes cette Energie immortelle , éternelle et inépuisable ! C'est le moment de montrer au Monde que vous existez! De montrer ce que vous savez faire avec ou sans moyens! Car vous êtes cet Espoir! Vous existerez encore quand le Monde ne sera plus! Dépêchez-vous de sécher vos larmes, de sortir de vos propres lamentations qui finissent par vous exaspérez et regardez-vous! Si vous êtes la, il y a une raison , mettez-vous en quête! Tout autour de vous, le visible et l'invisible ne demandent qu'à vous répondre... Ouvrez vos yeux, vos oreilles, changez votre vision en regardant plus loin, autrement! Profitez de chaque seconde...Ne les gâchez pas, ca elles sont uniques et ne reviendront pas... Le Monde ne changera pas tant que nous ne changerons pas! Vous n'êtes pas seuls! Et vous êtes aimés! ICI et MAINTENANT!
Patricia Darré
quartz-rose
Nombre de messages : 1803 Localisation : Au calme Date d'inscription : 19/04/2011
"Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : L'ESTIME DE SOI.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n'étaient rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes propres convictions. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : L'AUTHENTICITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : LA MATURITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à voir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : LE RESPECT.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire. Personnes, situations, ou tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : L'AMOUR DE SOI.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les méga-projets du futur. Maintenant, je fais ce que j'aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle : LA SIMPLICITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j'ai découvert : L'HUMILITÉ.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Maintenant, je vis au Présent, là où Toute la Vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois et ça s'appelle : LA PLÉNITUDE.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Et si je la mets au service de mon Cœur, elle devient une alliée très précieuse.
Tout ceci s’appelle. "SAVOIR ÊTRE - SAVOIR VIVRE - SAVOIR AIMER."
Je n'ai pas le nom de l'auteur (je sais juste que c'est attribué par erreur à C Chaplin), je tenais à mettre ce texte que, pour ma part, je trouve splendide...
Bonne soirée!
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Je n'ai pas le nom de l'auteur (je sais juste que c'est attribué par erreur à C Chaplin), je tenais à mettre ce texte que, pour ma part, je trouve splendide...
Bonne soirée!
Merci Quartz-Rose, c'est beau et vrai à la fois...
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
« Nous déplorons un amalgame complètement erroné de ce qu’est réellement la quatrième dimension, de ce qu’est et sera la cinquième dimension. Il règne dans ce domaine une énorme confusion ! Cependant nous ne pouvons qu’effleurer le sujet car vous n’avez pas encore en vous les ouvertures ou les outils qui vous permettent de comprendre et d’assimiler ce que sera votre devenir dans ces dimensions différentes. Il se dit tellement de sottises ! (Excusez-nous ce mot!)
Ce que nous pouvons vous dire avec certitude, c’est que malheureusement toute l’humanité ne pourra pas transiter. Malheureusement et heureusement ! Les êtres qui ont une profonde aspiration pour un monde de paix, de joie, de sérénité, de fraternité, un monde de création dans la beauté auront beaucoup plus de possibilités de transiter. Une grande majorité d’êtres vivant sur ce monde qui sont à des niveaux de conscience bien ancrés dans la troisième dimension, qui sont encore complètement soumis aux plaisirs, que ce soit au plaisir de sens, au plaisir du pouvoir, etc…, seraient excessivement malheureux dans une dimension où il n’y a absolument pas de compétition!
Avant de transiter en quatrième dimension, et soyez certains de cela, il y aura un grand « nettoyage » (mot que nous n’aimerions pas employer), il y aura un très grand nombre de départs. Ceux qui partiront iront dans un monde qui leur conviendra totalement. Donc tout est bien par rapport au Plan !
Il ne faut absolument pas avoir de tristesse, parce que même ceux qui partiront (parce que c’est leur choix) avant la grande transition, et s’ils sont prêts à la vivre d’une autre façon, vous retrouveront en cinquième dimension. Ils quitteront simplement leur corps physique et auront la possibilité de se créer un corps pour revenir dans la cinquième dimension.
La troisième dimension est une dimension de matière, une dimension où tout est tangible pour les cinq sens. La troisième dimension est par excellence la dimension de l’illusion, mais il doit en être ainsi car ce n’est pas la dimension de l’esprit. Les êtres ont beaucoup de mal à créer par l’esprit, ils créent donc avec les possibilités que leur offrent la matière, la conscience humaine et aussi leur imagination. C’est pour cette raison qu’en troisième dimension les hommes créent beaucoup de machines, beaucoup d’outils, beaucoup de choses qui seraient totalement inutiles. Lorsque votre conscience se sera hissée à niveau plus élevé, tout deviendra différent pour vous.
Le passage en quatrième dimension sera bref. Nous ne pouvons pas vous dire exactement sa durée, mais il ne durera que peu de temps par rapport à ce que vous avez vécu en troisième dimension. C’est une dimension de transit, d’apprentissage pour la cinquième dimension.
Quand vous aurez la possibilité de percevoir la quatrième dimension (nous le décrivons d’une certaine manière) vous aurez l’impression que tout est mouvant autour de vous et même en vous, que votre matière n’a plus de consistance. Cela sera déséquilibrant si vous n’êtes pas prêts. Vous n’aurez plus rien à quoi vous raccrocher puisque avant que cela se stabilise, avant que votre matière et votre conscience soient stabilisées dans une dimension supérieure, tout sera fluctuant. Vous n’aurez plus aucun repère puisque vous aurez complètement abandonné ce que vous étiez en troisième dimension et qui ne vous servira absolument pas. Vous serez comme des nouveau-nés qui apprendront une nouvelle vie.
Rassurez-vous, vous ne serez pas seuls, pas plus que vous avez été seuls lorsque vous avez décidé d’expérimenter la troisième dimension. Lorsque vous transiterez, que ce soit au niveau de la transition, de l’ascension ou de l’évacuation, peu importe les noms dont vous l’appelez, nous serons encore beaucoup plus nombreux à vous aider, car vous serez réellement comme des nouveau-nés. Vous allez aborder des façons d’être, de penser, de ressentir et d’aimer qui vous sont totalement étrangères dans l’état actuel de ce que vous êtes.
Dans l’état actuel de ce que vous êtes, vous ne fonctionnez qu’avec ce que vos yeux perçoivent, ce que vos mains touchent, ce que vos oreilles entendent, ce que vous êtes en totalité dans la réceptivité de ce que contient la troisième dimension. Vous vivez avec les outils qui vous ont été donnés pour explorer et pour expérimenter ce monde.
Il est bien évident que lorsque vous ne serez plus dans la troisième dimension, d’autres « outils » vous seront donnés, c’est à dire qu’ils se développeront EN VOUS d’une façon considérable.
Pour pouvoir réellement les acquérir et les comprendre, il faudra vous y être préparé en troisième dimension. Ce qui sera peut-être le plus difficile, se sera le passage qui durera très peu de temps, celui où vous serez obligés de basculer lorsque vous arriverez au « point zéro » de votre conscience et aussi des énergies de la planète Terre et de ce fait de vos propres énergies. Ce basculement pourra être déstabilisant car, comme nous vous l’avons dit, plus rien ne sera comme avant.
Les trois jours d’obscurité seront trois jours nécessaires en vue de votre renaissance.
La cinquième dimension , lorsque vous vous serez complètement stabilisés, sera une dimension de création essentiellement par l’esprit. Dans cette dimension, les machines ne vous seront pas réellement utiles. Certes vous pourrez créer des vaisseaux, mais ils seront faits avec votre énergie, l’énergie de ce que vous êtes.
Cette cinquième dimension sur ce monde durera très longtemps, mais vous aurez accès à des dimensions supérieures pour ceux qui le voudront et qui feront un travail en conséquences.
Dans votre troisième dimension, vous avez déjà accès à la quatrième dimension, et pour certains à la cinquième par instants, nous disons bien PAR INSTANTS .
Lorsque vous serez en cinquième dimension, vous aurez accès à la sixième, voire septième dimension par instants, pas en permanence. Ce sont des préparations à des élévations de conscience et à des vibrations beaucoup plus importantes.
Nous savons qu’à l’époque actuelle, beaucoup d’êtres disent qu’ils sont en quatrième dimension. Certains conférenciers le disent également. Nous laissons dire ! Nous disons simplement que peut-être, lorsque vous êtes dans un état privilégié, lorsque vous êtes en harmonie, en alignement parfait, vous êtes hors de la troisième dimension.
Nous ne pouvons pas vous donner une explication concrète de ce que seront pour vous la quatrième et la cinquième dimension, si ce n’est ce que nous vous avons dit, parce que vos possibilités de ressenti, de compréhension ne sont pas complètement développées. Sachez simplement, et nous continuons à le dire, que si vous n’avez pas accès à cette transition avec votre corps, vous aurez très, très rapidement la possibilité de venir rejoindre ceux que vous avez aimés et qui auront transité en cinquième dimension.
La cinquième dimension vous donnera aussi accès à la substance de l’incréé . Cette substance peut être représentée comme un immense fleuve de matière dorée. Elle est immatérielle, mais c’est une énergie colossale dans laquelle vous pourrez puiser pour manifester tout ce que vous désirez. Bien évidemment, pour pouvoir accéder à cette « matière » de l’incréé, il faudra que vous soyez totalement purs, car sans cela votre propre création pourra vous détruire. Comprenez bien ce que nous voulons vous dire !
Dans la cinquième dimension vous aurez la possibilité de créer tout ce qui vous est nécessaire pour vous vêtir si vous en avez besoin, et pour vous nourrir. Rien ne sera plus comme actuellement !
Certains d’entre vous diront : tout çà n’est qu’illusion et ne peut exister ! Une matière universelle qui peut créer tout ce que nous désirons tout simplement en projetant notre esprit en elle n’est qu’illusion. Nous vous dirons : non ! Tous les grands Maîtres ascensionnés, tous les grands Maîtres qui parcourent encore le monde n’ont jamais eu besoin de travailler pour se nourrir !
Qu’a fait notre très, très cher frère de Lumière Jésus ? Il a créé à partir de la substance universelle ! Il était cependant un homme ! Il a par exemple donné à manger à tous ceux qui avaient faim ; lorsqu’il créait à partir de la substance universelle, il ne créait pas en troisième dimension. Il élevait considérablement ses vibrations ! Il éprouvait une grande souffrance car il devait s’accorder à la fréquence vibratoire de ses disciples pour pouvoir les élever à un niveau qui leur permette de le comprendre, afin qu’ils puissent se préparer, eux aussi, à faire ce que vous pourriez considérer comme des miracles. Voilà un petit peu ce qui vous attend dans une dimension supérieure. Pour y accéder, vous avez encore un chemin parfois difficile à parcourir. »
Je peux vous assurer que ce qu’ils disent est vrai ! Je vois cette magnifique énergie, elle est devant moi, elle est autour de moi, elle est partout ! C’est absolument merveilleux ! La pensée est simplement projetée sur cette substance ! J’aimerais pouvoir le faire, j’aimerais pouvoir créer, je perçois leur sourire. Ils me disent :
« Tu es encore une enfant ! Tu n’es encore pas prête ! »
Question : Que se passera-t-il avec nos multidimensionnalités ? Y aura-t-il des retrouvailles ou une fusion avec nos multidimensionnalités ?
« Effectivement ! Lorsque vous serez dans cette dimension très supérieure, vous aurez accès à votre Soi Supérieur. Mais sachez que dans cette future dimension et au-delà de votre Soi Supérieur il y aura encore une multidimensionnalité qui ne vous sera pas forcément accessible.
Chaque fois que vous vous élevez vibratoirement et que vous allez dans une dimension supérieure, il y a toujours au-dessus de vous une autre multidimensionnalité jusqu’à ce que vous atteigniez la Source, qu’il y ait fusion.
Les informels ont réussi à faire la fusion avec toutes leurs multidimensionnalités, se sont élevés de conscience supérieure en conscience supérieure jusqu’au Soi Divin pour fusionner avec la Source. C’est une montée permanente, une ascension permanente de soi-même ! C’est peut-être un peu difficile à exprimer, mais notre canal le ressent.
Nous associons troisième et quatrième dimension, et aussi cinquième et sixième dimension. Nous aimons parler ainsi parce que c’est plus correct ! Lorsque vous serez dans la cinquième dimension et comme nous vous l’avons dit, vous aurez déjà toutes les capacités de l’esprit à votre disposition, vous aurez accès à une de vos multidimensionnalités importante, donc au Soi Supérieur de ce que vous êtes en cinquième dimension.
Pour vous donner une comparaison et cela peut vous paraître absolument extraordinaire, c’est que dans cette fusion c’est comme si en troisième dimension vous fusionniez avec le Divin.
Il n’est pas possible de fusionner réellement avec le Divin. Vous fusionnez partiellement, vous fusionnez avec l’énergie émanant du Divin qui correspond à votre niveau de conscience, qui correspond à votre état vibratoire. Si vous fusionniez en totalité avec le Divin qui est en vous avec la vibration qui est actuellement la vôtre, vous seriez consumés ! Comprenez-vous cela ?
Il est important que cela soit dit pour faciliter votre compréhension, car vous dîtes toujours «fusionner avec le Divin. » Vous parlez beaucoup du Divin et c’est très bien ainsi. Nous vous dirons : bien sûr il faut continuer d’en parler, mais vous ne fusionnez que partiellement avec l’Etre Divin qui est en vous !
C’est facile à comprendre ! Si le Divin en vous représente une particule de Dieu, imaginez à quel point vous devriez élever vos vibrations pour pouvoir fusionner avec Lui en totalité ! Ce serait considérable ! Alors même si vous arrivez à fusionner avec une parcelle de votre Soi Divin, c’est déjà extraordinaire.
Nous pensons que ces explications étaient importantes pour votre devenir. »
_________________________
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : • qu'il ne soit pas coupé • qu'il n'y ait aucune modification de contenu • que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Après HOME et la série Vu du Ciel, le film documentaire de 90 minutes LA SOIF DU MONDE de Yann Arthus-Bertrand, réalisé par Thierry Piantanida et Baptiste Rouget-Luchaire propose un nouveau voyage autour de la terre. Cette fois-ci le célèbre photographe s’intéresse à l’un des enjeux majeurs pour la survie des populations : l’EAU. Aujourd’hui, dans un contexte de forte croissance de la demande, d’augmentation de la population mondiale et d’aggravation des effets des dérèglements climatiques, l’eau est devenue l’une des plus précieuses richesses naturelles de notre planète. Fidèle à la réputation de Yann Arthus-Bertrand, LA SOIF DU MONDE, tourné dans une vingtaine de pays, révèle le monde mystérieux et fascinant de l’eau douce grâce à de spectaculaires images aériennes tournées dans des régions difficiles d’accès et rarement filmées, tel que le Soudan du Sud ou le nord du Congo ; découvertes aussi des plus beaux paysages de notre planète, lacs, fleuves, marais, dessinés par l’eau. LA SOIF DU MONDE fait donc le pari de confronter la fameuse vision aérienne du monde de Yann Arthus-Bertrand avec la dure réalité quotidienne de tous ceux qui sont privés d’eau, en meurent parfois et se battent sur le terrain pour se procurer l’eau, l’épurer ou l’apporter à ceux qui en manquent. Le film est tissé de rencontres. Un berger du nord Kenya nous dit dans les yeux qu’il a tué pour de l’eau et qu’il le fera encore. Des femmes dansent lorsque l’eau arrive enfin dans leur village. Une ambassadrice des Nations Unies atypique explique son combat pour que les gouvernements s’engagent eux aussi pour permettre l’accès à l’eau et aux techniques les plus modernes d’épuration, garantes de la survie et de la santé des populations les plus pauvres. Des reportages réalisés en Europe, en Afrique, en Asie, en Amérique, donnent la parole à ceux qui s’engagent et innovent, afin d’apporter l’eau où elle manque, l’utiliser plus intelligemment, l’épurer ou mieux encore cesser de la polluer. Des personnalités attachantes, reconnues internationalement ou simples acteurs de terrain, illuminent le film de leur énergie, de leur imagination et de leur enthousiasme… Car l’accès à l’eau potable est plus que jamais le grand enjeu de demain.
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable.
Wikipédia
L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle de langue française écrite en 1953 par l'écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. Il s'agit de l'histoire, présentée comme authentique, du berger Elzéard Bouffier, personnage pourtant de fiction, qui fait revivre sa région, localisée en Haute Provence, entre 1913 et 1947, en plantant des arbres.
Dernière édition par Esprit le Sam 29 Sep 2012 - 22:40, édité 2 fois
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Plantes et chamanisme vidéo-conférence de Jeremy Narby, Sep. 2008
VIDEO
Docteur en anthropologie de l’université de Stanford (Etats-Unis), Jeremy Narby est, depuis 1989, directeur de projets amazoniens pour l’ONG suisse Nouvelle Planète qui œuvre afin de soutenir les initiatives des peuples indigènes de l’Amazonie. Il s’agit de les aider à défendre leurs territoires et leurs connaissances. Par ailleurs, il cherche à agir comme diplomate entre les systèmes de savoir, avec une approche bi-cognitive et autocritique, convaincu que multiplier les angles d'approche permet de mieux cerner la nature complexe de la réalité. Cette voie, de son propre aveux, est longue à maîtriser, mais peut enrichir la réflexion sur des questions de base telle que qu'est-ce qu'une plante?
Découverte de l’Amazonie. Jeremy Narby nous parle de la situation actuelle en Amazonie où les peuples indigènes sont contanimés par l’industrie pétrolière et le monde industriel.
Le secret des plantes. Comment les chamanes savent-ils ce qu’ils savent à propos de plantes ? Pour une véritable exploration scientifique de ce savoir.
Jeremy Narby raconte son expérience chamanique. Après plusieurs semaines au coeur de la forêt amazonienne, Jeremy Narby décide de goûter à l’ayahuasca afin de « voir ».
Le savoir des peuples indigènes. Selon les Ashaninkas, « la pratique est la forme la plus avancée de la théorie ». Jeremy Narby évoque ses rencontres avec cette communauté.
Qu’est-ce qu’un chamane ? Jeremy Narby revient sur l’histoire du mot « chamanisme », inventé il y a quelques siècles par les occidentaux.
Une autre perception des espèces vivantes. Notre regard sur la réalité est différent selon les cultures. Quelle est la vision des peuples indigènes sur ces expériences chamaniques ?
Retour sur l’ayahuasca. Qu’est-ce que l’ayahuasca ? Qui sont les ayahuasqueros ? Jeremy Narby détaille les différentes pratiques existantes aujourd’hui.
Les recherches scientifiques. Jeremy Narby revient notamment sur le rapport qu’il développe dans le Serpent Cosmique entre « chamanisme amazonien » et « biologie moléculaire ».
Dernière édition par Esprit le Ven 19 Oct 2012 - 21:16, édité 1 fois
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
"Une nouvelle espèce d’homme est en train de naître. Elle détruit les structures périmées et prépare ainsi le terrain de la transmutation. La Science s’est fourvoyée dans l’approche du vivant, car elle ne prend en compte que le corps physique. Nous sommes plus que cela.
L’auteur nous informe de l’existence de champs invisibles qui créent la matière et la modèlent en l’informant. La maîtrise de ces champs qui survivent à la désagréga-tion du corps physique laisse entrevoir au biologiste d’innombrables possibilités qu’une science rationaliste, et donc réductrice, ne peut concevoir (réincarna-tion, karma qui implique une responsabilité de nos pensées, paroles et actes, etc.).
Tout est conscience-énergie, et l’homme prisonnier de ses sens et de son mental n’en est pas encore conscient.
Jacqueline Bousquet réconcilie la Science et la Tradi-tion, le savoir des initiés et les dernières découvertes scientifiques, afin que s’incarne un nouvel art de vivre sans conditionnement d’aucune sorte et dans le respect de l’environnement pris comme un Tout. La liberté est à ce prix, ainsi que notre survie. Dans un court délai, ce qu’elle dit aura un impact incalculable sur le monde. Ce livre interpelle autant l’esprit scientifique que l’es-prit de celui qui cherche un sens à sa vie. Il peut être la base de profondes réflexions, voire de méditations. "
VIDEO : Conférence Jacqueline Bousquet Juin 2011
"La science rejoint enfin la Tradition. Le monde d'espace-temps dans lequel nous vivons au quotidien n'a aucune réalité. Il est une construction mentale que certaines propriétés de notre cerveau rendent réelle tant que nous y croyons, une sorte de rêve-cauchemar dont nous sommes prisonniers et dans lequel nous souffrons. La Physique Quantique nous apporte les éléments de réflexion qui nous permettent de sortir de nos illusions".
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Quel étrange décalage nous vivons entre un monde où le temps paraît figé dans un vague sentiment d’imminence et où tout en nous semble toujours s’accélérer sans que nous maîtrisions quoi que ce soit de la succession des paliers franchis. Nous ne voyons plus passer les jours, les semaines, les mois, nous ne comprenons plus où est passé le temps, nos mémoires se défont, nos savoirs les plus élémentaires nous échappent. Si tout paraît vain et peut nous démobiliser, quelque chose pourtant nous pousse à entreprendre dans une inhabituelle indécision, à créer une dynamique, un mouvement.
Être à l’écoute sans demeurer dans l’attente, faire sans s’éloigner de l’essentiel, où se trouve le juste chemin ? A quelle juste distance placer notre chaise à la table du monde ? Telle est la question qui taraude plus d’un artisan du nouvel Âge d’Or en ce monde pourtant encore si terne, si éteint, en apparence.
Dans l’arrière plan du visible, tout se met en place, mais rien ne demeurera à terme invisible aux yeux de tous, et ce terme semble à présent très proche. Peut-être est-ce là que trouve sa source le sentiment imprécis d’imminence que nombre d’entre vous ressentent. C’est ce qui explique peut-être aussi cette démobilisation, ce désir de retrait du monde connu, cette envie d’en finir avec tout ça, de rentrer à la maison.
Il n’est pas dans nos plans d’âmes de se laisser démobiliser, ni d’attendre tourné vers l’extérieur ce qui ne peut naître que si nous regardons à l’intérieur. Ne vous laissez pas aller à ce goût d’accoster sans plus attendre sous prétexte que les premières senteurs de la terre promise vous parviennent enfin et que les premiers oiseaux se posent sur le pont après une si longue traversée des eaux. Vous y êtes encore sur le pont, il y a une barre à diriger, un cap à tenir et un gréement à manœuvrer, l’accostage réclamant toujours la plus grande attention. Faites ce que bon vous semble pour vous maintenir à flot durant les derniers bords à tirer, faites ce que vous sentez juste pour vous et pour l’ensemble de l’équipage, ne vous occupez pas des sirènes qui vous appellent vers les fonds, comme Ulysse attachez-vous au mât si vous le désirez ou, simplement, ne prêtez plus l’oreille aux chants de malheur.
Que dire d’autre que cela : soyez présent à vous-même. Sans concession à l’à-peu-près, sans faiblesse en ces moments bénis après tant d’efforts à pagayer contre les courants d’un monde aveugle. Vous surfez à présent, dans le sens des grandes marées. Soyez conscients de votre propension innée à garder l’équilibre, vous l’avez toujours fait, c’est inscrit dans votre mémoire.
Ceux qui s’agitent à contre-courant sont ceux-là même qui croient encore définir le sens des marées, ils détiennent encore quelques leviers pour entraîner les ignorants dans le courant de la peur. Si certains de ceux-là essaient encore de déclencher leurs guerres insensées, ils ne sont en rien le reflet de l’état du monde. Les intérêts du microcosme de ces faiseurs de souffrance ne sont en rien les vôtres. Oubliez-les, n’accordez plus de crédit à leurs gesticulations, sortez du regard imposé par ceux-là et soyez enfin pleinement présent au vôtre. Là est la mesure de la distance à conserver entre eux et vous. Ils existent au sein de leur illusion, sur les planches vermoulues de leur théâtre obscur, ils sont vous comme tout un chacun, mais vous n’êtes plus en phase avec cette part désormais en retrait de votre expérience de vie. Vous-même avez grandi, votre regard porte plus loin, vos visées sont à présent ailleurs, loin du contrôle illusoire de ceux qui ont forgé les chaînes en lesquelles vous avez cru si longtemps.
Si vous vous sentez encore vulnérable à la morsure des incendies qu’ils allument, alors demeurez hors de leur vue, hors de leurs pensées, hors de leurs propagandes, ne soyez rien qu’ils ne puissent voir comme une proie à leur portée et attisez peu à peu les braises de votre amour et de votre sagesse jusqu’à ce qu’ils vous aient empli de la force qui est légitimement vôtre. Si vous vous sentez assez fort pour être ce que vous êtes aux yeux de tous, alors ne vous cachez pas, portez haut votre lumière, elle les éloignera comme le flambeau chasse le prédateur dans la nuit car ils n’ont de courage que dans l’obscurité qui les masque, ils ne sont dans la lumière plus rien que leur propre misère. Votre clarté attirera à vous ceux qui ont besoin de reprendre des forces pour découvrir qu’eux-mêmes sont forts, que leur faiblesse n’était que croyance et que toute croyance qui rapetisse peut être laissée là à jamais, et se noyer avec les traces de vos pas dans la boue du passé.
L’horloge cosmique vous appelle une ultime fois à ne plus accepter dans votre vie que ce qui vous hisse vers ce que vous reconnaissez comme votre Être suprême, votre essence divine. Laissez de côté ce qui ne nourrit finalement que l’égo, prenez soin de votre corps et de ce que vous lui donnez, séparez-vous enfin des addictions, abandonnez le superflu, tout ce qui vous distrait de votre aspiration profonde et toute chose autour de vous qui vous ramène aux vieilles énergies, vous savez désormais faire intuitivement et instantanément la différence. Si vous êtes présent à vous même, sincère et sans compromission, si vous suivez votre voie royale de l’impeccabilité, vous êtes alors à l’écoute de votre canal intérieur, vous savez entendre la voix de votre âme, vous percevez la hauteur de vue de l’Esprit qui préside à votre chemin de vie et vous êtes alors là où vous l’aviez choisi en ces temps d’exception. Quel que soit son visage – et il vous appartient d’en scruter les facettes – seule la peur vous maintient dans le moule qu’ils ont façonné pour étouffer en vous votre pouvoir, pour vous asservir toujours plus.
Une vie simple où chaque jour qui se lève vous emplit de gratitude est le signe infaillible de votre équilibre sur la vague. L’accueil, l’acceptation de tout ce qui vient sans tenter de contrôler le flux est la juste attitude. Vouloir contrôler, c’est s’opposer à ce qui vient à vous et qui est toujours juste, c’est rompre l’harmonie des courants qui vous portent à votre couronnement. Pour autant, la vigilance demeure une nécessité parce que votre perception s’ouvre et va s’ouvrir de plus en plus, que ses effets pourront être déstabilisants si vous n’êtes pas dans la sérénité de l’accueil. A rappeler à vous sous forme de rêves et de visions dans un premier temps vos autres dimensions, à ne plus rien comprendre au temps qui s’écoule, à voir la mémoire d’une vie s’effacer et celles d’autres émerger, à ne plus comprendre ce que votre corps peut exprimer dans ses réactions inexpliquées, parfois douloureuses, à se sentir ailleurs jusqu’à voir parfois l’ailleurs, vous risquez de perdre le centre, la présence nécessaire à vous-même ici et maintenant. C’est une expérience qui peut être déstabilisante jusqu’à être chaotique, même pour ceux qui en ont déjà fait l’expérience, j’en ai déjà parlé dans La voix au-delà du chaos, Le Passage du Chas et Les Nouvelles saisons, l’humanité et Gaïa.
Pour autant, tout ce que vous avez vécu sur votre parcours d’éveil vous a préparé à cela. Dans cette situation nouvelle, vous n’êtes démuni que de l’encombrant, pas de l’essentiel. Accueillir ce qui vient, c’est donner la main à son enfant intérieur sous le regard éclairé de l’Esprit qui vous guide, c’est faire preuve d’innocence et d’humilité. De l’innocence du juste qui n’a rien à craindre par ce qu’il n’a pas de peur, de l’humilité de l’humble qui s’est donné en confiance à la vie, ne cherchant pas le contrôle, ne cédant pas tout ce qui fut jusque-là de l’ordre de la guérison en soi des vieilles souffrances, du dépôt des armes et de l’armure. Tout ce qui vous a dénudé des oripeaux de l’égo douloureux vous a oint de cette bénédiction de l’innocent. C’est votre plus grande force, elle n’éloigne pas de vous le prédateur, elle éloigne du prédateur sa propre volonté de pouvoir qui n’est autre que sa propre peur, elle le guérit, elle le ramène à votre niveau parce qu’il est ce que vous étiez et qu’enfin il se souvient de qui il est lorsqu’il n’a plus peur. De votre force de guérison naît un sillage où d’autres s’inviteront. Là se place votre chaise à la table du monde.
Le chaos vient pour chacun, porteur de ce qu’il y a de meilleur en lui. Du point de vue de la chenille au sol, la peur l’emportera probablement, du point de vue élevé du papillon dans l’envol, l’amour portera ses ailes. J’ai vu ce matin disparaître soudainement sous mes yeux un vol d’hirondelles virevoltantes dont j’observais l’étrange comportement. Sans réfléchir, un mot m’est venu en l’instant : ascension. De quoi donc était fait l’air qui portait leurs ailes et qu’elles ont alors reconnu…
Cela répond presque exactement au message que ma fille vient de m'adresser, et aussi à son cheminement. Coïncidence pour me faire comprendre quelque chose ??
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Nous allons méditer ensemble… comme lorsqu’on laisse la fenêtre ouverte et que l’air entre à sa guise. La méditation c’est tout ce que l’air apporte, c’est tout ce qu’est le vent… Il faut qu’elle soit ouverte par amour, par affection, en toute liberté, et pas dans l’attente de quelque chose. Voilà ce qu’est cet état de beauté, cet état de l’esprit qui voit mais ne demande rien.
Avoir pleinement conscience des choses est un état d’esprit extraordinaire – avoir conscience de son environnement, des arbres, de l’oiseau qui chante, du soleil levant, là derrière vous; être attentif aux visages, aux sourires, à la boue qui couvre la route; percevoir la beauté de ce pays, d’un arbre se détachant sur la rougeur du ciel, du friselis de l’eau -, avoir de toute chose une conscience sans choix. C’est ce que je vous invite à faire en chemin. Écoutez ces oiseaux, ne cherchez pas à les nommer, à en identifier l’espèce, écoutez simplement leurs bruits.
Écoutez le mouvement de vos pensées; ne les contrôlez pas, ne les façonnez pas, ne dites pas : « Celle-ci est bonne, celle-là est mauvaise. » Mais accompagnez-en le mouvement.
C’est cela, la conscience dénuée de tout choix, de toute condamnation, comparaison ou interprétation, et qui n’est qu’observation. Voilà qui rend l’esprit hautement sensitif. Dans cet état de vigilance, il y a attention – mais point de contrôle ni de concentration. Rien que l’attention. Autrement dit, vous êtes dans un même temps en train d’écouter les oiseaux, de voir le soleil se lever, d’entendre passer les voitures, d’être attentifs à vos pensées et à vos sentiments, et au mouvement dont est animée cette attention. Votre attention est globale, sans limites, et couvre non seulement le conscient, mais aussi l’inconscient.
Lorsque l’esprit est ainsi attentif, le processus d’association de la pensée prend fin naturellement et l’esprit devient tranquille. Alors de cette tranquillité surgit un tout autre mouvement… Cette méditation-là part de l’éternel et rejoint l’éternel, car le fondement sur lequel on s’appuie n’est plus le temps, mais la réalité.
Par Jiddu Krishnamurti
Publié le 29 septembre 2012 par Le Passeur. Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source).
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Eckhart Tolle (né Ulrich Leonard Tolle, Lünen, Allemagne en 1948) est un écrivain et conférencier, résident canadien, connu comme étant l’auteur des ouvrages best seller Pouvoir du moment présent et Nouvelle Terre.
Tolle raconte qu’il s'est senti déprimé la plus grande partie de sa vie jusqu’à ce qu’il connaisse, à l’âge de 29 ans, une « transformation intérieure » à la suite de laquelle il passa plusieurs années sans-emploi à vagabonder « dans un état de félicité profonde » avant de devenir enseignant spirituel. Plus tard, il déménagea en Amérique du Nord où il commenca à écrire son premier livre, Le pouvoir du moment présent, qui fut publié en 1997 aux USA et est devenu un best-seller international traduit en 33 langues1. Tolle s’installa ensuite à Vancouver au Canada où il vit depuis. (source)
Eckhart Tolle
Dernière édition par Esprit le Lun 1 Oct 2012 - 18:56, édité 2 fois
Maule03
Nombre de messages : 230 Age : 70 Date d'inscription : 25/11/2008
C'est drôle, je viens d'acheter le pouvoir du moment présent et l'art du calme intérieur d'Eckhart Tolle et quelques autres!
Je les ai lu tous les deux, ils sont Super ! En ce moment je passe en revue Eckhart Tolle, vu qu'en ce moment je suis occupé pour le relire, je l'écoute. Ca nourrit l'esprit A consommer sans modération
quartz-rose
Nombre de messages : 1803 Localisation : Au calme Date d'inscription : 19/04/2011
Khalil Gibran est un poète libanais né le 06 Janvier 1883 à Bécharré au Liban alors province ottomane de la Grande Syrie dans une famille Maronite dimanche 30 novembre 2003. En 1895, C’est l’exil et le départ de la famille de Khalil Gibran pour Boston, pour un raison inexpliqée le père n’est pas du voyage.
En 1898, c’est le retour de Gibran à Beyrouth, où il s’inscrit au collège de la Sagesse. Il y passe 4 ans
En 1902,il retourne à Boston et il peint et il écrit son talent artistique s’affirmant
En 1903, sa mère décède ainsi que son demi-frère
En 1904 Gibran rencontre une directrice d’école Marie Haskel qui le protége. Elle le soutient dans ses travaux d’écriture en langue Anglaise. Il engage avec elle une correspondance que seule la mort interrompra
En 1905. Parution de La musique Le premier livre de Gibran suivi des Nymphes Des Vallées(1907)
En 1908 Publication des Esprits Rebelles. l’église maronite juge l’ouvrage hérétique et le pouvoir Ottoman décide de le bruler en place publique. Gibran part pour Paris où il étudiera les Beaux Arts.
En 1910, il s’installe définitivement à New-York où il se consacre à la peinture et à la poésie.
En 1912 , Début de la correspondance avec May ziyada qui vit en Egypte
En 1916 Gibran mène une campagne en faveur des victimes au Liban de la famine provoqués par la Guerre
En 1918 Publication du Fou
En 1919 Publication de Processions en Arabe
En 1920 Publication de Forerunner et de Tempêtes
En 1923 Parution du Prophète
En 1926 Parution du Sable et de l’écume
En 1928 Parution de Jésus, Fils de l’Homme suivi des Dieux de la Terre, de l’Errant et du Jardin des Prophètes
En 1931 Il Meurt à New-york Son corps est ramené au Liban, où il repose désormais dans la crypte du monastère de Mar Sarkis, à Bécharré.
Le Prophète
AUDIO - 1
AUDIO - 2
quartz-rose
Nombre de messages : 1803 Localisation : Au calme Date d'inscription : 19/04/2011
Je vois devant moi deux magnifiques dauphins ; ils sont plus grands que ceux qui vivent dans nos mers. Ils ont de grands yeux très intelligents. Ils me disent :
« Peuples de la Terre, nous aimerions vous dire à quel point vous êtes inconscient. Nous vous avons déjà dit que petit à petit vous videz les océans de toute vie. De plus, vous détruisez notre milieu, nos « maisons » en quelque sorte. Il devient de plus en plus difficile pour nous d’exister dans notre propre milieu.
Nous aussi avons la conscience de l’existence de la Source. Nous lui avons donc demandé de nous enlever de ce monde. Ce monde n’est plus le nôtre, les océans ne nous abritent plus, nous ne pouvons plus nous nourrir.
Vous verrez de plus en plus nos frères les grands cétacés ou même ceux que vous appelez les poissons mourir en énormes quantités, et au lieu de vous poser des questions, vous trouverez cela normal. Vous trouverez toujours des mauvaises excuses au lieu d’aller réellement au centre du problème ! C’est vous qui êtes le centre du problème !
Pauvres humains ! Vous imaginez que vous êtes des petits dieux parce que vous avez tous pouvoirs ! Vous avez détruit notre milieu de vie et vous détruisez en même temps votre propre milieu de vie !
Vous n’avez pas compris que l’océan est une source considérable de nourriture pour vous et que nous vous offrions cette nourriture avec Amour. Il n’y avait pas que nous, grands mammifères marins, ainsi que les poissons, qui pouvaient vous servir de nourriture ! Il y avait des algues extrêmement bonnes pour nourrir les humains, ainsi que des algues qui pouvaient les soigner de toutes leurs carences.
Nous qui avons la conscience, qui pouvons communiquer par télépathie avec certains humains, nous aurions pu vous donner des indications pour soigner une maladie désastreuse dont ne précisons pas le nom car vous le connaissez aussi bien que nous.
Vous n’avez pas pris conscience de tous les dégâts que vous commettez ! Pourquoi cela ? Pour un profit illusoire ! Lorsqu’il ne restera plus rien sur votre monde, vous nourrirez-vous avec votre argent ? Nous sommes malheureux, mais pas pour nous ! Nous sommes malheureux pour vous !
Pour l’instant, les humains, les habitants de la terre ferme, n’ont pas été réellement touchés, ils n’ont pas encore eu le retour de leurs erreurs. Lorsque notre milieu sera encore plus abîmé, ils comprendront !
Il y a longtemps, le grand Dauphin Blanc vous avait dit que les océans ont besoin de nous, ont besoin de la vie de toute la faune marine pour rester en équilibre. L’océan a besoin de l’énergie de vie de ce que nous sommes. Lorsqu’il n’y aura plus cette énergie de vie, les océans, les lacs et les rivières se mettront en colère, ils se révolteront. Vous ne pouvez même pas imaginer ce que l’eau peut faire ! Vous êtes tellement ignorants !
Nous, mammifères marins qui vous parlons, sommes des dauphins, mais les baleines et beaucoup d’autres grands mammifères marins ont aussi une conscience et peuvent communiquer avec vous. Ils ressentent autant de souffrance que celle que nous exprimons.
Si nous sommes venus vous parler, c’est pour vous mettre une dernière fois en garde ! Vous ne comprenez pas vos erreurs, donc vous les comprendrez dans la souffrance !
Nous ne sommes pas là pour créer des peurs en vous, car vous êtes suffisamment grands pour vous en créer tous seuls ! Ouvrez les yeux ! Regardez les millions de poissons qui meurent tous les jours ! Regardez l’état de l’eau qui est si sacrée et si utile à la vie ! Vos fleuves et vos lacs deviennent impropres à la vie de nos frères les poissons, et eux-mêmes deviennent impropres à la consommation des humains.
Cela ne vous inquiète-t-il pas ? Cela ne vous cause-t-il aucun chagrin, aucun remord ? Pauvres humains ! Lorsque vous vous réveillerez, il sera trop tard ! Nous, les dauphins, dirons que d’une certaine manière cela fait aussi partie du Plan, mais le Plan aurait pu être différent, il aurait pu générer beaucoup moins de souffrance dans ce que nous sommes en tant qu’habitants des océans, des lacs et des rivières.
Nous quittons cette magnifique petite planète sans regrets, et nous dirons même avec une immense joie. La seule tristesse qui demeure en nous est de voir à quel point vous êtes encore dans l’ignorance, dans l’obscurantisme, dans la suffisance et dans l’égoïsme. Nous ne pouvons rien faire pour vous ! Plusieurs fois, nous avons essayé de vous mettre en garde, mais cela n’a servi strictement à rien !
Maintenant, nous vous disons simplement adieu !
On vous cache de plus en plus la réalité des départs considérables de poissons, d’habitants des mers, des lacs et des rivières vers leur nouvelle demeure. Ce n’est pas dit dans vos médias !
Nous vous demandons simplement de penser au peuple de la mer dans vos prières. Une grande partie de ce peuple va partir, mais une partie restera jusqu’au bout dans de grandes souffrances. Il n’y aura plus à manger, les océans deviendront de plus en plus stériles en raison de tout ce que vous y déversez.
Nous vous disons simplement adieu, mais quel dommage ! Nous vous aimons malgré ce que vous êtes, nous vous aimons parce que vous avez un côté tellement ignorant ! Vous êtes des enfants turbulents qui n’ont pas conscience des dégâts qu’ils font !
Nous ajoutons ceci : nous retrouverons beaucoup de cœurs purs, donc beaucoup d’entre vous lorsque vous serez dans le nouveau monde, ce monde totalement différent, régénéré, ce monde où l’Amour, la Lumière, la Paix et la Fraternité deviendront les maîtres.
Nous, les deux dauphins, nous vous saluons et vous disons que nous aimons toujours les hommes. Notre seul regret est de ne pas avoir pu communiquer avec eux, de ne pas avoir pu les aider. Ils nous ont utilisés, ils nous ont mangés, ils nous ont détruits gratuitement ! Nous ne leur en voulons absolument pas, car nous savons réellement ce qu’est l’Amour !
Vous direz : « comment un mammifère marin ou un poisson peuvent-ils connaître l’Amour ? » N’oubliez pas que, comme vous, nous sommes Enfants de la Source, et que nous venons d’un monde où la communication entre les êtres était totale ».
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : qu'il ne soit pas coupé qu'il n'y ait aucune modification de contenu que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
C'est l'histoire d'une femme au caractère trempé, Kiran Bedi, l'inspectrice générale de la prison de New Delhi, qui décida de transformer la mauvaise réputation de la prison de Tihar en une prison- Âshram, en un oasis de paix.
VIDEO
Esprit
Nombre de messages : 1586 Age : 62 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 05/11/2010
Comment l’alchimie m’a sauvé la vie Lorsque le cancer a frappé à ma porte
Jean-Jacques Crèvecœur
- Extraits -
Lors de ses séminaires sur la Médecine Nouvelle, de vive voix Jean-Jacques Crèvecœur racontait déjà son histoire ci-dessous, comment grâce à la Médecine Nouvelle et à l'Alchimie Psychologique il a pu se guérir d'un cancer du cervelet. Il proposait même à l'assistance ne pouvant croire que ce qu'elle voit ou touche de toucher la bosse résiduelle à la base de son crâne, ce que tous ceux qui le souhaitèrent pouvaient faire.
Récemment, il s'est décidé à mettre son témoignage par écrit dans le cadre de l'édition d'une collection d'interpellants témoignages intitulés "Points de Bascule", dont le lien de téléchargement est fourni en bas de la page.
C'est précisément ce qu'un être a déformé qui était destiné à l'embellir. Tel est le secret de l'alchimie psychologique.
"Je comprends qu’en parallèle de mon processus psychologique, mon organisme a fabriqué une tumeur cancéreuse à la base de mon crâne, puis l’a rejetée en l’enkystant une fois le conflit résolu. Et ce même cancer s’était bien guéri de lui-même lorsque j’ai reconnu, accepté et aimé non seulement l’événement extérieur déclencheur, mais aussi les parts sombres de moi qui l’avaient attiré par résonance.
En 1997, j’aurais dû mourir d’un cancer du cervelet.
Je n’ai fait aucune publicité autour de cet événement.
Si je suis en vie encore aujourd’hui pour vous le raconter, c’est parce que mon intuition m’a poussé à suivre la voie qui me semblait la plus appropriée pour ramener mon corps à l’équilibre.
Sans chimiothérapie, sans radiothérapie, sans chirurgie et sans accompagnement médical.
Cette voie fut celle de l’alchimie psychologique, une voie que je m’efforce de suivre depuis près de trente ans, le mieux que je peux. Mais avant de vous partager comment j’ai pu me guérir de ce cancer mortel, il m’importe de vous expliquer ce qu’est l’alchimie psychologique et comment j’en ai eu connaissance…
Des contes de fées à l’alchimie...
Ma découverte de l’alchimie s’est faite par un enchaînement de circonstances très particulier.
Nous sommes au début des années 1980. Rien dans mon univers familial ou dans mon cadre mental étroit de scientifique rationaliste ne me prédispose à m’aventurer vers les sombres rivages de l’ésotérisme et de l’occultisme… À cette période de ma vie, je suis un fervent catholique pratiquant, doté d’un esprit scientifique à la saint Thomas. Vous savez, celui qui ne croyait que ce qu’il voyait. Mon passage chez les «bons Pères Jésuites» m’avait rendu très méfiant à l’égard de ce mouvement naissant du New Age californien qui commençait à envahir la vieille Europe de ses techniques et de ses philosophies pour le moins étranges… Malgré tout, je suis déjà passionné par tout ce qui a trait à l’humain. La psychologie, les relations humaines, les rêves, l’inconscient, tout cela me fascine sans que j’y comprenne grand-chose.
Mon premier contact avec la psychologie, c’est à Bruno Bettelheim que je le dois, à travers son livre «La psychanalyse des contes de fées». Une porte s’entrouvre devant moi: ainsi donc, les contes de fées recèleraient des messages codés que seuls nos inconscients seraient capables de comprendre et d’intégrer pour évoluer et passer les étapes de développement que nous avons à franchir!? Ouah!!! Quelle découverte! Je prends conscience à ce moment de la richesse de ces traditions orales qui se perdent dans la nuit des temps. En même temps, une question reste sans réponse pour moi: qui a conçu le premier ces histoires? À quelle tradition ces contes pour enfants se rattachent-ils? Quel courant philosophique avait eu assez de génie pour coder, à la manière d’un rêve éveillé et dirigé, ce dont l’enfant avait besoin pour grandir psychiquement et franchir les différentes épreuves initiatiques nécessaires à sa croissance?
Ces questions resteront sans réponses pendant plusieurs années. Bettelheim, en bon psychanalyste freudien, ne m’avait pas apporté de réponse satisfaisante. Jusqu’à ce que je me perde dans une section inconnue de la bibliothèque universitaire où j’étais étudiant: celle où il était question d’interprétation de rêves. Je découvre un auteur que 12 je ne connais pas: Étienne Perrot. Cet homme a animé pendant plusieurs années une émission hebdomadaire sur une grande chaîne de radio, au cours de laquelle il se livrait à l’interprétation d’un rêve envoyé par un auditeur pendant la semaine. Et son livre, «Les rêves et la vie», reprend la transcription des meilleurs moments de cette aventure radiophonique. Passionnant! Curieux de nature, et séduit par ce que je viens de lire, je trouve dans la bibliographie des livres étudiant la symbolique des contes de fées et rédigés par une certaine Marie-Louise von Franz. Cette fois, je découvre une vision beaucoup plus large que celle - étriquée - des Freudiens. Je découvre un univers certes rationnel mais qui reconnaît l’expérience spirituelle comme une manifestation authentique de notre dimension transcendante. Là où Freud réduisait toute expérience mystique à un simple épiphénomène issu des pulsions de vie (Eros) et de mort (Thanatos), je trouve ici un univers où les grands symboles religieux et les expériences d’extase sont reconnus en tant que phénomènes à part entière.
Ce que je ne sais pas encore, c’est que le point commun de ces deux auteurs (Perrot et von Franz) est un immense personnage, un des plus grands penseurs du vingtième siècle, un explorateur courageux de la psyché humaine et de ses profondeurs: Carl Gustav Jung. Je veux en savoir plus sur son œuvre, immense, mais par où commencer? À l’intuition, je me jette dans son autobiographie, rédigée deux ans avant sa mort: «Ma vie». Bouleversant. Depuis, j’ai relu cette biographie trois fois. Et chaque fois, je découvre de nouveaux pans d’une vie d’une richesse incroyable. C’est en lisant la vie de C.G. Jung que je lis, pour la première fois, une approche originale de l’alchimie. Pour le père de la psychologie analytique, l’alchimie est ce qui permet de faire le pont entre notre psychisme ordinaire (ce que Freud appelle le «Moi») et notre dimension spirituelle (ce que Jung nomme le «Soi» ou la «Supraconscience»).
L’alchimie psychologique, selon Carl Gustav Jung
L’hypothèse de Jung est que l’alchimie opérative - celle qui permet de transmuter les métaux vils en or - ne peut fonctionner et réussir que si l’alchimiste lui-même se transforme intérieurement.
Comme si le processus alchimique extérieur n’était, en somme, que le reflet du processus intérieur vécu par l’alchimiste tout au long de sa quête… Comme le disait si bien Hermès Trismégiste dans sa Table d’€meraude: «Tout ce qui est en haut est comme tout ce qui est en bas. Tout ce qui est à l’extérieur est comme tout ce qui est à l’intérieur…»
Donc, pour accomplir le Grand Œuvre, pour fabriquer la Pierre Philosophale, il faut impérativement que l’alchimiste réalise le Grand Œuvre sur le plan psychique et spirituel. D’ailleurs, le lieu de toutes ces transformations ne s’appelle-t-il pas le laboratoire, contraction de deux termes issus du latin, labor et orare? ["travail" et "prière"]? Le laboratoire alchimique est donc un lieu où non seulement l’on travaille (labeur), mais où l’on prie également (oratoire).
Lorsque je lis pour la première fois les réflexions de Jung par rapport à l’alchimie, dans sa dimension psychologique et spirituelle, tout se met à vibrer à l’intérieur de moi. Comme si quelque chose se réveillait en moi, ou plus précisément, comme si quelque chose se souvenait à l’intérieur de moi. En lisant Jung, toute mon âme exulte de joie! Je retrouve ma maison, je reviens chez moi. Je ne sais pas comment, mais je SAIS ce qu’est l’alchimie. Et cette certitude absolue ne m’a plus jamais quitté.
Une fois reconnecté à cette fontaine de jouvence, je n’éprouve plus le besoin d’être relié à une communauté religieuse comme l’Église. Je sais, à partir de là, que mon chemin spirituel sera une voie solitaire, un sentier qui se construit pas après pas, sans suivre les traces de qui que ce soit. Au fil de mes lectures et de mes expériences, je comprends progressivement que la voie alchimique nous invite à une attitude radicalement différente de ce que ma culture et mon éducation m’ont appris. Cette attitude consiste à descendre dans la matière (cette fameuse matière première chère aux alchimistes), à descendre dans l’obscurité, dans la fange, dans le fumier de notre condition humaine pour transmuter cette lourdeur en quelque chose de lumineux et de léger. Me vient alors cette réflexion: si les alchimistes transmutaient le plomb en or, ils avaient besoin de plomb pour cette opération. Sans plomb, sans métal grossier, comment pourrait-on fabriquer de l’or?
C’est là que je commence à comprendre que notre plomb psychologique, c’est ce que nous appelons communément nos défauts, nos ombres. Ce sont toutes ces parties de nous que nous avons reléguées dans l’inconscient, que nous avons rejetées parce que nous les jugions négativement. C’est là également que je comprends combien je suis stupide de vouloir rejeter cette noirceur loin de ma réalité psychique. Car si j’ai en moi un gramme de plomb, je pourrai fabriquer au maximum un gramme d’or. Si j’ai un kilo de plomb, je peux obtenir jusqu’à un kilo d’or. Si j’ai une tonne de plomb, imaginez l’immensité de ma richesse potentielle!
À partir de cette rencontre avec l’alchimie, ma vision du monde, de la vie et de l’être humain change radicalement. Il n’y a plus rien de positif et de négatif. Il existe simplement un continuum de réalités dont certaines vibrent moins rapidement et d’autres plus rapidement. Un peu comme si le spectre de nos caractéristiques (qu’on nomme habituellement défauts et qualités) était semblable au spectre de la lumière visible. Il est évident que le rouge est très différent du violet, il est évident que la fréquence du rouge est inférieure à celle du violet. Pourtant, il ne viendrait à personne l’idée d’attribuer une connotation négative à la couleur rouge et une connotation positive à la couleur violette. Le but de la démarche alchimique c'est de réunir toutes les couleurs de l'arc-en-ciel pour réliser la lumière blanche primordiale.
Cette démarche de réunification, Jung l’appelle un chemin d’individuation, c’est-à-dire un chemin qui vise le centre de notre être, ce centre capable de réunir, de réunifier tout ce qui avait été épar dans notre vie. Pour Jung, l’individu, c’est un être indivisé, c’est celui qui a réussi à rassembler toutes les parties éclatées de sa personnalité, les bonnes comme les mauvaises, les lumineuses comme les ombrageuses… Le but de l’alchimie psychologique n’étant pas d’arriver à la perfection, mais à la plénitude, à la complétude!
Lorsque le cancer frappe à la porte de ma vie…
Le 2 mai 1997. Le jour de mon anniversaire. Depuis plusieurs heures, je subis un pénible interrogatoire mené par deux individus – un homme et une femme – envoyés par l’Inspection spéciale des impôts, la section la plus dangereuse et la plus vicieuse du fisc belge. Dès leur entrée dans mon bureau, j’en ai les jambes glacées, coupées. Je comprends ce que les Juifs ont dû ressentir lors des rafles de la Gestapo pendant la Deuxième Guerre mondiale. Les questions se succèdent les unes après les autres, sans répit. Le dossier où ils vont chercher leur inspiration mesure sept centimètres d’épaisseur. À travers leurs questions, je découvre brutalement que j’étais sur écoute téléphonique depuis plusieurs années, que des policiers en civil ont infiltré mes conférences et mes séminaires pour compter le nombre de participants, pour relever les 15 numéros de plaques d’immatriculation, pour noter minutieusement mes propos et mes projets. Malheureusement pour eux, je leur fais la démonstration que j’ai déclaré au franc près tous mes revenus, toutes mes recettes. Le nombre de participants qu’ils ont comptés correspond à ce que j’ai déclaré. Après sept heures d’interrogatoire sans interruption, ils repartent, dépités, déçus, ne comprenant pas pourquoi leur hiérarchie leur a demandé d’enquêter sur mes activités depuis trois ans. Moi, je le sais. Depuis trois ans, je défends, corps et âme, les travaux et les découvertes du docteur Ryke Geerd Hamer, ce grand cancérologue allemand tellement critiqué par la communauté scientifique et médicale. Et ça dérange, bien entendu. Ça dérange parce que sa thèse va à contre-courant de la pensée dominante en cancérologie. Pour lui, le cancer est déclenché par un choc brutal, d’une intensité dramatique et vécu dans l’isolement émotionnel. Et il le démontre, sur plus de 6 500 dossiers de patients. Mais il va plus loin. Il démontre aussi que le cancer peut être guéri, sans chimiothérapie, sans radiothérapie, sans chirurgie. Simplement en résolvant le sur-stress qui est à la base du cancer. Et ça, ça dérange encore plus. Car, déjà à l’époque, les traitements anticancéreux rapportent au système medico-pharmaceutique et hospitalier l’équivalent de 120 000 euros par cancer. Pour me faire taire et pour m’arrêter dans mon travail de vulgarisation scientifique au service du bien-être et de l’autonomie en santé, tous les coups sont permis depuis 1994. Je suis répertorié comme secte dangereuse (à moi tout seul!) en France, en Suisse, en Belgique. Je subis pas moins de dix contrôles gouvernementaux en trois ans: contrôles des services de la TVA, contrôles des services fiscaux, contrôles des services des charges patronales, contrôles de la médecine du travail, et j’en passe. Dix contrôles en trois ans, et pas un franc belge de redressement ou d’amende. Mais j’ignorais qu’en parallèle de toutes ces actions administratives, je faisais l’objet d’une surveillance étroite et assidue des services de police. Il a fallu attendre le jour de mon anniversaire pour découvrir brutalement cette horrible réalité.
La descente aux enfers
Bien entendu, le choix de me rendre visite le jour de mon anniversaire n’est pas innocent. Ces gens savent très bien que nous sommes plus fragiles émotionnellement à certaines dates de l’année. Chez moi, ça a marché. Après leur visite, je sombre dans une dépression et un dégoût profonds. Je suis en état de choc. Ainsi donc, je suis traité par mon gouvernement comme un grand criminel. Moi qui ai toujours voulu me mettre au service de l’autonomie et de la conscience des individus, je suis considéré comme un dangereux gourou de secte. Pendant les mois de mai et de juin, je suis paralysé. J’annule tous mes séminaires et je passe mes journées à broyer du noir. Je suis dégoûté, même écoeuré. Mais surtout, j’ai peur. Peur d’être poursuivi, peur d’être harcelé, peur d’être écouté, peur d’être arrêté et emprisonné. Je n’en parle à personne, même pas à mon entourage proche. Je rumine des idées complètement folles. Je veux disparaître d’Europe, abandonner tous mes biens, partir avec ma femme et mes trois filles sur un autre continent, en payant les billets d’avion en espèces, nous faire faire de fausses identités et ne plus jamais parler de santé, de cancer. Ne plus jamais avoir de vie publique. Disparaître pour de bon… Je me sens mourir psychiquement. Je n’ai plus aucune vitalité, plus aucune fluidité. Et j’ignore que pendant ce temps, un cancer se développe à la base de mon crâne, dans mon cervelet.
Heureusement que j’ignore cette information à ce moment-là. Car je ne suis pas certain que j’aurais été capable d’encaisser le stress lié à la découverte de cette maladie potentiellement mortelle. Un changement radical et salutaire de perspective Fin juin, une idée fulgurante traverse mon esprit. Pour la première fois en deux mois, j’y vois clair! Je prends conscience soudainement que si je mets mon projet de disparition à exécution, ceux qui veulent me faire taire auront obtenu ce qu’ils voulaient. C’est alors que ma position de vie bascule radicalement. Je décide de mener plusieurs actions extérieures et plusieurs actions intérieures, pour remettre en route mes énergies de vie. Car je me souviens à ce moment de cette phrase de Jung (encore lui): «La guérison ne commence que lorsqu’un acte est posé». Autrement dit, la prise de conscience, même si elle est nécessaire, est insuffisante pour nous guérir. Je décide d’attaquer en justice la commission parlementaire chargée de la lutte contre les sectes, pour diffamation et abus de pouvoir. J’engage un avocat féroce qui me conseille de recueillir des témoignages auprès des participants de mes séminaires. J’écris aux trois cents derniers inscrits de mes activités, et je leur demande de témoigner à propos des accusations de secte dont je fais l’objet. En trois semaines, je reçois 180 lettres de témoignages, toutes aussi réconfortantes que chaleureuses. Ces lettres me font le plus grand bien. Mon avocat et moi préparons le dossier que nous comptons déposer devant un tribunal compétent. Ça, ce sont les actions extérieures…
À côté de cela, je ressens la nécessité de plonger à l’intérieur de moi pour y rencontrer mes ombres et mes obscurités. Car j’ai l’intuition que ces accusations de secte et ce harcèlement administratif permanent ne me sont pas arrivés par hasard. D’autres défendent comme moi les travaux de Hamer et ne sont ni inquiétés, ni harcelés, ni fichés comme secte. J’en viens à me dire que si j’attire à moi ces événements, c’est parce que quelque chose d’obscur et de sectaire se cache au fond de moi… Comme le disait Jung: «Tout ce que nous n’aurons pas ramené à la conscience se manifestera dans notre vie comme le destin ou la fatalité».
À partir de là, je sors de ma position de victime et je reprends la responsabilité de ces parts d’inconscient que je n’ai pas ramenées à la conscience. Et je décide d’aller à la rencontre de ce plomb qui alourdit ma vie pour tenter de le transmuter en or! Je contacte un de mes amis thérapeutes. Je lui demande d’utiliser tous les outils dont il dispose pour m’aider à identifier tous les aspects sectaires que je porte en moi. Au départ, il ne me prend pas au sérieux, s’esclaffant: «Toi, Jean-Jacques, une secte!? S’il y en a bien un qui n’a rien à voir avec une secte, c’est bien toi». Mais j’insiste. Et je lui explique le sens de ma démarche.
À l’aide d’une multitude d’outils (...), nous identifions un à un mes aspects sectaires. La démarche prendra plusieurs longues séances de trois heures, étalées sur un mois. Et effectivement, même s’ils sont invisibles, mes côtés sectaires sont bien présents… La transmutation du plomb en or et la découverte de ma guérison Ayant tous les éléments en main, je n’ai plus besoin de personne. J’ai ma matière première. Tout est prêt pour accomplir la transmutation alchimique de mes côtés 18 sectaires. Pour ce faire, je m’inspire du commentaire d’une gravure alchimique reproduite dans un livre d’Étienne Perrot: «Si tu n’acceptes pas de fouler aux pieds le fumier qui est en toi, lorsque tu voudras t’élever, tu tomberas sur la tête…» L’invitation est claire. Il s’agit pour moi de reconnaître que ce fumier existe en moi (première étape), de reconnaître que ces aspects obscurs vivent en moi et font partie de ma réalité. Mais au-delà de cette reconnaissance, il s’agit de les accepter inconditionnellement comme faisant partie de moi (deuxième étape). Et même de les aimer (troisième étape). Comme on aime tous nos enfants, même ceux qui sont moins bien portants et moins beaux. C’est ce que je fais, avec beaucoup d’intensité et d’émotion. Une à une, je reconnais mes ombres. En pensée, je les prends dans mes bras et je les serre contre moi. C’est à une danse avec mes ombres que je me livre. Ce n’est pas simple pour autant, car j’ai beaucoup de difficultés à ne pas juger certains aspects obscurs qui sont en moi. C’est là que je fais appel à plus grand que moi, à cet Amour infini qui me traverse et qui me fait être. Et je parviens finalement à faire l’amour avec mes ombres jusqu’à ce que leur état change. En faisant cela, j’accepte de ne plus être cet être immaculé, sans tache et sans défaut. Mais ce que je perds en blancheur et en perfection, je le gagne en plénitude et en humanité, en humilité aussi. Je me sens plus complet et j’accepte enfin d’assumer le côté obscur de ma personnalité…
Dès que ce processus est terminé, la chape de plomb (c’est le cas de le dire) qui pesait sur moi depuis trois mois disparaît, instantanément. Je retrouve le calme, la paix, la sérénité. Je ressens cet air cristallin caractéristique de ce qui suit l’orage: vibrant, subtil, léger. À nouveau, j’ai envie de vivre, d’enseigner, d’animer des conférences et des séminaires, d’écrire. À nouveau, j’ai envie de me mettre au service de l’autonomie et de la santé, mais avec une conscience nouvelle, encore plus aiguisée des pièges qui nous guettent sur notre chemin.
Trois semaines plus tard, ma coiffeuse découvre une boule de deux centimètres de diamètre à la base de mon crâne. Elle me fait remarquer que cette boule n’était pas présente, un mois plus tôt. C’est alors que je comprends ce qui s’est joué à mon insu dans ma physiologie. Je comprends qu’en parallèle de mon processus psychologique, mon organisme a fabriqué une tumeur cancéreuse à la base de mon crâne, puis l’a rejetée en l’enkystant, une fois le conflit résolu.
Deux ans plus tard, je me faisais examiner par un grand connaisseur de la Médecine Nouvelle de Hamer, qui me confirmait mon analyse. Un cancer s’était bien développé dans mon cervelet au moment où j’avais découvert brutalement que j’étais surveillé et poursuivi… Et ce même cancer s’était bien guéri de lui-même lorsque j’ai reconnu, accepté et aimé non seulement l’événement extérieur déclencheur, mais aussi les parts sombres de moi qui l’avaient attiré par résonance.
Voyage au centre de Soi-même
Comme l’a montré magistralement Paulo Coelho dans son roman «L’alchimiste», la démarche alchimique est un voyage qui nous ramène au point de départ de notre quête, mais plus au centre. C’est un voyage que nous ne pouvons accomplir qu’en acceptant d’être de moins en moins armé, de moins en moins outillé. Accepter de tout perdre, à commencer par nos certitudes, nos repères et nos habitudes. Mais surtout, entrer dans une dimension où il n’y a plus ni bien ni mal, mais simplement un chemin où chaque pas nous rapproche du seul but qui importe (...). C’est un chemin solitaire, exigeant, où plus on avance, moins les repères se manifestent et moins le mental est capable de se raccrocher à ce qu’il connaît. Un chemin où l’on se dépouille de tous les faux semblants, de tous les vêtements sociaux que l’on a interposés entre nous-mêmes et notre centre. Un chemin où l’on se présente nu sous le regard de la Vie, sans arme et sans défense, mais avec la foi que quelque chose de plus grand que nous guide notre vie, à travers les rêves, les signes et les synchronicités. Cet événement, comme bien d’autres dans mon existence, m’a montré à quel point ce n’est pas le combat et la lutte contre la maladie qui nous sauvent la vie, mais bien la reconnaissance, l’accueil et l’amour inconditionnel de ce qui est… En cela, je peux dire que l’alchimie m’a vraiment sauvé la vie!"
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Télécharger le fascicule complet d'où est extrait le témoignage de Jean-Jacques Crèvecœur:
Dans la Science ésotérique, il est dit que là où habite un Initié, aucun esprit mauvais n’a le droit d’entrer. Et quand il veut faire un grand travail spirituel, l’Initié réserve un endroit et le consacre pour leur en interdire l’entrée : Il l’entoure d’un cercle, y inscrit des noms sacrés et il est tranquille, il peut travailler.
Alors, voici maintenant l’application pratique : Si vous ne mettez pas d’écriteau « Défense d’entrer » à votre maison, ou si vous laissez la porte ouverte, toutes sortes de créatures malveillantes peuvent venir vous voler. De même si vos cœurs, vos âmes, vos esprits restent ouverts aux quatre vents sans être consacrés, protégés, entourés d’une barrière de lumière, les esprits ont le droit d’entrer, de salir, de ravager, et de partir en emportant tous vos trésors.
Pour un disciple ou un Initié, la meilleure protection contre tous les mauvais courants et les esprits ténébreux, c’est son Aura. Plus elle est lumineuse, large, plus les couleurs en sont pures, plus vous êtes en sureté, car l’Aura joue le rôle d’une carapace qui protège contre tous les mauvais courants qui circulent.
Est-ce que vous veillez à cela ? Non, vous restez exposé à tous les courants, et ensuite vous allez vous plaindre de vous sentir fatigué, triste et malheureux. Alors quelle conclusion tirer ? Qu’il faut penser à travailler sur l’Aura. Comment ?
« En allant chaque matin au lever du Soleil, en regardant comment il s’entoure lui-même d’une Aura formidable pleine de couleurs merveilleuses, vous devez vous dire: “ Moi aussi, je veux m’entourer des plus belles couleurs ! ”. Fermez les yeux, imaginez que vous êtes entouré de violet, de bleu, de vert, de jaune, d’orange, de rouge … et longtemps, très longtemps, vous vous baignez dans cette lumière, vous imaginez qu’elle rayonne et s’étend très loin, et que toutes les créatures qui se trouvent dans cette atmosphère en bénéficient, que tous ceux qui vous fréquentent ou entrent en contact avec vous pourront recevoir des bénédictions. De cette façon, votre Aura vous sert de protection et en même temps, elle est une bénédiction pour les autres, parce que grâce à elle, vous pouvez aider les créatures. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov (source)
Justine34
Nombre de messages : 1608 Age : 90 Localisation : au soleil du Sud Est Date d'inscription : 08/07/2011
le Dr Hamer, si décrié, a dit depuis longtemps qu'un cancer se développe quand un conflit est résolu.
Donc quand on y touche d'une façon ou d'une autre on empêche la guérison de la personne malade, on obtient juste, et dans le meilleur des cas une rémission.
Je pense que ceci peut être nuancé, car il est certain que si la personne malade ne prend pas en compte, soit parce qu'elle l'ignore, soit parce qu'elle n'y croit pas, l'origine du cancer, il lui faudra chimio, radio, opération etc...
Au contraire, si comme l'auteur, elle en cherche l'origine, travaille dessus ardemment, elle en guérira toute seule. Bien sûr, en accompagnement il lui faudra veiller à sa santé physique et mentale, avoir une très bonne alimentation, fuir tout stress, et pas mal d'autres choses qui vont avec. De très nombreux cas de guérison spontanée en sont la preuve.